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Celebrated as the most successful geisha of her generation, Mineko Iwasaki was only five years old when she left her parents' home for the world of the geisha. For the next twenty-five years, she would live a life filled with extraordinary professional demands and rich rewards. Through great pride and determination, she would be hailed as one of the most prized geishas in Japan's history, and one of the last great practitioners of this now fading art form. In Geisha, a Life, Mineko Iwasaki tells her story, from her warm early childhood, to her intense yet privileged upbringing in the Iwasaki okiya (household), to her years as a renowned geisha, and finally, to her decision at the age of twenty-nine to retire and marry, a move that would mirror the demise of geisha culture. Mineko brings to life the beauty and wonder of Gion Kobu, a place that 'existed in a world apart, a special realm whose mission and identity depended on preserving the time-honored traditions of the past.' Geisha, a Life is the first of its kind, as it delicately unfolds the fabric of a geisha's development. Told with great wisdom and sensitivity, it is a true story of beauty and heroism, and of a time and culture rarely revealed to the Western world.… (plus d'informations)
sbuehrle: I would recommend reading these books back-to-back. Memoirs of a Geisha is the fictional account of Iwasaki's life, whereas Geisha: A Life is the autobiographical response.
J’avais trouvé sur internet un ensemble de ebooks à très bon prix comportant plusieurs oeuvres de littérature japonaise traduites en français. Il m’a beaucoup intéressé, car il comportait, en plus d’autres livres très intéressants, la biographie Ma vie de Geisha, écrite par la femme ayant inspiré l’auteur Arthur Golden pour son bestseller Geisha. Mineko Iwasaki a décidé d’écrire sa biographie afin de contredire certaines pratiques dont traite Golden dans son roman et qui, selon elle, sont fausses et dont elle n’a jamais fait état. Prenant en compte cette polémique, j’étais curieuse d’en savoir plus sur le sujet.
un premier aspect qui m’a plu :
J’ai beaucoup aimé le fait qu’Iwasaki a écrit sa biographie dans le but de rétablir la vérité sur sa profession. Dans Geisha, Arthur Golden traite de la mise aux enchères du dépucelage des jeunes geishas. Iwasaki, qu’il a interviewé afin d’écrire son roman. avait mentionné que cette pratique était courante chez les courtisanes, des prostituées de luxe, seulement. L’auteur a pourtant choisi de l’associer aux geishas, ce que Mineko Iwasaki n’a pas du tout aimé. Donc, cette biographie est un moyen pour elle de montrer réellement ce qu’est sa profession, et j’ai vraiment apprécié cet aspect instructif du livre.
un second aspect qui m’a plu :
À un moment donné, j’ai oublié de marquer ma page et je ne me rappelais pas où j’étais rendue. Par contre, je me souvenais d’un nom en particulier qui était celui d’un acteur japonais dont elle parlait dans son livre. Comme j’étais sur ma tablette et que je lisais un livre en format epub, j’ai pu faire une recherche de mot et ainsi retrouver ma page. Si le livre avait été papier, la retrouver aurait été beaucoup plus compliqué. Bien que cela ne soit pas un aspect de l’histoire en tant que tel, cela en reste un de l’expérience de lecture qui m’a plu.
Un aspect qui m’a moins plu :
L’auteure est très arrogante. Bien qu’elle traite de sa profession et de sa vie en tant que geisha, elle va très souvent parler de combien elle était la plus belle, la plus intelligente et la meilleure. Il faut dire qu’elle a été une vedette dans son milieu, mais lire constamment ses exploits et ses opinions très hautes placées sur elle même m’a un peu gâché l’expérience, vu que ce n’est jamais plaisant d’entendre les gens se vanter. Je pense qu’elle aurait pu nous raconter tout ça tout en restant un peu humble et modeste dans sa manière d’écrire.
L'objet numérique:
a. Fonctions liées à l’affichage et à l’annotation • On peut choisir un mode de lecture: les modes normal et sépia (fond de couleur sépia) pour le jour et le mode nuit, qui diminue la luminosité grâce à un fond noir et une écriture blanche pour la nuit. Il est aussi possible de changer la taille de la police et de choisir parmi cinq polices celle qui nous convient le mieux . Les pages se tournent de manière à imiter un livre en tant qu’objet: on reste appuyé sur le coin de la page puis on la «tourne» du même mouvement que l’on aurait utilisé avec un vrai livre. • iBooks nous permet aussi de surligner du texte, en passant notre doigt dessus et de lui associer une note qui apparaît comme un petit carré de la couleur utilisée pour le surlignage à côté de la ligne.
b. Fonctions hypertextuelles • La navigation se fait par chapitre: le nombre de pages qui reste à lire, et qui apparaît dans le coin en bas à droite juste au-dessus de la barre de navigation, est celui restant au chapitre et non au livre entier. On peut naviguer soit via la barre, soit grâce à nos doigts. • Lorsqu’il y a une note dans le texte, celle-ci apparaît comme un numéro entre crochets à côté de la phrase. Lorsque l’on clique dessus, cela nous ramène à la fin du livre à l’endroit même où la note apparait, à côté de son numéro. • Je n’ai pas eu l’occasion de tester les renvois externes, car le livre n’en présentait pas. Cependant, l’application offre cette fonctionnalité (Apple, 2015). ( )
Celebrated as the most successful geisha of her generation, Mineko Iwasaki was only five years old when she left her parents' home for the world of the geisha. For the next twenty-five years, she would live a life filled with extraordinary professional demands and rich rewards. Through great pride and determination, she would be hailed as one of the most prized geishas in Japan's history, and one of the last great practitioners of this now fading art form. In Geisha, a Life, Mineko Iwasaki tells her story, from her warm early childhood, to her intense yet privileged upbringing in the Iwasaki okiya (household), to her years as a renowned geisha, and finally, to her decision at the age of twenty-nine to retire and marry, a move that would mirror the demise of geisha culture. Mineko brings to life the beauty and wonder of Gion Kobu, a place that 'existed in a world apart, a special realm whose mission and identity depended on preserving the time-honored traditions of the past.' Geisha, a Life is the first of its kind, as it delicately unfolds the fabric of a geisha's development. Told with great wisdom and sensitivity, it is a true story of beauty and heroism, and of a time and culture rarely revealed to the Western world.
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J’avais trouvé sur internet un ensemble de ebooks à très bon prix comportant plusieurs oeuvres de littérature japonaise traduites en français. Il m’a beaucoup intéressé, car il comportait, en plus d’autres livres très intéressants, la biographie Ma vie de Geisha, écrite par la femme ayant inspiré l’auteur Arthur Golden pour son bestseller Geisha. Mineko Iwasaki a décidé d’écrire sa biographie afin de contredire certaines pratiques dont traite Golden dans son roman et qui, selon elle, sont fausses et dont elle n’a jamais fait état. Prenant en compte cette polémique, j’étais curieuse d’en savoir plus sur le sujet.
un premier aspect qui m’a plu :
J’ai beaucoup aimé le fait qu’Iwasaki a écrit sa biographie dans le but de rétablir la vérité sur sa profession. Dans Geisha, Arthur Golden traite de la mise aux enchères du dépucelage des jeunes geishas. Iwasaki, qu’il a interviewé afin d’écrire son roman. avait mentionné que cette pratique était courante chez les courtisanes, des prostituées de luxe, seulement. L’auteur a pourtant choisi de l’associer aux geishas, ce que Mineko Iwasaki n’a pas du tout aimé. Donc, cette biographie est un moyen pour elle de montrer réellement ce qu’est sa profession, et j’ai vraiment apprécié cet aspect instructif du livre.
un second aspect qui m’a plu :
À un moment donné, j’ai oublié de marquer ma page et je ne me rappelais pas où j’étais rendue. Par contre, je me souvenais d’un nom en particulier qui était celui d’un acteur japonais dont elle parlait dans son livre. Comme j’étais sur ma tablette et que je lisais un livre en format epub, j’ai pu faire une recherche de mot et ainsi retrouver ma page. Si le livre avait été papier, la retrouver aurait été beaucoup plus compliqué. Bien que cela ne soit pas un aspect de l’histoire en tant que tel, cela en reste un de l’expérience de lecture qui m’a plu.
Un aspect qui m’a moins plu :
L’auteure est très arrogante. Bien qu’elle traite de sa profession et de sa vie en tant que geisha, elle va très souvent parler de combien elle était la plus belle, la plus intelligente et la meilleure. Il faut dire qu’elle a été une vedette dans son milieu, mais lire constamment ses exploits et ses opinions très hautes placées sur elle même m’a un peu gâché l’expérience, vu que ce n’est jamais plaisant d’entendre les gens se vanter. Je pense qu’elle aurait pu nous raconter tout ça tout en restant un peu humble et modeste dans sa manière d’écrire.
L'objet numérique:
a. Fonctions liées à l’affichage et à l’annotation
• On peut choisir un mode de lecture: les modes normal et sépia (fond de couleur sépia) pour le jour et le mode nuit, qui diminue la luminosité grâce à un fond noir et une écriture blanche pour la nuit. Il est aussi possible de changer la taille de la police et de choisir parmi cinq polices celle qui nous convient le mieux . Les pages se tournent de manière à imiter un livre en tant qu’objet: on reste appuyé sur le coin de la page puis on la «tourne» du même mouvement que l’on aurait utilisé avec un vrai livre.
• iBooks nous permet aussi de surligner du texte, en passant notre doigt dessus et de lui associer une note qui apparaît comme un petit carré de la couleur utilisée pour le surlignage à côté de la ligne.
b. Fonctions hypertextuelles
• La navigation se fait par chapitre: le nombre de pages qui reste à lire, et qui apparaît dans le coin en bas à droite juste au-dessus de la barre de navigation, est celui restant au chapitre et non au livre entier. On peut naviguer soit via la barre, soit grâce à nos doigts.
• Lorsqu’il y a une note dans le texte, celle-ci apparaît comme un numéro entre crochets à côté de la phrase. Lorsque l’on clique dessus, cela nous ramène à la fin du livre à l’endroit même où la note apparait, à côté de son numéro.
• Je n’ai pas eu l’occasion de tester les renvois externes, car le livre n’en présentait pas. Cependant, l’application offre cette fonctionnalité (Apple, 2015). ( )