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Chargement... Les mystères d'Egyptepar Iamblichus
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Inscrivez-vous à LibraryThing pour découvrir si vous aimerez ce livre Actuellement, il n'y a pas de discussions au sujet de ce livre. SOBRE LOS MISTERIOS EGIPCIOS El estudio de la Magia, caído ahora en el descrédito, era considerado entre los Egipcios con una veneración difícilmente acordada a la más elevada Filosofía en tiempos modernos. Para los antiguos Egipcios, el hombre más eminente era aquél que, por un duro entrenamiento, había conseguido la supremacía sobre los Elementos, a partir de los cuales tanto su propio cuerpo como el Mundo Manifestado habían sido igualmente formados; uno cuya Voluntad había surgido, como el Fénix, de las cenizas de sus deseos uno cuya intuición, limpia de las máculas de la ilusión material, era un claro espejo en el que podía percibir el Pasado, el Presente y el Futuro. Los Reyes y Sacerdotes de Egipto eran los elegidos de los que habían estudiado con éxito en la «Escuela de 1a Sabiduría», una Aristocracia Filosófica; eran escogidos porque no sólo eran sabios, sino que podían usar su sabiduría. Podían dar fortaleza a los ejércitos de la nación y tenían los medios de transmitir su poder; pues el Báculo del «Rey-Iniciado» tenía una potencia mágica tan fuerte que, con él en su mano, el conductor de los ejércitos se volvía tan poderoso como el Faraón mismo. Los Reyes-Sacerdotes dieron una religión exotérica a la gente, por medio de la cual guiar sus pasos hasta que hubieren alcanzado esa etapa de desarrollo (puede haber sido sólo tras repetidos fallos, encarnación tras encarnación) en que pudieren ellos también unirse a las filas de los iniciados: parece sin embargo extremadamente probable que a toda la población Egipcia la era permitida una... Sun metaphor ... the photon as "god particle" "... the divine irradiation shines upon [all places in the universe] from the outside, just as the sun illuminates every object from without with his rays. Hence, as the light encompasses the objects that it illuminates, so also the power of the gods comprehends from without those that participate of it. In like manner, also, as the light of the sun is present in the air without being combined with it -- and it is evident that there is nothing left in the air when the illuminating agent is removed, although warmth is still present when the heating has entirely ceased -- so also the light of the gods shines while entirely separate from the objects illuminated, and, being firmly established in itself, makes its way through all existing things." “For truth is essentially coexistent with the gods as light is coexistent with the Sun.” What happens to truth when the sun burns out? http://www.esotericarchives.com/oracle/iambl_th.htm aucune critique | ajouter une critique
Depuis la Renaissance, ce texte a influence profondement la tradition spirituelle neoplatonicienne et l'esoterisme occidental, ainsi que la symbolique maconnique. Beaucoup y ont trouve la revelation de ce qui est habituellement cache aux hommes. Fondee sur le texte grec le plus sur, collationne sur les manuscrits anciens, notre traduction a ete soigneusement revue pour etre a la fois d'une totale exactitude et accessible au lecteur contemporain. Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)291.38Religions Other Religions Comparative Religion; Mythology (No Longer Used) Rites, Rituals, and Liturgies RitualClassification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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NOTICE
VIE ET CEUVRES DE JAMBLIQUE
Le néoplatonicien Jamblique naquit à Chalcis, en Coelésyrie,
da siècle de notre ère; il enseigna à Daphné (Antioche)
pendant ses dernières
années1 et mourut vers 330-325 après J.-C. 3. La biographie
insérée par Eunape dans ses Vies des sophistes3 parait
entièrement légendaire, sauf sur un point : Jamblique
a été l'élève d'un des premiers disciples de Porphyre, le
péripatéticien Anatolius 4, avant de devenir celui de Porphyre
lui-même et de lui succéder à la tête de l'école
néo-platonicienne.
D'une oeuvre qui semble avoir été considérable et où
la perte la plus sensible est celle de la Théologie chaidaique
citée par Damascius 5, il reste cinq livres qui appartiennent.
1. Cf. Malalas, 312, 11-12 ap. G. Downey, A History of Antioch in
2. Cf. A. Lesky, Geschichte der griechischen Literatur, Berne, 1958,
Syria, Princeton, 1961, p. 332, n. 63
p. 799 2 1963, p. 940
J.-F. Boissonade, Paris, Didot, 1849
ciple de Porphyre le péripatéticien qui fut évêque de Laodicée dans
3. Eurapii ute sophist rum, rec. Jos. Giangrande, Rome, 1956,
10-17 (V, Jamblichus)p. 457-461 de la seconde édition de
4. E. Zeller, après G. Wolf (1856), distinguait de l'Anatolius dis-
le dernier quart du 1Ie siècle (cf. Eusèbe, Hist. Eccl., VII 32, 6 sv.)
mais la chronologie ne s'oppose pas à l'identification des personnages
et celle-ci expliquerait les deux tendances, aristotélicienne et néo-
platonicienne, qui se font jour chez Jamblique. Cf. la note de G. Mar
tano dans E. Zeller-R. Mondolfo, La filoso fia dei Greci nel suo svi-
luppo storico, parte III, La filoso fia post-aristotelica, vol. VI, Giam-
blico e la scuola d'Atene, Florence, 1961, p. 2, n. 2. Nous aurons sou
ent à citer ce rajeunissement de la cinquième édition allemande...