Ce site utilise des cookies pour fournir nos services, optimiser les performances, pour les analyses, et (si vous n'êtes pas connecté) pour les publicités. En utilisant Librarything, vous reconnaissez avoir lu et compris nos conditions générales d'utilisation et de services. Votre utilisation du site et de ses services vaut acceptation de ces conditions et termes.
Résultats trouvés sur Google Books
Cliquer sur une vignette pour aller sur Google Books.
Richard Hughes's celebrated short novel is a masterpiece of concentrated narrative. Its dreamlike action begins among the decayed plantation houses and overwhelming natural abundance of late nineteenth-century Jamaica, before moving out onto the high seas, as Hughes tells the story of a group of children thrown upon the mercy of a crew of down-at-the-heel pirates. A tale of seduction and betrayal, of accommodation and manipulation, of weird humor and unforeseen violence, this classic of twentieth-century literature is above all an extraordinary reckoning with the secret reasons and otherworldly realities of childhood.… (plus d'informations)
Les présentations des éditeurs sont toujours laudatives, soit par admiration réelle, soit pour inciter le potentiel lecteur à passer le cap de l'acte d'achat. C'est de bonne guerre et c'est ce que l'on demande. Aussi, lorsque j'ai su que ce livre traitait de piraterie (ce sombre domaine de l'enfance où se lovent les cauchemars et les rêves), je n'ai pas hésité à m'emparer de ce livre. Il faut convenir à l'auteur un réel talent dans certaines scènes de description. Celle de l'ouragan du début est très bien et Richard Hughes nous fait pleinement participer à cette nuit d'angoisse qui fait s'envoler leur maison. Cependant, il m'est difficile d'avouer un quelconque plaisir à la lecture de ce livre. Non pas que le thème soit inintéressant avec des enfants qui défient le sens commun pour se conduire en parfaits renégats, sûrs de l'impunité que leur confère leur jeune âge. Non, c'est tout simplement une question d'habillage, de couleur de papier peint, en un mot de style. A aucun moment, je ne me suis senti en empathie avec l'histoire, l'auteur s'ingéniant à mettre une certaine distanciation.
Quant à l'amoralité de l'enfance vantée par Jean-Pierre Sicre dans sa préface, Barrie l'avait largement évoquée dans son Peter Pan, bien plus pervers et cruel, à mille lieues du gentil farfadet que nous a laissé la version du grand Walt Disney.
Somme toute, je ne peux pas dire que ce livre vers dans le climat aventureux d'un Stevenson avec son Ile au trésor, ou mieux, d'un Faulkner dont le Moonfleet laissera une trace autrement plus indélébile que "Cyclone à la Jamaïque". ( )
Informations provenant du Partage des connaissances anglais.Modifiez pour passer à votre langue.
One of the fruits of Emancipation in the West Indian islands is the number of ruins, either attached to the houses that remain or within a stone's throw of them: ruined slaves' quarters, ruined sugar-grinding houses, ruined boiling houses; often ruined mansions that were too expensive to maintain.
Citations
Informations provenant du Partage des connaissances anglais.Modifiez pour passer à votre langue.
When Destiny knocks the first nail in the coffin of a tyrant, it is seldom long before she knocks the last.
It is the novelist who is concerned with facts, whose job it is to say what a particular man did do on a particular occasion: the lawyer does not, cannot be expected to go further than to show what the ordinary man would be most likely to do under presumed circumstances.
Of course it is not really so cut-and-dried as all this; but often the only way of attempting to express the truth is to build it up, like a card-house, of a pack of lies.
The morning advanced. The heated air grew quite easily hotter, as if from some reserve of enormous blaze on which it could draw at will. Bullocks only shifted their stinging feet when they could bear the soil no longer: even the insects were too languorous to pipe, the basking lizards hid themselves and panted. It was so still you could have heard the least buzz a mile off. Not a naked fish would willingly move his tail. The ponies advanced because they must. The children ceased even to muse.
Derniers mots
Informations provenant du Partage des connaissances anglais.Modifiez pour passer à votre langue.
In another room, Emily with the other new girls was making friends with the older pupils. Looking at that gentle, happy throng of clean innocent faces and soft graceful limbs, listening to the ceaseless, artless babble of chatter rising, perhaps God could have picked out from among them which was Emily; but I am sure that I could not.
Informations provenant du Partage des connaissances anglais.Modifiez pour passer à votre langue.
Originally published in the US as The Innocent Voyage
Directeur de publication
Courtes éloges de critiques
Langue d'origine
DDC/MDS canonique
LCC canonique
▾Références
Références à cette œuvre sur des ressources externes.
Wikipédia en anglais
Aucun
▾Descriptions de livres
Richard Hughes's celebrated short novel is a masterpiece of concentrated narrative. Its dreamlike action begins among the decayed plantation houses and overwhelming natural abundance of late nineteenth-century Jamaica, before moving out onto the high seas, as Hughes tells the story of a group of children thrown upon the mercy of a crew of down-at-the-heel pirates. A tale of seduction and betrayal, of accommodation and manipulation, of weird humor and unforeseen violence, this classic of twentieth-century literature is above all an extraordinary reckoning with the secret reasons and otherworldly realities of childhood.
▾Descriptions provenant de bibliothèques
Aucune description trouvée dans une bibliothèque
▾Description selon les utilisateurs de LibraryThing
Quant à l'amoralité de l'enfance vantée par Jean-Pierre Sicre dans sa préface, Barrie l'avait largement évoquée dans son Peter Pan, bien plus pervers et cruel, à mille lieues du gentil farfadet que nous a laissé la version du grand Walt Disney.
Somme toute, je ne peux pas dire que ce livre vers dans le climat aventureux d'un Stevenson avec son Ile au trésor, ou mieux, d'un Faulkner dont le Moonfleet laissera une trace autrement plus indélébile que "Cyclone à la Jamaïque". ( )