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Chargement... The Dinner (original 2009; édition 2013)par Herman Koch (Auteur), Sam Garrett (Traducteur)
Information sur l'oeuvreLe Dîner par Herman Koch (2009)
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Inscrivez-vous à LibraryThing pour découvrir si vous aimerez ce livre Actuellement, il n'y a pas de discussions au sujet de ce livre. On ne se méfie pas trop en débutant la lecture de ce roman : le ton est plutôt drôle, détaché et ironique pour décrire l'arrivée d'un couple à un restaurant cher et branché d'Amsterdam. L'homme et la femme doivent y rejoindre un autre couple, dont l'homme est très connu. On ne sait pas à quoi il doit sa popularité, pas plus que l'on sait le lien qui le relie au couple qui l'attend au restaurant. Herman Koch a bâti un livre d'une remarquable efficacité, tant par sa qualité narrative que par sa façon de distiller des informations parcellaires faisant fi de la chronologie; Peu à peu cependant, au fur et à mesure que progresse le repas au restaurant, l'atmosphère se fait de plus en plus tendue et poisseuse, jusqu'au malaise. On se doute que l'essentiel se joue dans ce qui n'est pas dit, mais quoi? L'auteur ose mettre en scène des personnages particulièrement dérangeants dans leur manière d'absoudre le mal, au nom d'un attachement tout-puissant pour leurs enfants, qui s'arrogerait le droit de s'affranchir de la morale. Mais ce qui dérange bien davantage dans ce livre, c'est l'ambiguïté des intentions de l'auteur dans l'exposition de ses personnages. Les juge-t-il ? S'interdit-il au contraire de les juger? Les absout-il? On aura beau relire quelques passages à plusieurs reprises, à la recherche d'un indice sur la pensée de l'auteur, la question restera pendante. Et le lecteur, séduit par les qualités véritables de ce roman, fermera le livre avec un sentiment de malaise et le vague désagrément de s'être fait doublé et, bien pire, de s'être peut-être rendu complice. Voici une histoire qui me semblait intéressante... comme dans une pièce de théâtre, des personnages qui dînent, échangeant des banalités pour ne pas aborder le vrai sujet qui les a réunit. Mais l'auteur part dans tous les sens, fait sans cesse des allers-retours entre passé et présent dans la même phrase, sans virgules... perturbant ! Je n'ai pas eu envie de m'accrocher pour savoir de quoi il retournait, finalement. http://ouistilit.blogspot.fr/2012/06/le-diner-dherman-koch.html
If you want to enjoy Herman Koch’s new novel, don’t read a single thing about it. To do so seriously reduces its power. Don’t read the blurbs on its dust jacket — an impressive list of authors that includes Gillian Flynn and S.J. Watson — nor the synopsis on the inside flap. Don’t even read this review. Actually, forget that — come back! It’s spoiler-free, I promise. . . . The Dinner is the kind of book I wish could be translated into English more often. The Dinner, a suspense novel by Herman Koch, has sold over a million copies since it was published in Europe in 2009, and it's not difficult to understand the appeal. It's fast-paced and riveting. Written in cool, detached prose (deftly translated from the Dutch by Sam Garrett), The Dinner is as theatrical and dramatic as a well-crafted play. It's also nasty. It starts off as social satire but shifts gears, and you find yourself in the middle of a horror story. . . . Mr. Koch delivers his revelations cleverly, by the spoonful. Issues of morality, responsibility and punishment are raised along the way, and a Pinteresque menace lurks under the surface. When savagery takes over, the reader is shocked. But some of Mr. Koch's conclusions are a bit too pat. In the end, the book sits on the digestion less like an over-indulgent "fine dining" experience than Chinese food, which, as we all know, leaves you feeling hungry a couple of hours later. “The Dinner,” Herman Koch’s internationally popular novel, is an extended stunt. Mr. Koch confines his story to one fraught restaurant meal, where malice, cruelty, craziness and a deeply European malaise are very much on the menu. "The Dinner” has been wishfully compared to Gillian Flynn’s “Gone Girl” (and enthusiastically endorsed by Ms. Flynn) for its blackhearted deviltry. But her book, with its dueling narrators, had two vicious but sympathetic voices. Her sneaky spouses were delectable in their evil genius. The Lohmans are indigestible. “The Dinner,” Herman Koch’s internationally popular novel, is an extended stunt. Mr. Koch confines his story to one fraught restaurant meal, where malice, cruelty, craziness and a deeply European malaise are very much on the menu. The four diners can leave the table occasionally, headed to the restrooms or the garden or the handy room of flashback memories. But mostly they sit and seethe at one another as a miserable night unfolds. This book has been widely described as both thriller and chiller, but it really is neither. But it’s the morality of the story that’s really sickening. Welsh is intrigued by a novel reminiscent of The Slap and Carnage Appartient à la série éditorialeDwarsliggers (55) Prix et récompensesDistinctionsListes notables
Two couples meet for dinner at a fashionable restaurant in Amsterdam. Behind their polite conversation, terrible things need to be said, and with every forced smile and every new course, the knives are being sharpened. Each couple has a fifteen-year-old son. The two boys are united by their accountability for a single horrific act; an act that has triggered a police investigation and shattered the comfortable, insulated worlds of their families. As the dinner reaches its culinary climax, the conversation finally touches on their children. As civility and friendship disintegrate, each couple show just how far they are prepared to go to protect those they love. Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)839.31Literature German literature and literatures of related languages Other Germanic literatures Netherlandish literatures DutchClassification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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Paul et son épouse Claire rejoint son frère, Serge et son épouse Barbara dans un grand restaurant. Au fil du texte au rythme du protocole très guindé du restaurant, les apéritifs, la lecture de la carte et le choix des plats, l'arrivée des plats avec les commentaires alambiqués du maître d'hôtel, on comprend que Serge est un homme politique en vue promis à devenir le prochain premier ministre, on découvre une sombre histoire mêlant leurs enfants respectifs, Michel et Rick ainsi que l'enfant adoptif Beau dit "Fasso", surnom venant des origines du garçon : le Burkina-Fasso, qui a entraîné la mort accidentel d'une sans-abri, apparaît également que le narrateur dans le roman, Paul, est atteint d'une maladie psychique le rendant extrêmement violent, maladie génétiquement transmissible....
Finalement au fil du roman les valeurs s'inversent, l'homme politique, décrit par son frère comme un homme peu intelligent, grossier, voir vulgaire apparaît comme étant le seul à avoir une morale, toute relative car cherchant jusqu'au bout à préserver son image d'homme ordinaire, proche des gens, alors que son frère, et sa femme, sont prêt à développer les arguments les plus abjects pour défendre leur fils et cacher la vérité...
Une farce noire, qui fait remonter tous les aspects les plus sombres de l'homme (l'humanité ?) qui couvent sous la surface policée de la civilisation, caricaturée par le rituel du restaurant chic et des manières et postures, ou bien symbolisé par la maladie du narrateur, l'amenant à des bouffées de violence incontrôlée. ( )