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Chargement... Les chroniques des Ravens, Tome 1 : AubeMort (1999)par James Barclay
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Inscrivez-vous à LibraryThing pour découvrir si vous aimerez ce livre Actuellement, il n'y a pas de discussions au sujet de ce livre. Les Ravens, c'est le meilleur de la fantasy plaisir. Combat et magie, acier et fireballs. De la fantasy ultra classique dans un habillage tout feu tout flammes, avec son lot d'amitiés taillées dans le roc, de rebondissements, de morts cruelles et de cascades. L'ombre du jeu de rôle n'est jamais loin mais qu'importe, le plaisir est entier. Aubemort, ce sont ces moments de nostalgie, de portes crochetées, d'incantations murmurées, de lames jaillissant de leurs fourreaux, comme en faisant griller les marshmallows au coin du feu. Les Ravens, c'est un bonbon, une boîte de chocolat, de la gourmandise pure et simple : on sait qu'on ne devrait pas, que ça ne fait pas progresser la fantasy d'un poil, mais au diable le régime, c'est si bon. Il n'y a qu'un mot à ajouter : RAVENS ! Ravens avec moi ! Appartient à la série
Chronicles of the Raven: One ELITE, UNSTOPPABLE ... AND HIRED TO DO THE UNTHINKABLE The Raven are an elite. Formed of six men and an elf, they're swords for hire in the wars that have torn their land apart. For years their only loyalty has been to themselves, and to their code. But that time is coming to an end. The Wytch Lords have escaped and The Raven find themselves fighting for the Dark College of magic, on a mission which soon becomes a race for the secret location of Dawnthief. It's a spell - one created to end the world - and there's a danger that someone is going to use it ... Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)823.92Literature English & Old English literatures English fiction Modern Period 2000-Classification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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C’est de l’heroic fantasy pure et dure. Voici le contexte : les Ravens forment un groupe de mercenaires qui s’est créé il y a une dizaine d’années. Ils ont tout fait, tout enduré, ce sont des vieux de la vieille. Ils sont connus de bien des commandants puisqu’ils ont pu offrir leur service à tout le monde ou presque. C’est un petit groupe soudé, des frères d’armes qui agissent comme un seul homme sur le champ de bataille. En plus, ils ont un code d’honneur qui les empêche d’assassiner, ils ne tuent que leurs ennemis et ce sur le champ de bataille. Bref, des bons gars… Le hasard a fait qu’ils fassent une rencontre spéciale lors de leur dernier contrat, un mage appartenant à un collège de magie de mauvaise réputation (entendez « qui n’hésite pas à tuer et qui n’a pas d’honneur »…) qui les impliquera dans la résolution d’une grande menace. En effet, de vils sorciers bannis il y a des siècles de ce monde reviennent pour se venger en unissant de viles tribus barbares contre les gentils contre le peuple civilisé. Seuls les Ravens semblent pouvoir aider le mage (qui ne semble pas si méchant) à sauver le monde…Zzz… Zzz… Zzz… Zzz…Vous êtes encore là ^^ ? Moi je n’ai pas le choix, j’ai encore le bouquin à finir, vous comprenez ma peine…Bon, j’avoue, tout n’est pas à jeter notamment le fait que le récit est bien rythmé. Les scènes s’enchainent plutôt bien, le cheminement de l’intrigue est plausible. Autant dans « le Royaume de Saramir », je me sentais un peu brusqué par l’arrivée inopinée de protagonistes, ben autant là non (vous en rêviez de cette chute…). Le tout me fait énormément penser à une bonne partie de jeu de rôles avec ses accrocs et ses réussites.
Mais bon, ça ne fait pas tout… Les personnages sont traités de manière caricaturale ou carrément pas traités du tout, j’en viendrais presque à regretter ce chouineur de FitzChevalerie (« L’assassin royal » de Robin Hobb). Quand au scénario… C’est un peu comme « Le huitième sortilège » de Pratchett mais en se prenant au sérieux. Pratchett aurait parodié « Aubemort » avant que ce roman soit écrit. ‘Tain il est fort Pratchett, il me scie… Donc une version sérieuse d’une parodie, ce n’est pas ce qu’on appelle un nanar ? Oui, voilà, c’est le mot. « Aubemort », c’est un nanar littéraire ( )