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Henning Mankell, the acclaimed author of the Kurt Wallander mysteries, has put his unmistakable stamp on this gripping new thriller. Archaeologist Louise Cantor returns home to Sweden and makes a devastating discovery: her only child, twenty-eight-year-old Henrik, dead in his bed. The police rule his death a suicide but she knows he was murdered; her quest to find out what really happened to Henrik takes her across the globe to Barcelona, where her son kept a secret apartment; Sydney, Australia, to find Aron, her estranged ex-husband and Henrik's father; and to Maputo, Mozambique, where she learns the awful truth behind an AIDS hospice. Her investigation reveals how much her son concealed from her as she uncovers the links between his death, the African AIDS epidemic, and Western pharmaceutical interests, while those who dare help her are killed off. In the tradition of John le Carré's The Constant Gardener, Kennedy's Brain was inspired by Mankell's anger at ongoing inequities that permit a few people to have unprecedented power over the many poor Africans who have none. Already a bestseller in Europe, Kennedy's Brain is both a thrilling page-turner and a damning indictment of inhuman greed in the face of the African AIDS crisis.… (plus d'informations)
Louise fait des recherches sur la mort de son fils qui se serait suicidé. Il était atteint du sida et aurait découvert des secrets au niveau des recherches de médicaments effectuées sur des humains en Afrique ( )
Un livre qui se laisse dévorer, il est bien difficile de le lâcher ! Mankell nous emmène sur la piste des traffics ignobles des laboratoires pharmaceutiques. Au final, l'intrigue n'est plus vraisemblable, mais ce n'est pas grave, l'essentiel est ailleurs ! ( )
Un roman qui part dans tous les sens... Que ce soit géographiquement : Suède, Australie, Afrique... ou pour les sujets qu'il semble aborder : le cerveau de kennedy, le sida, une affaire de meurtre ou de suicide... Un personnage principal paumé et apeuré : ce pourrait être une faiblesse de l'histoire, mais c'est en fait une force. La fragilité de cette mère qui a perdu son fils nous fait écho. Et puis vient LE sujet du livre, un peu trop tard... D'un coup, on se retrouve happé dans l'horreur. Ça dure un temps, et puis... bah finalement, il n'y a rien d'autre à faire, ou à dire. Alors le mot "fin" arrive bien trop vite !
Oserait-on tester des médicaments sur des humains; pire encore, les innoculer d'un virus pour essayer de les en guérir? C'est la prémisse de ce roman noir de Mankell. Les rapprochements avec « La Constance du jardinier » de LeCarré sont extrêmes : inspiration ou coïncidence d'une mode - certainement un peu des deux. L'un n'était déjà pas très réussi, celui-ci encore moins : intrigue molle et personnages plats, il n'y a pas grand chose pour plaire. La fin est lapidaire pour ne pas dire paresseuse (présage d'une suite? Je ne la lirai pas!) et postface stupéfiante, le lecteur est dérouté et reste sur sa faim. Bref, une déception, surtout par rapport à ce dont est capable Mankell. ( )
Il faut montrer l'échec en pleine lumière, et non l'enterrer, car c'est par l'échec qu'on devient un être humain. Celui qui ne comprend pas ses échecs n'est porteur d'aucun avenir. - Aksel Sandemose
Dédicace
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To Ellen and Ingmar
Premiers mots
La catastrophe se produisit à l'automne, et elle s'abattit sur elle à l'improviste.
Citations
Derniers mots
Il attendit qu'elle passe les contrôles de sécurité pour quitter le hall des départs et disparaître.
Henning Mankell, the acclaimed author of the Kurt Wallander mysteries, has put his unmistakable stamp on this gripping new thriller. Archaeologist Louise Cantor returns home to Sweden and makes a devastating discovery: her only child, twenty-eight-year-old Henrik, dead in his bed. The police rule his death a suicide but she knows he was murdered; her quest to find out what really happened to Henrik takes her across the globe to Barcelona, where her son kept a secret apartment; Sydney, Australia, to find Aron, her estranged ex-husband and Henrik's father; and to Maputo, Mozambique, where she learns the awful truth behind an AIDS hospice. Her investigation reveals how much her son concealed from her as she uncovers the links between his death, the African AIDS epidemic, and Western pharmaceutical interests, while those who dare help her are killed off. In the tradition of John le Carré's The Constant Gardener, Kennedy's Brain was inspired by Mankell's anger at ongoing inequities that permit a few people to have unprecedented power over the many poor Africans who have none. Already a bestseller in Europe, Kennedy's Brain is both a thrilling page-turner and a damning indictment of inhuman greed in the face of the African AIDS crisis.
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