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Unforgettably astounding and a joy to read, Memento Mori is considered by many to be the greatest novel by the wizardly Dame Muriel Spark. In late 1950s London, something uncanny besets a group of elderly friends: an insinuating voice on the telephone informs each, "Remember you must die." Their geriatric feathers are soon thoroughly ruffled by these seemingly supernatural phone calls, and in the resulting flurry many old secrets are dusted off. Beneath the once decorous surface of their lives, unsavories like blackmail and adultery are now to be glimpsed. As spooky as it is witty, poignant and wickedly hilarious, Memento Mori may ostensibly concern death, but it is a book which leaves one relishing life all the more.… (plus d'informations)
Muriel Spark fait partie de ces auteurs dont je n’ai jamais entendu parler jusqu’à récemment et qui titille ma curiosité. Memento Mori n’est pas son livre le plus célèbre, mais il arrive tout de même en deuxième position sur les sites de lecture. Comme il a tout l’air d’être épuisé en français, j’ai été toute contente de le trouver sur l’étagère d’un bouquiniste le mois dernier et je me suis lancée dans cette lecture avec gourmandise. Mais j’en ressors moins enthousiaste que je ne l’ai commencée. L’idée me plaisait bien : un « casting » exclusivement de personnes âgées (à deux ou trois exceptions près, mais ce sont alors des rôles plus que secondaires), est-ce d’ailleurs plausible, ces gouvernantes qui, dans les années d’après-guerre (la mondiale, la deuxième) continuent à travailler après 70 ans bien sonnés ? ; un mystérieux personnage appelant nos petits vieux en se contentant de leur déclarer : « Rappelez-vous qu’il faut mourir »… Tout cela me paraissait grinçant à souhait. Grinçant ça l’est, car Muriel Spark n’est pas tendre avec ses personnages dont elle dépeint avec férocité les travers, que ce soient leurs petits et leurs grands défauts, leurs ennuis de santé, la perte de leurs facultés intellectuelles, leur intérêt jamais démenti pour l’écriture et la réécriture de leur testament… Mais ce n’est que grinçant, lorsque j’espérais trouver aussi de la réflexion, et c’est cette attente déçue qui a gâché ma lecture. Je me serais contentée d’une nouvelle sur ce thème et ce ton, mais 250 pages bien tassées, c’était trop pour moi. Un livre à réserver à ceux qui aiment l’humour anglais et les livres caustiques, de ce point de vue c’est une vraie réussite, mais il ne faut pas en attendre davantage. Après tout, « sans la conscience permanente de la mort, la vie devient insipide. C’est un peu comme si on se nourrissait exclusivement de blanc d’oeufs. » (p.194, Chapitre 11).
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What shall I do with this absurdity - O heart, O troubled heart - this caricature, Decrepit age that has been tied to me As to a dog's tail?
W B Yeats, The Tower.
O what Venerable and Reverend Creatures did the Aged seem! Immortal Cherubims!
Thomas Traherne, Centuries of Meditation.
Q. What are the four last things to be ever remembered? A. The four last things to be ever remembered are Death, Judgement, Hell, and Heaven.
The Penny Catechism.
Dédicace
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For TERESA WALSHE with love
Premiers mots
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Dame Lettie Colston refilled her fountain-pen and continued her letter: One of these days I hope you will write as brilliantly on a happier theme.
The world according to Muriel Spark is a startling place, constructed with intelligence, relish and extraordinary precision. (Introduction)
Citations
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Remember you must die.
(Spoiler Alert) Lisa Brooke died in her seventy-third year after her second stroke. She had taken nine months to die, and in fact it was only a year before her death that, feeling rather ill, she had decided to reform her life, and reminding herself how attractive she still was, offered up the new idea, her celibacy, to the Lord to whom no gift whatsoever is unacceptable.
Derniers mots
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Jean Taylor lingered for a time, employing her pain to magnify the Lord, and meditating sometimes confidingly upon Death, the first of the four last things to be ever remembered.
Unforgettably astounding and a joy to read, Memento Mori is considered by many to be the greatest novel by the wizardly Dame Muriel Spark. In late 1950s London, something uncanny besets a group of elderly friends: an insinuating voice on the telephone informs each, "Remember you must die." Their geriatric feathers are soon thoroughly ruffled by these seemingly supernatural phone calls, and in the resulting flurry many old secrets are dusted off. Beneath the once decorous surface of their lives, unsavories like blackmail and adultery are now to be glimpsed. As spooky as it is witty, poignant and wickedly hilarious, Memento Mori may ostensibly concern death, but it is a book which leaves one relishing life all the more.
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Mais j’en ressors moins enthousiaste que je ne l’ai commencée. L’idée me plaisait bien : un « casting » exclusivement de personnes âgées (à deux ou trois exceptions près, mais ce sont alors des rôles plus que secondaires), est-ce d’ailleurs plausible, ces gouvernantes qui, dans les années d’après-guerre (la mondiale, la deuxième) continuent à travailler après 70 ans bien sonnés ? ; un mystérieux personnage appelant nos petits vieux en se contentant de leur déclarer : « Rappelez-vous qu’il faut mourir »… Tout cela me paraissait grinçant à souhait.
Grinçant ça l’est, car Muriel Spark n’est pas tendre avec ses personnages dont elle dépeint avec férocité les travers, que ce soient leurs petits et leurs grands défauts, leurs ennuis de santé, la perte de leurs facultés intellectuelles, leur intérêt jamais démenti pour l’écriture et la réécriture de leur testament… Mais ce n’est que grinçant, lorsque j’espérais trouver aussi de la réflexion, et c’est cette attente déçue qui a gâché ma lecture. Je me serais contentée d’une nouvelle sur ce thème et ce ton, mais 250 pages bien tassées, c’était trop pour moi.
Un livre à réserver à ceux qui aiment l’humour anglais et les livres caustiques, de ce point de vue c’est une vraie réussite, mais il ne faut pas en attendre davantage. Après tout, « sans la conscience permanente de la mort, la vie devient insipide. C’est un peu comme si on se nourrissait exclusivement de blanc d’oeufs. » (p.194, Chapitre 11).