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Feuilles d'herbe (1855)

par Walt Whitman, Lawrence Clark Powell (Directeur de publication)

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10,27685701 (4.1)3 / 358
Introduction by Justin Kaplan.
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> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Whitman-Feuilles-dherbe/1888
> BAnQ (Major A., Le petit journal, 8 août 1965) : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/4251310

> FEUILLES D'HERBE (1855) de Walt Whitman. — On croyait connaître ce livre fleuve, ou plutôt océan, de Walt Whitman grâce notamment à la traduction qu'en avait donnée Jacques Darras (Grasset, 1989 et 1994, puis Poésie-Gallimard, 2002). Mais on n'avait pas prêté une attention suffisante à l'histoire de ce grand dialogue, comme d'égal à égal, entre le poète et la jeune Amérique. L'oeuvre fut en fait maintes fois remaniée et augmentée, polie par l'auteur : pas moins de huit éditions jusqu'à celle dite "du lit de mort" (1891-1892).
L'édition bilingue que propose Eric Athenot est la première, celle de 1855, tirée à moins de mille exemplaires sans nom d'auteur. La préface, étonnante, est déjà là, mais le texte et la présentation des poèmes sont différents. Comme l'explique avec rigueur et enthousiasme Eric Athenot, Whitman a d'abord cherché une "convergence physique entre auteur, texte et lecteur". Puis, cela a été en s'amenuisant. Les lecteurs des Feuilles d'herbe tireront grand profit de cette belle lecture. Traduit de l'anglais (Etats-Unis) et postfacé par Eric Athenot, éd. José Corti, 338 p., 19 €.
--Patrick Kéchichian, 21 févr. 2008, (Le Monde)
  Joop-le-philosophe | Nov 25, 2018 |
Whitman's verse-technique is still of interest to the prosodist. His basic rhythm is an epic one—the Virgilian dactyl-spondee—and his line often hexametric. He sometimes sounds like Clough's Amours de Voyage, though it would be hard to imagine a greater disparity of tone and attitude than that which subsists between these two Victorians. Nevertheless, both Clough and Whitman saw that the loose hexameter could admit the contemporary and sometimes the colloquial..

He has only one subject—acceptance of the life-death cycle and reverence for it—and, since he uses an invariable technique, Leaves of Grass has a unity to be found in few other poets' collected volumes... But Whitman's aim is rather to present a universal democratic vista in terms of the American myth. The America of his poems sometimes seems as symbolic as that of Blake, and the bearded figure that strides across it with a big hello—the Answerer, all things to all men—is as much a home-made archetype as the Giant Albion.
ajouté par SnootyBaronet | modifierObserver, Anthony Burgess
 
Nature may have given the hint to the author of the "Leaves of Grass", but there exists no book or fragment of a book, which can have given the hint to them. All beauty, he says, comes from beautiful blood and a beautiful brain... Who then is that insolent unknown? Who is it, praising himself as if others were not fit to do it, and coming rough and unbidden among writers to unsettle what was settled, and to revolutionize, in fact, our modern civilization?

You have come in good time, Walt Whitman! In opinions, in manners, in costumes, in books, in the aims and occupancy of life, in associates, in poems, conformity to all unnatural and tainted customs passes without remark, while perfect naturalness, health, faith, self-reliance, and all primal expressions of the manliest love and friendship, subject one to the stare and controversy of the world.
ajouté par SnootyBaronet | modifierThe United States Review, Walt Whitman (Sep 1, 1855)
 

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Nom de l'auteurRôleType d'auteurŒuvre ?Statut
Walt Whitmanauteur principaltoutes les éditionscalculé
Powell, Lawrence ClarkDirecteur de publicationauteur principaltoutes les éditionsconfirmé
Allen, Gay WilsonIntroductionauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Angelo, ValentiIllustrateurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Babcock, Clarence MertonDirecteur de publicationauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Cullen, CharlesIllustrateurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Daniel, Lewis C.Illustrateurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Holloway, EmoryDirecteur de publicationauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Kaplan, JustinIntroductionauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Kent, RockwellIllustrateurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Kouwenhoven, John A.Directeur de publicationauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Loving, JeromeDirecteur de publicationauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Spanfeller, JimIllustrateurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
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Titre canonique
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Titre original
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Personnes ou personnages
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Films connexes
Épigraphe
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Come, said my Soul,
Such verses for my Body let us write, (for we are one,)
That should I after death invisibly return,
Or, long, long hence, in other spheres,
There to some group of mates the chants resuming,
(Tallying Earth's soil, trees, winds, tumultuous waves,)
Ever with pleas'd smile I may keep on,
Ever and ever yet the verses owning - as, first, I here and now
Signing for Soul and Body, set to them my name,
Walt Whitman
Dédicace
Premiers mots
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One's-self I sing, a simple separate person,
Yet utter the word Democratic, the word En-masse.
I celebrate myself,
And what I assume you shall assume,
For every atom belonging to me, as good belongs to you.
Citations
En anglais :Captain! my Captain! our fearful trip is done, The ship has weather’d every rack, the prize we sought is won, The port is near, the bells I hear, the people all exulting, While follow eyes the steady keel, the vessel grim and daring: But O heart! heart! heart! O the bleeding drops of red, Where on the deck my Captain lies, Fallen cold and dead. O Captain! my Captain! rise up and hear the bells, Rise up—for you the flag is flung—for you the bugle trills, For you bouquets and ribbon’d wreaths—for you the shores a-crowding, For you they call, the swaying mass, their eager faces turning, Here Captain! dear father! This arm beneath your head, It is some dream that on the deck, You’ve fallen cold and dead.My Captain does not answer, his lips are pale and still, My father does not feel my arm, he has no pulse nor will, The ship is anchor’d safe and sound, its voyage closed and done, From fearful trip, the victor ship, comes in with object won, Exult, O shores, and ring, O bells! But I, with mournful tread, Walk the deck my Captain lies, Fallen cold and dead.En français : O Capitaine! mon Capitaine! fini notre effrayant voyage,Le bateau a tous écueils franchis, le prix que nous quêtions est gagné, Proche est le port, j'entends les cloches, tout le monde qui exulte, En suivant des yeux la ferme carène, l'audacieux et farouche navire , Mais ô cœur! Cœur! Cœur! Oh ! Les gouttes rouges qui lentement tombent Sur le pont où gît mon Capitaine, Etendu mort et glacé. O Capitaine! mon Capitaine! lève-toi et entends les cloches! Lève-toi - c'est pour toi le drapeau hissé - pour toi le clairon vibrant, Pour toi bouquets et couronnes enrubannés - pour toi les rives noires de monde, Toi qu'appelle leur masse mouvante aux faces ardentes tournées vers toi, Tiens, Capitaine! père chéri! Je passe mon bras sous ta tête! C'est quelque rêve que sur le pont, Tu es étendu mort et glacé. Mon Capitaine ne répond pas, pâles et immobiles sont ses lèvres, Mon père ne sent pas mon bras, il n'a ni pulsation ni vouloir, Le bateau sain et sauf est à l'ancre, sa traversée conclue et finie, De l'effrayant voyage le bateau rentre vainqueur, but gagné, O rives, Exultez, et sonnez, ô cloches ! Mais moi d'un pas accablé, Je foule le pont où gît mon Capitaine, Etendu mort et glacé.
Adieu mon Invention !Au revoir ma petite amie, mon amour tendre ! Je m'en vais, je ne sais pas où,Vers quelle fortune, je ne sais pas si je te reverrai, Adieu, donc, mon Invention.Une dernière fois — laisse-moi regarder en arrière.Le tic-tac de plus en plus faible plus lent de l'horloge est en moi,La sortie, la nuit qui tombe, le bruit du cœur tout au bord de cesser.Longtemps nous avons vécu, dans la joie, les caresses mutuelles ,Ah ! quel plaisir — c'est l'heure de nous quitter — Adieu mon Invention !Non, je ne veux rien précipiter,Nous avons depuis si longtemps vécu, dormi en osmose ensemble, fusionné nos deux en un,Si nous mourons nous mourons ensemble (donc nous serons toujours un),Si nous allons quelque part nous irons ensemble au-devant de l'inconnu,Qui sait si nous ne serons pas plus heureux plus joyeux, dans la découverte,Qui sait si tu n'es pas en train de me conduire vers des chants plus vrais (oui qui sait?)Qui sait si ça n'est pas toi le bouton de porte de la mort qui s'ouvre qui tourne — alors à la fin,Adieu — et bonjour mon Invention !
Derniers mots
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(Cliquez pour voir. Attention : peut vendre la mèche.)
(Cliquez pour voir. Attention : peut vendre la mèche.)
Notice de désambigüisation
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Whitman revised Leaves of Grass at numerous points in his lifetime, frequently with significant changes between editions. (e.g. 93 pages for the original 1855 edition vs. 439 pages for the final 1891-92 edition.)  This work contains those entries for which the edition is unknown.

If your edition is here and you know which version it is, please separate it and combine it with the correct entry.
Directeur de publication
Courtes éloges de critiques
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Langue d'origine
DDC/MDS canonique
LCC canonique

Références à cette œuvre sur des ressources externes.

Wikipédia en anglais (1)

Introduction by Justin Kaplan.

Aucune description trouvée dans une bibliothèque

Description du livre
Résumé sous forme de haïku

Discussion en cours

Walt Whitman à Someone explain it to me...

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