AccueilGroupesDiscussionsPlusTendances
Site de recherche
Ce site utilise des cookies pour fournir nos services, optimiser les performances, pour les analyses, et (si vous n'êtes pas connecté) pour les publicités. En utilisant Librarything, vous reconnaissez avoir lu et compris nos conditions générales d'utilisation et de services. Votre utilisation du site et de ses services vaut acceptation de ces conditions et termes.

Résultats trouvés sur Google Books

Cliquer sur une vignette pour aller sur Google Books.

Chargement...

Les sorcières d'Eastwick (1984)

par John Updike

Autres auteurs: Voir la section autres auteur(e)s.

Séries: The Eastwick Novels (1)

MembresCritiquesPopularitéÉvaluation moyenneDiscussions / Mentions
3,243474,081 (3.31)1 / 187
Fiction. Literature. HTML:

“John Updike is the great genial sorcerer of American letters [and] The Witches of Eastwick [is one of his] most ambitious works. . . . [A] comedy of the blackest sort.”—The New York Times Book Review

Toward the end of the Vietnam era, in a snug little Rhode Island seacoast town, wonderful powers have descended upon Alexandra, Jane, and Sukie, bewitching divorcées with sudden access to all that is female, fecund, and mysterious. Alexandra, a sculptor, summons thunderstorms; Jane, a cellist, floats on the air; and Sukie, the local gossip columnist, turns milk into cream. Their happy little coven takes on new, malignant life when a dark and moneyed stranger, Darryl Van Horne, refurbishes the long-derelict Lenox mansion and invites them in to play. Thenceforth scandal flits through the darkening, crooked streets of Eastwick—and through the even darker fantasies of the town’s collective psyche.

“A great deal of fun to read . . . fresh, constantly entertaining . . . John Updike [is] a wizard of language and observation.”—The Philadelphia Inquirer

“Vintage Updike, which is to say among the best fiction we have.”—Newsday

.… (plus d'informations)
Chargement...

Inscrivez-vous à LibraryThing pour découvrir si vous aimerez ce livre

» Voir aussi les 187 mentions

Anglais (42)  Espagnol (1)  Italien (1)  Français (1)  Toutes les langues (45)
Alexandra, Sukie et Jane sont trois amies qui vivent à Eastwick, petite ville puritaine et bien pensante du plus minuscule des Etats-Unis, Rhode Island. Elles ont en commun d’être divorcées ou veuves, chacun des maris respectifs ayant disparu dans des circonstances obscures.
Alexandra est sculptrice, elle crée des statuettes de femmes plutôt dodues, Sukie est chargée de la rubrique des faits divers dans le journal local et, à ce titre, informée de tous les ragots et menus évènements de la ville, Jane est une violoncelliste assez douée qui enseigne la musique. Toutes trois entretiennent des relations amoureuses avec les maris d’autres femmes. Elles se rencontrent chaque jeudi pour papoter et, éventuellement, jeter quelques petits sorts plus ou moins malicieux à leurs meilleures ennemies.
Arrive alors Darryl Van Horne, célibataire new-yorkais richissime, scientifique et amateur d’art, qui a décidé de rénover et de s’installer dans l’immense manoir Lennox, situé au cœur d’un vaste espace naturel protégé. Autant dire le diable en personne !
Darryl Van Horne, malgré une description peu flatteuse (bourru, velu, les cheveux gras) va tour à tour séduire les trois sorcières, semer la zizanie et ruiner leur amitié, pour finalement jeter son dévolu sur la douce et jeune Jenny, récemment de retour en ville.
Dépitées et jalouses, les trois amies vont passer d’une magie plutôt inoffensive à une magie plus noire qui aura des conséquences tragiques.
Souvent présenté comme un roman sulfureux, The Witches of Eastwick est une fine observation de la société américaine des années 70, ancrée dans la réalité de l'époque, où les femmes commencent à s’émanciper, souvent drôle et sarcastique. ( )
  perduedansleslivres | Nov 22, 2011 |
Mr. Updike takes ''sisterhood is powerful'' at its word and imagines it literally. What if sisterhood really is powerful? What will the sisters use their ''powers'' for? And what - given human nature, of which Mr. Updike takes not too bright a view - what then? Luckily these witches are only interested in the ''personal,'' rather than the ''political''; otherwise they might have done something unfrivolous, like inventing the hydrogen bomb.... ''The Witches of Eastwick'' is an excursion rather than a destination. Like its characters, it indulges in metamorphoses, reading at one moment like Kierkegaard, at the next like Swift's ''Modest Proposal,'' and at the next like Archie comics, with some John Keats thrown in. This quirkiness is part of its charm, for, despite everything, charming it is. As for the witches themselves, there's a strong suggestion that they are products of Eastwick's - read America's - own fantasy life.
ajouté par Lemeritus | modifierNew York Times, Margaret Atwood (May 18, 1984)
 

» Ajouter d'autres auteur(e)s (12 possibles)

Nom de l'auteurRôleType d'auteurŒuvre ?Statut
Updike, Johnauteur principaltoutes les éditionsconfirmé
Brisk, DavidTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Vous devez vous identifier pour modifier le Partage des connaissances.
Pour plus d'aide, voir la page Aide sur le Partage des connaissances [en anglais].
Titre canonique
Titre original
Titres alternatifs
Date de première publication
Personnes ou personnages
Informations provenant du Partage des connaissances anglais. Modifiez pour passer à votre langue.
Lieux importants
Informations provenant du Partage des connaissances anglais. Modifiez pour passer à votre langue.
Évènements importants
Films connexes
Informations provenant du Partage des connaissances anglais. Modifiez pour passer à votre langue.
Épigraphe
Informations provenant du Partage des connaissances anglais. Modifiez pour passer à votre langue.
He was a meikle blak roch man, werie cold.
—Isobel Gowdie, in 1662
Now efter that the deuell had endit his admonitions, he cam down out of the pulpit, and caused all the company to com and kiss his ers, quihilk they said was cauld lyk yce; his body was hard lyk yrn, as they thocht that handled him.
—Agnes Sampson, in 1590

Dédicace
Premiers mots
Informations provenant du Partage des connaissances anglais. Modifiez pour passer à votre langue.
"And oh yes," Jane Smart said in her hasty yet purposeful way; each s seemed the black tip of a just-extinguished match held in a playful hurt, as children do, against the skin. "Sukie said a man has bought the Lenox mansion."
Citations
Informations provenant du Partage des connaissances anglais. Modifiez pour passer à votre langue.
For the last time...the exact blue of such a July day falls into my eyes. My lids lift, my corneas admit the light, my lenses focus it, my retinas and optic nerve report it to the brain. Tomorrow the Earth's poles will tilt a day more toward August and autumn, and a slightly different tincture of light and vapor will be distilled.
Derniers mots
Informations provenant du Partage des connaissances anglais. Modifiez pour passer à votre langue.
(Cliquez pour voir. Attention : peut vendre la mèche.)
Notice de désambigüisation
Directeur de publication
Informations provenant du Partage des connaissances anglais. Modifiez pour passer à votre langue.
Courtes éloges de critiques
Langue d'origine
Informations provenant du Partage des connaissances hongrois. Modifiez pour passer à votre langue.
DDC/MDS canonique
LCC canonique

Références à cette œuvre sur des ressources externes.

Wikipédia en anglais

Aucun

Fiction. Literature. HTML:

“John Updike is the great genial sorcerer of American letters [and] The Witches of Eastwick [is one of his] most ambitious works. . . . [A] comedy of the blackest sort.”—The New York Times Book Review

Toward the end of the Vietnam era, in a snug little Rhode Island seacoast town, wonderful powers have descended upon Alexandra, Jane, and Sukie, bewitching divorcées with sudden access to all that is female, fecund, and mysterious. Alexandra, a sculptor, summons thunderstorms; Jane, a cellist, floats on the air; and Sukie, the local gossip columnist, turns milk into cream. Their happy little coven takes on new, malignant life when a dark and moneyed stranger, Darryl Van Horne, refurbishes the long-derelict Lenox mansion and invites them in to play. Thenceforth scandal flits through the darkening, crooked streets of Eastwick—and through the even darker fantasies of the town’s collective psyche.

“A great deal of fun to read . . . fresh, constantly entertaining . . . John Updike [is] a wizard of language and observation.”—The Philadelphia Inquirer

“Vintage Updike, which is to say among the best fiction we have.”—Newsday

.

Aucune description trouvée dans une bibliothèque

Description du livre
Résumé sous forme de haïku

Discussion en cours

Aucun

Couvertures populaires

Vos raccourcis

Évaluation

Moyenne: (3.31)
0.5 3
1 29
1.5 1
2 56
2.5 13
3 179
3.5 36
4 164
4.5 15
5 48

Est-ce vous ?

Devenez un(e) auteur LibraryThing.

 

À propos | Contact | LibraryThing.com | Respect de la vie privée et règles d'utilisation | Aide/FAQ | Blog | Boutique | APIs | TinyCat | Bibliothèques historiques | Critiques en avant-première | Partage des connaissances | 204,738,126 livres! | Barre supérieure: Toujours visible