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Sur fond de misère se joue la partition désenchantée d'une communauté injustement rejetée incarnée par une jeune enfant noire étourdissante de justesse. Le saisissant premier roman de Toni Morrison qui contient en germe tous les thèmes de son œuvre. Avec L'œil le plus bleu, saisissant premier roman vibrant de douleur et de révolte, Toni Morrison marque son entrée en littérature. À Lorain, dans l'Ohio des années 40, Claudia et Pecola, deux fillettes noires, grandissent côte à côte. La première déteste les poupées blondes, modèles imposés de perfection qui lui rappellent combien sa haine est légitime. L'autre idolâtre Shirley Temple et rêve d'avoir les yeux bleus. Mais face à la dure réalité d'une Amérique Blanche, le rêve de beauté d'une petite fille est un leurre qui ne cède le pas qu'au fantasme et à la folie.… (plus d'informations)
I have said "poetry." But "The Bluest Eye" is also history, sociology, folklore, nightmare and music. It is one thing to state that we have institutionalized waste, that children suffocate under mountains of merchandised lies. It is another thing to demonstrate that waste, to re-create those children, to live and die by it. Miss Morrison's angry sadness overwhelms.
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To the two who gave me life and the one who made me free
Premiers mots
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Quiet as it's kept, there were no marigolds in the fall of 1941.
Citations
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And it is the blackness that accounts for, that creates,the vacuum edged with distaste in white eyes.
But we listened for the one who would say, “Poor little girl,” or, “Poor baby,” but there was only head-wagging where those words should have been. We looked for eyes creased with concern, but saw only veils.
Derniers mots
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Oh, some of us "loved" her. The Maginot Line. And Cholly loved her. I'm sure he did. He, at any rate, was the one who loved her enough to touch her, envelop her, give something of himself to her. But his touch was fatal, and the something he gave her filled the matrix of her agony with death. Love is never any better than the lover. Wicked people love wickedly, violent people love violently, weak people love weakly, stupid people love stupidly, but the love of a free man is never safe. There is no gift for the beloved. The lover alone possesses his gift of love. The loved one is shorn, neutralized, frozen in the glare of the lover's inward eye.
And now when I see her searching the garbage--for what? The thing we assassinated? I talk about how I did not plant the seeds too deeply, how it was the fault of the earth, the land, of our town. I even think now that the land of the entire country was hostile to marigolds that year. This soil is bad for certain kinds of flowers. Certain seeds it will not nurture, certain fruits it will not bear, and when the land kills of its own volition, we acquiesce and say the victim had no right to live. We are wrong, of course, but it doesn't matter. It's too late. At least on the edge of my town, among the garbage and the sunflowers of my town, it's much, much, much too late.
Sur fond de misère se joue la partition désenchantée d'une communauté injustement rejetée incarnée par une jeune enfant noire étourdissante de justesse. Le saisissant premier roman de Toni Morrison qui contient en germe tous les thèmes de son œuvre. Avec L'œil le plus bleu, saisissant premier roman vibrant de douleur et de révolte, Toni Morrison marque son entrée en littérature. À Lorain, dans l'Ohio des années 40, Claudia et Pecola, deux fillettes noires, grandissent côte à côte. La première déteste les poupées blondes, modèles imposés de perfection qui lui rappellent combien sa haine est légitime. L'autre idolâtre Shirley Temple et rêve d'avoir les yeux bleus. Mais face à la dure réalité d'une Amérique Blanche, le rêve de beauté d'une petite fille est un leurre qui ne cède le pas qu'au fantasme et à la folie.
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