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Les femelles (2005)

par Joyce Carol Oates

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A dark collection from one of America's literary giants. A young wife is home alone when the phone rings in 'So Help Me God.' Is the strange voice flirting with her from the other end of the line her jealous husband laying a trap, or a stranger who knows entirely too much about her? In 'Madison at Guignol' an unhappy fashionista discovers a secret door inside her favourite clothing store and insists the staff let her enter. But even her fevered imagination cannot anticipate the horror they have been hiding from her. In these and other gripping and disturbing tales, women are confronted by the evil around them and surprised by the evil they find within themselves. With wicked insight, Joyce Carol Oates demonstrates why the females of the species - be they six-year-old girls, seemingly devoted wives, or aging mothers - are by nature more deadly than the males.… (plus d'informations)
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Pas fan absolu des nouvelles, la couv. m’a quand même bien branché et mes dernières lecture de Joyce Carol Oates (m’)ont achevé… de me convaincre.

Et je n’ai pas été déçu par ces femelles qui, par vengeance, sadisme, accident, démence ou opportunité passent à l’acte. Mais, comme pour toutes les nouvelles, il faut se contenter d’une brève accroche, d’un court développement et d’une fin rapide. En l’occurrence, souvent brutale…

A conseiller aux amateurs de cruauté amorale et aux fans d’histoires courtes qui n’ont pas peur de s’endormir au coté d’une femme ( )
  noid.ch | Feb 21, 2022 |
Elles s'appellent Poupée, Lucrétia ou encore Kristine. Toutes semblent inoffensives. Derrière leurs visages angéliques, un mal sournois se tapit, attendant le moment propice pour se manifester : ce sont des tueuses. Joyce Carol Oates saisit au vol cette fulgurance meurtrière et observe tranquillement le venin agir et le sang se répandre.
  vdb | Jan 26, 2012 |
Joyce Carol Oates entretient une fascination certaine pour le crime et la violence, thème souvent exploré, en particulier pour cet instant, décisif, où tout bascule irrémédiablement et transforme une femme apparemment ordinaire en tueuse. C’est le thème des nouvelles réunies dans ce recueil, pour la plupart publiées entre 2001 et 2004 dans des revues littéraires, telles que Ellery Queen Mystery Magazine ou Spook.
Les neuf nouvelles mettent en scène des petites filles ou des femmes d’âge variable (de six à cinquante ans environ) qui, pour différentes raisons, passion, vengeance, jalousie, désespoir, pure cruauté ou compassion, vont basculer dans le crime, parce que comme l’exprime Kristine dans Faim, elles ont fait une "erreur, la pire des erreurs", qui bouleversera leurs destins.
Les nouvelles vont de quelques pages à une cinquantaine de pages et ce sont les plus longues (Avec l’aide de Dieu, Faim, l’Ange de Miséricorde) qui m’ont le plus interpellée. Certains portraits sont plus mémorables que d’autres, comme Lucrétia, la jeune épouse du shérif-adjoint, plutôt "bad boy", d’une petite ville de l’état de New-York, Poupée, la petite prostituée à qui il arrive de mutiler ses clients au rasoir pour offrir ensuite les "trophées" à son beau-père proxénète, ou Kristine qui sombre dans la folie meurtrière parce qu’elle ne sait comment faire autrement pour échapper à sa fatale liaison avec un étrange jeune homme.
En général, aucun crime n’est réellement prémédité, c’est une fin à laquelle elles sont poussées, le plus souvent par des hommes, mari, amant ou (beau)père. Une nouvelle fait exception dans le recueil,Madison au Guignol, définitivement plus gore que les autres, un peu fantastique, qui met en scène une new-yorkaise richissime, particulièrement stressée et perpétuellement insatisfaite, en expédition shopping sur Madison Avenue et qui sera victime d’un trio particulièrement odieux.
Dans tous les cas, Oates réussit à s’insinuer dans la tête de chacune de ses anti-héroïnes, que ce soit la petite fille de six ans, la fillette de onze ans prostituée par son beau-père, la jeune fille mariée trop tôt, la jeune mère ou la femme plus mûre. Chaque nouvelle se distingue suffisamment des autres pour maintenir l’intérêt du lecteur.
C’est violent, parfois sanglant, évidemment troublant, avec cette faculté que je trouve étonnante chez Oates d’explorer le même thème sans pour autant se répéter. ( )
  perduedansleslivres | Nov 22, 2011 |
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A dark collection from one of America's literary giants. A young wife is home alone when the phone rings in 'So Help Me God.' Is the strange voice flirting with her from the other end of the line her jealous husband laying a trap, or a stranger who knows entirely too much about her? In 'Madison at Guignol' an unhappy fashionista discovers a secret door inside her favourite clothing store and insists the staff let her enter. But even her fevered imagination cannot anticipate the horror they have been hiding from her. In these and other gripping and disturbing tales, women are confronted by the evil around them and surprised by the evil they find within themselves. With wicked insight, Joyce Carol Oates demonstrates why the females of the species - be they six-year-old girls, seemingly devoted wives, or aging mothers - are by nature more deadly than the males.

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