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Kallocain par Karin Boye
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Kallocain (original 1940; édition 2002)

par Karin Boye (Auteur), Gustaf Lannestock (Traducteur), Richard B. Vowles (Introduction)

MembresCritiquesPopularitéÉvaluation moyenneMentions
8102327,154 (3.8)29
Dans une société où la surveillance de tous, sous l'oeil vigilant de la police, est l'affaire de chacun, le chimiste Leo Kall met au point un sérum de vérité qui offre à l'État Mondial l'outil de contrôle total qui lui manquait. En privant l'individu de son dernier jardin secret, la Kallocaïne permet de débusquer les rêves de liberté que continuent d'entretenir de rares citoyens. Elle permettra également à son inventeur de surmonter, au prix d'un viol psychique, une crise personnelle qui lui fera remettre en cause nombre de ses certitudes. Et si la mystérieuse cité fondée sur la confiance à laquelle aspirent les derniers résistants n'était pas qu'un rêve ? Kallocaïne, publié en 1940 en Suède, est l'un des principaux romans dystopiques du XXe siècle avec Nous autres (Zamiatine, 1920), Le Meilleur des mondes (Huxley, 1932), et 1984 (Orwell, 1948).… (plus d'informations)
Membre:burritapal
Titre:Kallocain
Auteurs:Karin Boye (Auteur)
Autres auteurs:Gustaf Lannestock (Traducteur), Richard B. Vowles (Introduction)
Info:University of Wisconsin Press (2002), Edition: 1, 193 pages
Collections:Votre bibliothèque, En cours de lecture
Évaluation:***
Mots-clés:Aucun

Information sur l'oeuvre

La Kallocaïne par Karin Boye (1940)

Récemment ajouté parbibliothèque privée, Hanvdp, Levitara, AsimGasimzade, LeiasHylla, harryofbath, grahame, Pluttis, PDSS
Bibliothèques historiquesAstrid Lindgren
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La poétesse suédoise Karin Boye écrivit ce roman à la veille de son suicide en 1941. Longtemps dans le cercle des écrivains liés à Henri Barbusse, auteurs pacifistes et socialistes, elle déchante lors d'un voyage en URSS en 1928, au tout début donc de l'ère stalinienne, en découvrant les réalités de la vie soviétique. Elle publie plusieurs volumes de poésie ainsi que des romans, certains autobiographiques.
La Kallocaïne est un roman de la dystopie, écrit dans la tourmente des premiers mois de la Seconde guerre mondiale alors que le totalitarisme semble vaincre sur tous les fronts. Le roman dépeint une société terrifiante, plus proche il me semble de la société soviétique que de celle de l'Allemagne nazie — y compris peut-être de manière prémonitoire, par exemple par la description de villes fermées dédiées à la recherche scientifique. Le personnage central, Leo Kall, a mis au point une drogue — sorte de sérum de vérité — qui contraint ceux à qui on l'injecte à révéler leurs pensées les plus intimes en levant toutes leurs inhibitions. Au fur et à mesure que les expériences menées sur des cobayes "volontaires" révèlent la puissance de la kallocaïne, les autorités de l'État vont prendre en charge l'expérimentation puis modifier le droit pour permettre de poursuivre les coupables par la pensée.
Si le texte n'a peut-être pas tout à fait la qualité d'écriture que l'on peut trouver dans le Nous de Zamiatine, il en est toutefois très proche par le fond, de même qu'il est très proche du 1984 d'Orwell. Très proche et souvent plus effrayant, en tout cas plus effrayant que le roman de Zamiatine, sans doute par le caractère quotidien, simpliste, inculte également de la pensée du narrateur, élevé dans un monde sans passé donc sans histoire entièrement contrôlé par les services de propagande et qui ne comprend donc pas que certains de ses cobayes aient conservé la mémoire de civilisations antérieures (puisqu'il n'y a jamais eu de civilisations avant l'État mondial et qu'au-delà des frontières dont nul ne sait où elles seraient puisque toute mention de données géographique est interdite il n'existe pas d'êtres humains).
La différence majeure avec ces deux autres grands romans dystopiques est que le personnage principal ne se retrouve pas victime à son tour du système : fait prisonnier par l'armée ennemie (celle de l'État universel, très similaire idéologiquement à l'État mondial), il va poursuivre les mêmes recherches. Orwell l'aurait montré subissant à son tour l'injection de kallocaïne ; Boye le montre en délateur faisant arrêter et condamner son propre chef qui exprime trop visiblement ses sentiments pour ne pas être dangereux. ( )
  catherinedarley | Mar 22, 2015 |
Boye schrijft niet over deze tijd, maar veel uit Kallocaïne is wel toepasbaar op deze tijd. Ik snap hoe voor de collega de verleiding groot is om in toevalligheden te denken. Maar het is wel degelijk een kwaliteit van Kallocaïne en van de schrijfkunst van Karin Boye. Iedereen kan een nachtmerrie verzinnen. Maar een mogelijke nachtmerrie is nog iets anders. De schrijfster van Kallocaïne had goed gekeken naar de spoken van haar tijd; spoken die klaarblijkelijk zo onuitroeibaar zijn dat ze ook in andere tijden -in een andere gedaante- weer op konden duiken…lees verder >
 

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Nom de l'auteurRôleType d'auteurŒuvre ?Statut
Boye, Karinauteur principaltoutes les éditionsconfirmé
Alinei, BarbaraTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Clemens, HelgaTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Gullberg, HelgeIntroductionauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Haars, PeterArtiste de la couvertureauteur secondairequelques éditionsconfirmé
McDuff, DavidTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Savutie, MaijaTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Thurmann-Moe, VeslemøyTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Virtanen, OlliTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
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The book I now sit down to write must seem pointless to many—if indeed I dare imagine "many" will have the opportunity to read it—since of my own volition, without anyone's request, I undertake such a work, and since I myself am not quite clear as to the purpose.
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Références à cette œuvre sur des ressources externes.

Wikipédia en anglais (1)

Dans une société où la surveillance de tous, sous l'oeil vigilant de la police, est l'affaire de chacun, le chimiste Leo Kall met au point un sérum de vérité qui offre à l'État Mondial l'outil de contrôle total qui lui manquait. En privant l'individu de son dernier jardin secret, la Kallocaïne permet de débusquer les rêves de liberté que continuent d'entretenir de rares citoyens. Elle permettra également à son inventeur de surmonter, au prix d'un viol psychique, une crise personnelle qui lui fera remettre en cause nombre de ses certitudes. Et si la mystérieuse cité fondée sur la confiance à laquelle aspirent les derniers résistants n'était pas qu'un rêve ? Kallocaïne, publié en 1940 en Suède, est l'un des principaux romans dystopiques du XXe siècle avec Nous autres (Zamiatine, 1920), Le Meilleur des mondes (Huxley, 1932), et 1984 (Orwell, 1948).

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