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Chargement... Justine o le sventure della virtù (original 1788; édition 2005)par François de Sade (Auteur)
Information sur l'oeuvreLes infortunes de la vertu par Marquis de Sade (1788)
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Inscrivez-vous à LibraryThing pour découvrir si vous aimerez ce livre Actuellement, il n'y a pas de discussions au sujet de ce livre. Je pense que Sade est très mal jugé par rapport à ce qu'il écrit - plutôt, je pense qu'il utilise la forme du roman pour faire passer ses idées révolutionnaires. Ces horreurs ne sont là que comme diversions pour déjouer ses détracteurs politiques et, ayant lu quelques unes de ses oeuvres, Sade aurait mérité plusieurs fois la mort. Comme Matthew Lewis en Angleterre, avec son 'Moine', les horreurs ne sont que les fruits d'une réalité tout aussi perverse, avec la décadence et la dégradation de la noblesse et des personnes. Je pense qu'il devait avoir une très basse opinion des ses pairs, et il a écrit ce qu'il a perçu autour de lui. Autant Casanova était séduisant, autant les personnages de Sade sont repoussants, mais il faut lire entre les lignes pour voir la philosophies révolutionnaire du marquis. Je recommande particulièrement ses essais sur les romans.
Justine and Juliette were sisters and the daughters of a banker who died and left them in bankrupcy, they were thrown out of the nunery were they were staying, Juliette did well working as prostitute and Justine went to work with an usurer who ask her to steal for him, when she said no, the usurer acused her of a thef she didn't commit, she managed to escape jail but that was just the begining of her pains Appartient à la série éditorialeEst contenu dansFait l'objet d'une adaptation dans
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)813Literature English (North America) American fictionClassification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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So Sade... Lecteurs, abandonnez toute espérance et bienvenue dans le neuvième cercle de l'enfer.
Nul doute qu'il faille une certaine dose de masochisme pour se traîner jusqu'à la dernière page!
Le roman m'est en effet apparu comme un catalogue abject, interminable et répétitif des pires sévices, faisant tour à tour l'apologie du viol, du crime, de la pédophilie, de la torture, de l'avilissement le plus total. Les procédés littéraires utilisés m'ont paru faibles, outranciers, des artifices peu brillants pour amener de nouvelles scènes de viols et de torture, entrecoupées de dialogues improbables et pseudo-philosophiques entre la très vertueuse et naïve Justine et ses bourreaux successifs. Ces derniers servent de manière identique et sans nuance les mêmes propos sur la nécessité du mal, de l'égoïsme le plus féroce, de l'entière possession par l'homme du corps de la femme, amas de chair et réceptacle seulement bons à être tyrannisés et immolés. Au secours!
Si ces écrits n'étaient que pure fiction, ils pourraient au moins passer pour une curiosité littéraire.
Une certaine partie de l'intelligentsia voit dans l'œuvre du "divin marquis" l'entrée dans une nouvelle ère de la sexualité moderne. J'y ai trouvé, pour ma part, tous les accents de la barbarie et de l'obscurantisme médiéval.
Nul hommage, à mes yeux, à la sexualité mais une déclaration de guerre totale.
À chacun, bien sûr, de se faire sa propre opinion... ( )