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Chargement... Fun Home: A Family Tragicomicpar Alison Bechdel
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Inscrivez-vous à LibraryThing pour découvrir si vous aimerez ce livre Actuellement, il n'y a pas de discussions au sujet de ce livre. L'introspection intellectualisante d'Alison Bechdel donne un portrait assez clinique de l'Amérique des années 70-80. Quand l'égoïsme obsessionnel des baby boomers rencontre la nonchalance de la génération suivante. Un exorcisme très personnel - trop intellectualisant et trop sérieux à mon goût - qui sous couvert de revisiter la vie sexuelle des deux générations, donne dans le poncif facile. Dommage, la qualité du trait et le luxe de détails donnaient envie de mieux.
Bechdel’s style is straightforward. Her detailed drawings strive to present what she remembers accurately and with detail. The book is black-and-white with a blue-grey watercolor wash that provides depth and adds to the feeling of memory. Fait l'objet d'une adaptation dansPrix et récompensesDistinctionsListes notables
This book takes its place alongside the unnerving, memorable, darkly funny family memoirs of Augusten Burroughs and Mary Karr. It's a father-daughter tale perfectly suited to the graphic memoir form. Meet Alison's father, a historic preservation expert and obsessive restorer of the family's Victorian house, a third-generation funeral home director, a high school English teacher, an icily distant parent, and a closeted homosexual who, as it turns out, is involved with male students and a family babysitter. Through narrative that is alternately heartbreaking and fiercely funny, we are drawn into a daughter's complex yearning for her father. And yet, apart from assigned stints dusting caskets at the family-owned 'fun home, ' as Alison and her brothers call it, the relationship achieves its most intimate expression through the shared code of books. When Alison comes out as homosexual herself in late adolescence, the denouement is swift, graphic, and redemptive.--From publisher description. Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
Discussion en coursAucunCouvertures populairesGenresClassification décimale de Melvil (CDD)741.5973The arts Graphic arts and decorative arts Drawing & drawings Cartoons, Caricatures, Comics History, geographic treatment, biography North American United States (General)Classification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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Je l’ai déjà dit en parlant d’une autre grande BD autobiographique, L’Ascension du Haut Mal, mais je le répète ici, seul le récit autobiographique permet d’atteindre cette profondeur, cette densité. On obtient alors, comme c’est le cas ici, une oeuvre d’une richesse et d’un justesse que la fiction peine à égaler.
L’auteur raconte l’histoire de son père, un personnage complexe et ambivalent, qui a marqué sa vie et qu’elle cherche à comprendre à mesure qu’elle grandit.
En tentant de le comprendre, elle fait, son introspection et explore sa propre personnalité qui entre en résonance avec celle de son père. Elle analyse a posteriori sa propre évolution à l’aune de celle de son père. Le a posteriori est important car elle analyse en tant qu’adulte ses propres comportements et ceux de son père observés lorsqu’elle était enfant.
Si l’histoire est subtile et complexe, la façon de la raconter l’est tout autant. On ne discerne pas le maillage du scenario. On plonge de plus en plus profond sans s’en rendre compte, l’intérêt de la lecture allant toujours croissant. Je ne vais rien révéler de cette histoire car ce serait forcément réducteur et permettrait à certains de ranger dans des cases cette BD que je tiens pour un chef-d’oeuvre – le mot est lâché, je ne l’emploi pas souvent. Sachez simplement, qu’en plus de tout ce que j’ai dit, elle est truffée de références et notamment dans le domaine de la littérature dans lequel elle cite abondamment deux des trois sommets du XXe siècle : A la recherche du temps perdu, Ulysse – le troisième étant L’homme sans qualités, à eux trois ils comptent plus de 6000 pages, une paille. http://www.aubonroman.com/2014/05/fun-home-par-alison-bechdel.html ( )