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Chargement... The Little Stranger (original 2009; édition 2010)par Sarah Waters (Auteur)
Information sur l'oeuvreL'indésirable par Sarah Waters (2009)
Booker Prize (35) » 43 plus Best Gothic Fiction (19) Unreliable Narrators (33) Best Family Stories (62) Books Read in 2014 (187) Best family sagas (81) Top Five Books of 2013 (1,297) Books Read in 2017 (542) Female Author (532) 2000s decade (39) Books Read in 2013 (772) Books Read in 2011 (30) SantaThing 2014 Gifts (175) Autumn books (10) Horror Read (7) Best Horror Books (232) Historical Fiction (33) Safe as Houses (9) Chargement...
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J'ai eu un peu de mal à accrocher à celui-ci. ( ) Pourquoi ce livre? J'avais acheté ce livre il y a quelques années parce que j'avais été attiré par sa couverture. En effet, le côté esthétique fait partie du plaisir lié à l'expérience de lecture que ce soit d'admirer la couverture d'un livre ou de la toucher (Desrochers, 2015). Tel qu'expliqué par Mark Cruse dans son article, les livres ont un potentiel sensoriel (2010, p.45). J'ai lu ce livre longtemps après l'avoir acheté, car le style un peu historique du roman ne m'attirait pas particulièrement. Par contre, je savais qu'il avait eu de bonnes critiques et quand je me le suis fait conseiller par une amie, j'ai décidé de m'y plonger. Sans compter que les rares fois où j'ai lu des romans à caractère historique, je n'ai pas été déçue. En fait, ce qui m'attirait le plus dans ce livre est son côté suspense qui m'intriguait énormément. Un premier aspect qui m’a plu : J'ai particulièrement aimé l'histoire de la famille Ayres ainsi que la façon dont les personnages sont développés. En fait, on voit vraiment ceux-ci évoluer au cours du récit. Au départ, les Ayres apparaissent comme prétentieux, mais on peut rapidement constater leur grande sensibilité. On a conscience de la façon dont les événements dont sont victimes les personnages se répercutent en eux. On a même pu constater les sentiments contradictoires qu'éprouvaient le docteur Faraday pour Caroline. De plus, je me suis vraiment attachée aux personnages et à leur sort. Un second aspect qui m’a plu : Ce qui m'attirait le plus dans ce livre était son côté suspense et c'est en effet un aspect que j'ai apprécié. En fait, l'atmosphère est mystérieuse tout au long du récit. Le style d'écriture utilisé est propice au suspense ainsi qu'aux doutes pour lecteur. De cette façon, mon intérêt a été maintenu jusqu'à la fin du livre. Dès que j'avais du temps libre, je me plongeais dans l'histoire afin d'en savoir plus sur les tourments vécus par cette famille. Un aspect qui m’a moins plu : En tant que lecteur, on se pose beaucoup de questions pendant la lecture et celles-ci restent toujours sans réponse. En effet, la fin du livre ne nous donne pas de réponses satisfaisantes à nos questions. Dans ce récit, il est vrai que «c'est le destinataire qui est le créateur de l’œuvre» (Desrochers, 2015). Ainsi, celui-ci peut penser ce qu'il croit le plus plausible au vu des informations disponibles. Par contre, j'aurais aimé une réponse plus claire, car j'ai terminé le livre avec plus de questions que de réponses et cela me laisse l'impression que mon expérience de lecture est inachevée. L’objet livre : La couverture du livre est très attrayante. Même si les lecteurs savent qu'il ne faut pas juger un livre par sa couverture (Desrochers, 2015), il est évident qu'on est plus tenté de lire un livre attrayant. De plus, ce livre n'est pas qu'attirant par sa couverture, mais par son papier aussi. En effet, celui-ci ressemble à du papier parchemin tirant un peu sur le jaune. Ainsi, quoique le livre lu soit neuf, j'ai eu l'impression de me plonger dans un livre ancien bien conservé. On peut même sentir un relief sur sa couverture. Ainsi, le plaisir des sens lié à l'expérience de lecture a été bien exploité avec ce livre (Cruse, 2010, p.45). Il y a aussi une illustration au début et à la fin du livre qui représente Hundred Halls. Celle-ci permet au lecteur de se faire une image de cette mystérieuse demeure. Sur la page de titre, une image représente quelque chose de mystérieux voire surnaturel permettant ainsi au lecteur de se mettre dans l'ambiance. Le résumé du livre donne une bonne idée au lecteur quant à ce qu'il peut s'attendre tout en donnant le ton à l'histoire. En lisant la biographie de l'auteur, on peut constater sa renommée grâce aux prix qu'elle a gagnés et aux nombreuses traductions de son livre. On peut même en déduire sur son style d'écriture, car il est mentionné qu'elle est reconnue pour ses fresques historiques baroques. Ainsi, plusieurs éléments liés à l'objet livre aident à créer l'ambiance propice à la lecture.
While at one turn, the novel looks to be a ghost story, the next it is a psychological drama of the calibre of du Maurier's Rebecca. But it is also a brilliantly observed story, verging on comedy, about Britain on the cusp of the modern age. In the end, though, however fresh the prose, confident the plotting and astute the social analysis, The Little Stranger has a slightly secondhand feel to it. Waters is clearly at the top of her game, with few to match her ability to bring the past to life in a fully imagined world. I look forward to the book in which she leaves behind past templates, with their limitations, and breaks away to make her own literary history. I guess the Waters fans I spoke to were right to be anxious. There is plenty of lovely writing here, and the plot wasn't so dissatisfying that it put me off entirely. But it made me wary. Should I be? Or is it her worst work? Or, indeed, am I missing something? Over to you. The Little Stranger, like all the best works of postmodernist fiction, acknowledges both that making up stories is a mistaken and hopeless way to try to understand the world, and at the same time that it’s the best – perhaps the only – way we have. The story ends in madness, suicide and a creepy darkness reminiscent of Daphne du Maurier's "Rebecca" -- mixed with jolts of anxiety and social upheaval reminiscent of today's news. Fait l'objet d'une adaptation dansContient un commentaire de texte dePrix et récompensesDistinctionsListes notables
"The #1 book of 2009...Several sleepless nights are guaranteed."—Stephen King, Entertainment Weekly One postwar summer in his home of rural Warwickshire, Dr. Faraday, the son of a maid who has built a life of quiet respectability as a country physician, is called to a patient at lonely Hundreds Hall. Home to the Ayres family for over two centuries, the Georgian house, once impressive and handsome, is now in decline, its masonry crumbling, its gardens choked with weeds, the clock in its stable yard permanently fixed at twenty to nine. Its owners—mother, son, and daughter—are struggling to keep pace with a changing society, as well as with conflicts of their own. But are the Ayreses haunted by something more sinister than a dying way of life? Little does Dr. Faraday know how closely, and how terrifyingly, their story is about to become intimately entwined with his. Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)823.914Literature English & Old English literatures English fiction Modern Period 1901-1999 1945-1999Classification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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