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Inventor Leviticus Blue creates a machine that accidentally decimates Seattle's banking district and uncovers a vein of Blight Gas that turns everyone who breathes it into the living dead. Sixteen years later Briar, Blue's widow, lives in the poor neighborhood outside the wall that's been built around the uninhabitable city. Life is tough with a ruined reputation, but she and her teenage son Ezekiel are surviving--until Zeke impetuously decides that he must reclaim his father's name from the clutches of history.… (plus d'informations)
iamiam: "Boneshaker" precedes "Dreadnought" in the series by this author, plus their time-lines follow this order, but neither is dependent upon the other for comprehension of story.
Du steampunk, du western et des zombies, c’est le cocktail que propose Boneshaker, roman de l’Américaine Cherie Priest dont j’avais entendu parler via BoingBoing et io9 et que j’ai acheté à Dublin. Soyons honnête : je n’aime pas les zombies et je ne raffole pas du western, mais la mention « steampunk » est souvent suffisante pour me faire acheter un peu n’importe quoi.
Pas que cet ouvrage soit d’ailleurs n’importe quoi : je l’ai même trouvé plutôt bon. Il raconte l’épopée d’une mère et de son fils – Briar et Ezekiel (« Zeke ») – dans les ruines de Seattle. On est à la fin d’un XIXe siècle uchronique où une machine, le « Boneshaker » du titre, capable de creuser les glaces du Klondike à la recherche de l’or qui s’y trouve provoque une catastrophe.
Un gaz étrange et mortel se répand dans la ville, transformant ceux qui le respirent en zombies affamés, au point que les autorités finissent par ériger un mur pour contenir la contagion. Mais Zeke y pénètre pour tenter de retrouver la preuve que son père, l’inventeur du « Boneshaker » Leviticus Blue, n’est pour rien dans la catastrophe et Briar se retrouve à courser le fils indigne. Ah ! ces ados…
Sans révolutionner quoi que ce soit, Boneshaker s’avère un roman d’aventures plaisant à lire, dont les points forts sont le décor original (une ville interdite en ruine, parcourue par des hordes de zombies et les quelques survivants) et des personnages intéressants – surtout Briar, qui porte les marques du courage (au moment de la catastrophe, son père a sauvé des prisonniers au prix de sa vie) et de l’infamie (son mari est l’inventeur du « Boneshaker » et donc considéré comme responsable de la catastrophe).
J’ai trouvé également intéressant le principe de « remettre le punk dans le steampunk », comme diraient certains commentateurs : ici, les héros ne sont pas – plus – des membres de la haute société victorienne, mais des gens du peuple, voire des laissés-pour-compte dans le cas des survivants de Seattle (surnommés Doornails, comme dans l’expression anglaise dead as a doornail, qui veut dire très très mort).
C’est du steampunk de système D, avec des bricolages suspects qui permettent aux survivants de tenir tant bien que mal – armes puissantes, machines de filtrage, masques à gaz améliorés. Le côté western, avec ses expressions particulières, ajoute aussi pas mal à cette impression.
Cela dit, j’ai du mal à trouver à Boneshaker un intérêt autre que « plaisant ». C’est un peu paradoxal (et frustrant), parce que je ne vois aucun point négatif flagrant dans ce bouquin, mais rien de positivement marquant non plus. Certes, au regard de la production littéraire contemporaine, cela suffit pour placer le bouquin dans le haut du panier, mais je dois avouer que j’en attendais plus.
Comme j’ai douloureusement conscience d’être un vieux pénible blasé, je ne vais pas non plus m’arrêter à ce genre de considération : Boneshaker est un bon bouquin qui devrait ravir les amateurs d’aventure, de steampunk et de zombies – en particulier les rôlistes joueurs de Deadlands, voire les fans de Castle Falkenstein à la recherche d’une alternative plus sombre à cet univers. ( )
Priest’s latest, very simply rocks: It’s not only the steampunk adventure you’ve been waiting for, it’s the steampunk adventure you can give to friends of yours who wonder what the hell’s up with all those Victorian overcoats and goggles.
It's full of buckle and has swash to spare, and the characters are likable and the prose is fun. This is a hoot from start to finish, pure mad adventure.
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In this age of invention the science of arms has made great progress. In fact, the most remarkable inventions have been made since the prolonged wars of Europe in the early part of the century, and the short Italian campaign of France in 1859 served to illustrate how great a power the engines of destruction can exert.
-- Thomas P. Kettell, History of the Great Rebellion. From its commencement its close, giving an account of its origin, The Secession of the Southern States, and the Formation of the Confederate Government, the concentration of the Military and Financial resources of the federal government, the development of its vast power, the raising, organizing, and equipping of the contending armies and navies; lucid, vivid, and accurate descriptions of battles and bombardments, sieges and surrender of forts, captured batteries, etc., etc.; the immense financial resources and comprehensive measures of the government, the enthusiasm and patriotic contributions of the people, together with sketches of the lives of all the eminent statesmen and military and naval commanders, with a full and complete index. From Official Sources (1862)
Dédicace
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This one's for Team Seattle -- Mark Henry, Caitlin Kittredge, Richelle Mead, and Kat Richardson-- for they are the heart and soul of this place.
Premiers mots
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Unpaved, uneven trails pretended to be roads; they tied the nation's coasts together like laces holding a boot, binding it with crossed strings and crossed fingers.
Citations
Derniers mots
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Hale Quarter jabbed a pen against his tongue to moisten it, and he began to write.
Inventor Leviticus Blue creates a machine that accidentally decimates Seattle's banking district and uncovers a vein of Blight Gas that turns everyone who breathes it into the living dead. Sixteen years later Briar, Blue's widow, lives in the poor neighborhood outside the wall that's been built around the uninhabitable city. Life is tough with a ruined reputation, but she and her teenage son Ezekiel are surviving--until Zeke impetuously decides that he must reclaim his father's name from the clutches of history.
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Pas que cet ouvrage soit d’ailleurs n’importe quoi : je l’ai même trouvé plutôt bon. Il raconte l’épopée d’une mère et de son fils – Briar et Ezekiel (« Zeke ») – dans les ruines de Seattle. On est à la fin d’un XIXe siècle uchronique où une machine, le « Boneshaker » du titre, capable de creuser les glaces du Klondike à la recherche de l’or qui s’y trouve provoque une catastrophe.
Un gaz étrange et mortel se répand dans la ville, transformant ceux qui le respirent en zombies affamés, au point que les autorités finissent par ériger un mur pour contenir la contagion. Mais Zeke y pénètre pour tenter de retrouver la preuve que son père, l’inventeur du « Boneshaker » Leviticus Blue, n’est pour rien dans la catastrophe et Briar se retrouve à courser le fils indigne. Ah ! ces ados…
Sans révolutionner quoi que ce soit, Boneshaker s’avère un roman d’aventures plaisant à lire, dont les points forts sont le décor original (une ville interdite en ruine, parcourue par des hordes de zombies et les quelques survivants) et des personnages intéressants – surtout Briar, qui porte les marques du courage (au moment de la catastrophe, son père a sauvé des prisonniers au prix de sa vie) et de l’infamie (son mari est l’inventeur du « Boneshaker » et donc considéré comme responsable de la catastrophe).
J’ai trouvé également intéressant le principe de « remettre le punk dans le steampunk », comme diraient certains commentateurs : ici, les héros ne sont pas – plus – des membres de la haute société victorienne, mais des gens du peuple, voire des laissés-pour-compte dans le cas des survivants de Seattle (surnommés Doornails, comme dans l’expression anglaise dead as a doornail, qui veut dire très très mort).
C’est du steampunk de système D, avec des bricolages suspects qui permettent aux survivants de tenir tant bien que mal – armes puissantes, machines de filtrage, masques à gaz améliorés. Le côté western, avec ses expressions particulières, ajoute aussi pas mal à cette impression.
Cela dit, j’ai du mal à trouver à Boneshaker un intérêt autre que « plaisant ». C’est un peu paradoxal (et frustrant), parce que je ne vois aucun point négatif flagrant dans ce bouquin, mais rien de positivement marquant non plus. Certes, au regard de la production littéraire contemporaine, cela suffit pour placer le bouquin dans le haut du panier, mais je dois avouer que j’en attendais plus.
Comme j’ai douloureusement conscience d’être un vieux pénible blasé, je ne vais pas non plus m’arrêter à ce genre de considération : Boneshaker est un bon bouquin qui devrait ravir les amateurs d’aventure, de steampunk et de zombies – en particulier les rôlistes joueurs de Deadlands, voire les fans de Castle Falkenstein à la recherche d’une alternative plus sombre à cet univers. ( )