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> GEAI, de Christian Bobin Gallimard, 110 pages. — Ce livre porte le nom de Geai, une femme morte depuis deux mille et quelques années, mais qu'un petit garçon nommé Albain découvre au milieu d'un lac, couchée sous une couche de glace d'à peu près un pouce. On la voit bien, malgré tout, cette Geai. Elle sourit, et voilà qu'elle parle... A moins que ce soit une illusion d'Albain ? Naturellement, lorsqu'il raconte son aventure à ses parents, il risque une bonne claque. Ainsi vont les rendez-vous entre la dame du lac sous la glace et le petit garçon qui parlait aux dames, aux arbres aussi. Le petit garçon qui grandit, quitte ses parents, trouve un peu de travail, entame sa vie, comme tout le monde... Mais Geai est toujours là, et le dialogue entre elle et lui a la voix d'un écrivain, Christian Bobin, qui est un enchanteur, et nous le prouve ici même. (Jacques FOLCH-RIBAS)
La presse, 7 février 1999

> Il y a les auteurs qu’on aime suivre. Christian Bobin, avec Geai (Gallimard), un petit récit mélancolique et merveilleux sur l’enfance.
Le devoir

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Bobin-Geai/23975
> Nuit blanche, (74), pp. 26-27 : https://id.erudit.org/iderudit/19323ac
> BAnQ (Le Courrier de St-Hyacinthe, 24 févr. 1999) : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2599009

> La recherche du soi
n'améliore pas le « je »
mais elle met plutôt en lumière
le fait que ce n'est qu'une pensée,
jusqu'à la dissoudre
dans sa source. —MOOJI*
*In: Mooji, Danser sur l'eau, Almora (2015)

> « Si le père d’Albain faisait des phrases, il dirait que l’enfance est une chose étrange, à la fois adorable et exténuante, un trésor et un chaos. Mais il ne fait pas de phrases, il donne des claques. » Les inconditionnels de Christian Bobin ne voudront pas manquer Geai (Folio), nom qu’Albain donne à celle qui lui sourit, sous la glace du lac, un jour d’hiver. Bien que cela semble impossible, Albain grandira dans la compagnie d’une amie imaginaire qu’il est seul à voir (bien entendu). Même si le récit de Bobin nous fait cadeau de quelques belles phrases, l’ensemble est un peu trop féerique, à moins que ce ne soit sa lectrice qui ait perdu son âme d’enfant...
Le devoir, 30 décembre 2000

> GEAI, de Christian Bobin, NRF Gallimard, Paris, 110 pages. — Est-ce un autre chapitre des « nouvelles maladies de l’âme », comme les nomme Julia Kristeva ? Geai est l’histoire d’un enfant rêveur, qui converse en secret avec une noyée. Il a eu un accident; depuis, il flotte entre le monde des morts et celui des vivants, mais il préfère le premier. Aussi, il ne devient pas adulte. Il a choisi ses marges, la nuit, ses escapades, et il s’efforce de traverser la vie aussi détaché que dans un jeu. Le voilà cambrioleur, sans y penser; ou brocanteur, ou fou du village, errant d’une envie à une autre, poursuivant des pensées légères comme le vent, comme un air de violon.
Ce livre mince n’est pas du meilleur Bobin. Mais il y court un esprit rimbaldien et clownesque, témoignage de son attirance pour la magie des pantins. Inspiré par une légende, le personnage — si c’en est un — devient lui-même l’inspiration d’une femme et d’une petite fille. Comédien, vendeur de jouets, cet être immatériel est pure source de joie, une porte ouverte sur le bonheur invisible que chacun porte en soi. (Guylaine MASSOUTRE)
Le devoir, 14 novembre 1998
  Joop-le-philosophe | Aug 23, 2020 |
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Geai était morte depuis deux mille trois cent quarante-deux jours quand elle commença à sourire.


Ce sourire, au début, personne pour le voir. Que deviennent les choses que personne ne voit ? [...]
Citations
Derniers mots
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