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Chargement... The Lovely Bones (original 2002; édition 2004)par Alice Sebold
Information sur l'oeuvreLa nostalgie de l'ange par Alice Sebold (2002)
  
» 47 plus Female Protagonist (57) Magic Realism (46) 100 New Classics (13) Books About Murder (27) Carole's List (124) A Novel Cure (189) Books Read in 2008 (18) BBC Radio 4 Bookclub (112) Unread books (291) Rory Gilmore Book Club (103) 2000s decade (37) SHOULD Read Books! (30) BBC Big Read (92) rest, peace, fiction (11) Best Family Stories (241) First Novels (128) Books Read in 2002 (86) Books About Girls (106) Dead narrators (2) Books on my Kindle (152) Women Writers (2) Swinging Seventies (253) Books tagged favorites (369) Actuellement, il n'y a pas de discussions au sujet de ce livre.  Joop-le-philosophe | Mar 30, 2023 |    ) Danielec | May 6, 2013 |  ) Louve_de_mer | Jun 14, 2012 |  ) lucky44 | Mar 21, 2010 | Mais rien ne se produit, ou presque. La vie suit son cours, point. Ceci dit, c'est comme ça que cela se passe en vrai ! la vie suit toujours son court. http://ouistilit.blogspot.fr/2012/05/la-nostalgie-de-lange-dalice-sebold.html (  ) addy | Mar 11, 2010 |
 Sebold's compelling and sometimes poetic prose style and unsparing vision transform Susie's tragedy into an ultimately rewarding novel. Although some sections tend toward melodrama... other passages are dreamy and lyrical. Most striking is Sebold's mastery of a teenager's voice, from such small details as Susie's Strawberry-Banana Kissing Potion to her completely believable thought processes.  An extraordinary, almost-successful debut that treats sensational material with literary grace, narrated from heaven by the victim of a serial killer and pedophile.  Don't start "Lovely Bones" unless you can finish it. The book begins with more horror than you could imagine, but closes with more beauty than you could hope for. Sebold takes an enormous risk in her wonderfully strange début novel: her narrator, Susie Salmon, is dead—murdered at the age of fourteen by a disturbed neighbor—and speaks from the vantage of Heaven. Such is the author's skill that from the first page this premise seems utterly believable... If in the end she reaches too far, the book remains a stunning achievement. Appartient à la série éditorialeEst contenu dansFait l'objet d'une adaptation dansPossède un guide de référence avecContient un guide de lecture pour étudiantPrix et récompensesDistinctionsListes notables
Fiction.
Literature.
HTML:"My name was Salmon, like the fish; first name, Susie. I was fourteen when I was murdered on December 6, 1973." So begins the story of Susie Salmon, who is adjusting to her new home in heaven, a place that is not at all what she expected, even as she is watching life on earth continue without her ?? her friends trading rumors about her disappearance, her killer trying to cover his tracks, her grief-stricken family unraveling. Out of unspeakable tragedy and loss, The Lovely Bones succeeds, miraculously, in building a tale filled with hope, humor, suspense, even j Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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 Google Books — Chargement...GenresClassification décimale de Melvil (CDD)813.6Literature English (North America) American fiction 21st CenturyClassification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne: (3.7)
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> LA NOSTALGIE DE L’ANGE, de Alice Sebold - Éd. NIL. — Des deux côtés de l’Atlantique, tout le monde en parle. À 40 ans, c’est le premier roman de l’Américaine Alice Sebold, qui avait déjà écrit un récit autobiographique, Lucky, sur le viol qu’elle avait subi, à 18 ans. Ce dernier thème revient ici, puisque l’histoire commence par un crime affreux, commis par un pédophile. Mais au lieu de nous entraîner vers les marécages de l’horreur humaine, le récit s’élève dans l’hors-temps. La narratrice n’est autre que la gamine qui, avant même d’expirer, n’est déjà “plus là”. Ou plutôt si : elle est là mais dans un état d’esprit autre, à la fois détaché et compatissant, auprès de sa mère, qui prépare à dîner, ou de sa sœur, ou de son père, de ses amis... Depuis le monde des anges, elle va suivre la vie des siens - leur calvaire, leurs réactions de survie, leurs désirs, le déroulement de l’enquête - pendant plusieurs années. C’est d’un humour unique en son genre, tout imbibé de larmes, d’une finesse et d’une vivacité fantastiques. On songe au cinéma des Ailes du Désir de Wim Wenders - cet ange a une telle nostalgie de son corps, perdu si jeune ! On pleure et on se délecte. Un grand écrivain est né. (Patrice van EERSEL)
—Nouvelles Clés