> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Borges-LAleph/1755

> L'ALEPH, par Jorge Luis Borges. — Recueil de nouvelles du plus grand écrivain argentin que ce siècle ait connu. Sa culture et son sens du mystère transpirent à chaque page de ce livre magnifique.
-- Borges est préoccupé avant tout du rapport que les êtres et les choses entretiennent avec le temps, et cela semble bien être une des angoisses les plus significatives du 20e siècle. La fiction de Borges pénètre dans le temple des siècles, et dépoussière les tablettes de la mémoire.
—Maxime Catellier (ICI.Radio-Canada.ca)

> BAnQ (La voix séfarad /, janvier 1980, Volume 9, no 1) : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2688741

> LA CROIX DU SUD — L'Aleph, par Jorge Luis Borges. Un recueil de dix-sept contes du grand écrivain argentin qui occupe aujourd'hui une place exceptionnelle dans la littérature mondiale. (218 pages)
—Le petit journal, 4 juin 1967

> Jorge Luis Borges, un personnage qui existe en dépit de lui-même. In: Ici Radio-Canada, 4 décembre 1971. … ; (article),
URL : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2882541

Quelque part ici bas, peut-être dans un palais indien, peut-être un temple inca, voire une antique bibliothèque disparue sous les flots, il existe un livre dans lequel est écrite une histoire qui raconte toute les histoires, qui abolit le langage pour s'adresser directement à l'esprit, qui découvre le sens des grandes vérités sur l'univers - vérités qui, peut-être, nous disent que nous vivons dans un monde de rêves, ou que notre monde n'existe que parce qu'il est le rêve d'un autre. L'Aleph n'est pas ce livre-là. Mais il s'en rapproche. ( )

Jorge Luis Borges est né en Argentine en 1899. Dès les années 1920, il participe à des revues littéraires ( dont Sur ) et traduit des auteurs de langue anglaise. Parallèlement, il écrit des poèmes, des nouvelles mais aussi des critiques de livres et de films. Ayant acquis une certaine notoriété, il devient enseignant à l’Université de Buenos Aires. Il donne à partir des années 1960 des conférences dans de nombreuses universités à travers le monde. Il meurt à Genève en 1986, après avoir établi avec Jean-Pierre Bernès l’édition Pléiade de ses œuvres.