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With Beelzebub's Tales to His Grandson, G. I. Gurdjieff intended to "destroy, mercilessly . . . the beliefs and views about everything existing in the world." This novel beautifully brings to life the visions of humanity for which Gurdjieff has become esteemed. Beelzebub, a man of worldly (and other-worldly) wisdom, shares with his grandson the anecdotes, personal philosophies, and lessons learned from his own life.The reader is given a detailed discussion of all matters physical, natural, and spiritual, from the creation of the cosmos to man's teleological purpose in the universe. This edition of Beelzebub's Tales to His Grandson--the first single-volume paperback to appear in English--restores the original, authoritative translation.… (plus d'informations)
> Dans son livre Récits de Belzébuth à son petit-fils, Gurdjieff s'interroge : Que faudrait-il pour sauver cette humanité terrestre ? Et il fournit lui-même la réponse : Un nouvel organe qui fasse que les hommes soient conscients de l'inévitabilité de leur mort et de celle de tous ceux sur qui se pose leur regard, amis ou ennemis. (p. 6 In: Carnets du Yoga, mai 1986
> Perdue depuis plusieurs années, la connaissance des lois qui régissent l'univers et l'homme a été retrouvée. Un livre pouvant servir de digestif à la confusion du monde moderne. —Mainmise
> RÉCITS DE BELZÉBUTH À SON PETIT-FILS, Critique objective et impartiale de la vie des hommes, de G. Gurdjieff (2021 - Le Bois d’Orion - 1151 p. - 45 €). — G.I. Gurdjieff a cherché toute sa vie à transmettre une connaissance réelle et objective du fonctionnement humain sur toute son échelle, de l’ombre à la lumière. Le but des Récits de Belzébuth à son petit-fils est « d’extirper du penser et du sentiment du lecteur, impitoyablement et sans le moindre compromis, les croyances et les opinions enracinées depuis des siècles dans le psychisme des hommes, à propos de tout ce qui existe au monde ». Gurdjieff expose ses idées sous la forme d’une allégorie, celle d’une entité non terrestre venant régulièrement visiter la planète terre, et rapportant à son petit-fils les étrangetés du psychisme humain qu’il y découvre, étrangetés à la racine de tous les problèmes subis par l’humanité. C’est une œuvre étrange, au langage étonnant, qui délivre comme une musicalité qui travaille le lecteur au travers des impressions qu’il reçoit. Cet ouvrage est une réédition qui fut l’occasion de revoir la traduction afin de se rapprocher au plus près du sens russe ou oriental, et donc de la pensée de l’auteur. Cet ouvrage mérite d’aller plus loin qu’une lecture ordinaire. Du reste, l’auteur lui-même invite à lire ce livre trois fois, et il est vrai que la musique subtile qui s’en dégage ne se révèle pas immédiatement. Une lecture tranquille, méditative s’impose ainsi pour sentir la profonde humanité qui s’en dégage et peut venir faire vibrer notre essence. —3e millénaire, (146), Hiver 2022
> En livre audio : « Les récits de Belzébuth à son petit-fils » de GURDJIEFF Les trois tomes de Récits de Belzébuth à son petit-fils vous sont livrés ici en format audio. Les remerciements pour ce travail remarquable vont à Didier Artault qui a enregistré et mis en disponibilité, via son site Web, plusieurs livres d’intérêt. … ; (en ligne), URL : https://zone-7.net/enseignements-de-la-tradition/en-livre-audio-les-recits-de-be...
> G.I. GURDJIEFF M’A BEAUCOUP APPORTÉ.. — Je ne l'ai jamais rencontré, mais son livre Récits de Belzébuth à son petit-fils m’a beaucoup appris et depuis trente-cinq ans sa lecture m’est devenue familière. Je me garderai de tenter d’en faire une exégèse (cela a déjà été réalisé avec plus ou moins de bonheur suivant le regard que les auteurs portèrent sur cette « mine » d'une richesse inconcevable). Sa lecture, pour moi, représente une entreprise analogue au forage d’un puits de pétrole dans la mer. D’abord l’établissement d’une plate-forme solidement amarrée, à partir de laquelle on fore de plus en plus profondément. Se sentir environné par une mer souvent hostile, subissant les grandes marées des équinoxes, les tempêtes, la houle puissante et profitant des accalmies de surface pour travailler en profondeur. Surtout ne pas succomber au découragement, ne jamais s’enfermer dans un effort de routine. Enfin, en extraire la substance précieuse, l’énergie-vie indispensable, après qu’un raffinage méticuleux et complexe l’eut décantée de ses impuretés. Voilà, le fabuleux cadeau que Gurdjieff offrit à notre monde contemporain, révélant à chacun d’entre nous le trésor enfoui en lui-même et la tâche qui lui échoit d’être son propre prospecteur. Certes, cela ne se fait pas gratuitement, car rien de valable ne s’obtient sans effort. Ce sera l'Aventure de l’homme du XXIe siècle. Il ne s’agit nullement d’un livre rédigé dans une langue puriste, énonçant des idées traduisant des significations rationnelles dans un système de pensée familier. Tout est calculé pour nous détourner d'en poursuivre la lecture. Cette épopée mythique de 1178 pages imprimées en petits caractères est truffée de mots inconnus à consonances étranges, et de très longues phrases exigeant une attention soutenue. Certains chapitres heurtent nos opinions, nos tempéraments conformistes, nos sensibilités routinières. D’autres semblent totalement hermétiques ou superflus. Le livre nous attaque de toutes parts, provoque nos réactions négatives à son égard, assiège notre « personnage », lui causant un malaise diffus et persistant. Mais si nous avons la chance de « sentir » qu’il renferme un enseignement essentiel, alors il devient la caverne d’Ali Baba, et il ne nous reste pas assez de temps à vivre pour en extraire les richesses. Sa lecture est devenue une force d’ascèse transformatrice… une voie vers la conscience. À notre époque, toutes les grandes aventures extérieures personnelles ont été accomplies et renouvelées, que ce soient les courses en solitaire sur l’océan, les escalades himalayennes ou celles des Andes, les séjours dans les gouffres et les descentes dans les cratères des volcans. Elles ont demandé en outre un matériel coûteux et sophistiqué, beaucoup d’entraînement physique, des sacrifices dans la vie quotidienne, du courage, et leur succès presque, toujours a été le fruit d’un certain dépassement de l’homme. (Il ne s’agit pas ici des entreprises scientifiques concernant toutes les études contemporaines sur l'homme, la planète, le cosmos, et qui sont le fruit d’équipes appartenant à une pluralité de disciplines.) Jusqu’à présent, l’aventure intérieure appartenait au domaine religieux. Elle demeurait l’apanage de nos ordres contemplatifs en Occident. Aujourd’hui, elle est possible pour tous ceux qui en éprouvent la nécessité, tout en continuant de remplir les obligations imposées par leur existence au sein de la communauté humaine. L’Orient a une immense avance sur nous dans toutes les techniques et pratiques de recherche intérieure. La vie est essentiellement un mouvement qui renouvelle ce qu’il vient de détruire dans une forme, pour le faire apparaître dans une autre plus conforme aux conditions adaptées à l’époque. D’où la nécessité de nous maintenir dans une « fluidité » dynamique, hors de portée de la stagnation mentale qui fige dans un gel mortel toute recherche du soi. Il nous faut posséder l’expérience de l’évidence du « vécu » à l'intérieur si nous voulons faire face aux circonstances qui se présentent et s’opposent à notre propre expression. L’évidence qui surgit dans le monde, mais n’est pas de ce monde. Nous assistons aujourd’hui dans les esprits à une éclosion de questions fondamentales sur l'homme et son devenir, une sorte de révolution à l’origine de la pensée conceptuelle. Mais la question doit être posée, « là » où elle peut être entendue efficacement, c’est-à-dire au tréfonds de nous-mêmes. Il s’agit alors d’un fabuleux voyage, lent et difficile, à travers les brumes de notre propre opacité et si nous recevons la grâce de la pénétrer, nous découvrirons après un dur combat avec nous-mêmes, la paix du corps et du coeur. Faisons de cette paix notre demeure. Elle renferme la ferveur et la chaleur qui réchaufferont notre solitude. Sans doute, nous sentirons-nous terriblement seuls devant les autres dans le monde du quotidien, mais nous serons indissolublement unis dans l'amour qui oeuvre inlassablement dans le coeur des hommes. (pp. 189-192) —Jeanne Guesné, in: La conscience d'être : Ici et maintenant, J'ai lu (2009)
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Among other convictions formed in my common presence during my responsible, peculiarly composed life, there is one such also—an indubitable conviction—that always and everywhere on the earth, among people of every degree of development and understanding and of every form of manifestation of the factors which engender in their individuality, all kinds of ideals, there is acquired the tendency, when beginning anything new, unfailingly to pronounce aloud or, if not aloud, at least mentally, that definite utterance understandable to every even quite illiterate person, which in different epochs have been formulated variously and in our day is formulated in the following words: "In the name of the Father and of the Son and in the name of the Holy Ghost, Amen."
Citations
Derniers mots
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And as regards the real, indubitably comprehensible, genuine objective truths which will be brought to light by me in the third series, I intend to make them accessible exclusively only to those from among the hearers of the second series of my writings who will be selected from specially prepared people according to my considered instructions.
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This is the work for Beelzebub's Tales To His Grandson: An Objectively Impartial Criticism of the Life of Man, the First Book/First Series of the All and Everything series. Please do not combine with the Second and/or Third Book/Series, being respectively Meetings with Remarkable Men and Life is Real Only Then, When "I Am".
Directeur de publication
Courtes éloges de critiques
Langue d'origine
DDC/MDS canonique
LCC canonique
▾Références
Références à cette œuvre sur des ressources externes.
With Beelzebub's Tales to His Grandson, G. I. Gurdjieff intended to "destroy, mercilessly . . . the beliefs and views about everything existing in the world." This novel beautifully brings to life the visions of humanity for which Gurdjieff has become esteemed. Beelzebub, a man of worldly (and other-worldly) wisdom, shares with his grandson the anecdotes, personal philosophies, and lessons learned from his own life.The reader is given a detailed discussion of all matters physical, natural, and spiritual, from the creation of the cosmos to man's teleological purpose in the universe. This edition of Beelzebub's Tales to His Grandson--the first single-volume paperback to appear in English--restores the original, authoritative translation.
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> Dans son livre Récits de Belzébuth à son petit-fils, Gurdjieff s'interroge : Que faudrait-il pour sauver cette humanité terrestre ? Et il fournit lui-même la réponse : Un nouvel organe qui fasse que les hommes soient conscients de l'inévitabilité de leur mort et de celle de tous ceux sur qui se pose leur regard, amis ou ennemis. (p. 6
In: Carnets du Yoga, mai 1986
> Perdue depuis plusieurs années, la connaissance des lois qui régissent l'univers et l'homme a été retrouvée. Un livre pouvant servir de digestif à la confusion du monde moderne.
—Mainmise
> RÉCITS DE BELZÉBUTH À SON PETIT-FILS, Critique objective et impartiale de la vie des hommes, de G. Gurdjieff (2021 - Le Bois d’Orion - 1151 p. - 45 €). — G.I. Gurdjieff a cherché toute sa vie à transmettre une connaissance réelle et objective du fonctionnement humain sur toute son échelle, de l’ombre à la lumière. Le but des Récits de Belzébuth à son petit-fils est « d’extirper du penser et du sentiment du lecteur, impitoyablement et sans le moindre compromis, les croyances et les opinions enracinées depuis des siècles dans le psychisme des hommes, à propos de tout ce qui existe au monde ». Gurdjieff expose ses idées sous la forme d’une allégorie, celle d’une entité non terrestre venant régulièrement visiter la planète terre, et rapportant à son petit-fils les étrangetés du psychisme humain qu’il y découvre, étrangetés à la racine de tous les problèmes subis par l’humanité. C’est une œuvre étrange, au langage étonnant, qui délivre comme une musicalité qui travaille le lecteur au travers des impressions qu’il reçoit. Cet ouvrage est une réédition qui fut l’occasion de revoir la traduction afin de se rapprocher au plus près du sens russe ou oriental, et donc de la pensée de l’auteur. Cet ouvrage mérite d’aller plus loin qu’une lecture ordinaire. Du reste, l’auteur lui-même invite à lire ce livre trois fois, et il est vrai que la musique subtile qui s’en dégage ne se révèle pas immédiatement. Une lecture tranquille, méditative s’impose ainsi pour sentir la profonde humanité qui s’en dégage et peut venir faire vibrer notre essence.
—3e millénaire, (146), Hiver 2022
> En livre audio : « Les récits de Belzébuth à son petit-fils » de GURDJIEFF
Les trois tomes de Récits de Belzébuth à son petit-fils vous sont livrés ici en format audio. Les remerciements pour ce travail remarquable vont à Didier Artault qui a enregistré et mis en disponibilité, via son site Web, plusieurs livres d’intérêt. … ; (en ligne),
URL : https://zone-7.net/enseignements-de-la-tradition/en-livre-audio-les-recits-de-be...
> Autour de l’enseignement de Gurdjieff, entretien avec Henri Tracol : https://www.revue3emillenaire.com/blog/autour-de-lenseignement-de-gurdjieff-entr...
> G.I. GURDJIEFF M’A BEAUCOUP APPORTÉ.. — Je ne l'ai jamais rencontré, mais son livre Récits de Belzébuth à son petit-fils m’a beaucoup appris et depuis trente-cinq ans sa lecture m’est devenue familière.
Je me garderai de tenter d’en faire une exégèse (cela a déjà été réalisé avec plus ou moins de bonheur suivant le regard que les auteurs portèrent sur cette « mine » d'une richesse inconcevable).
Sa lecture, pour moi, représente une entreprise analogue au forage d’un puits de pétrole dans la mer. D’abord l’établissement d’une plate-forme solidement amarrée, à partir de laquelle on fore de plus en plus profondément. Se sentir environné par une mer souvent hostile, subissant les grandes marées des équinoxes, les tempêtes, la houle puissante et profitant des accalmies de surface pour travailler en profondeur. Surtout ne pas succomber au découragement, ne jamais s’enfermer dans un effort de routine. Enfin, en extraire la substance précieuse, l’énergie-vie indispensable, après qu’un raffinage méticuleux et complexe l’eut décantée de ses impuretés.
Voilà, le fabuleux cadeau que Gurdjieff offrit à notre monde contemporain, révélant à chacun d’entre nous le trésor enfoui en lui-même et la tâche qui lui échoit d’être son propre prospecteur. Certes, cela ne se fait pas gratuitement, car rien de valable ne s’obtient sans effort. Ce sera l'Aventure de l’homme du XXIe siècle.
Il ne s’agit nullement d’un livre rédigé dans une langue puriste, énonçant des idées traduisant des significations rationnelles dans un système de pensée familier. Tout est calculé pour nous détourner d'en poursuivre la lecture. Cette épopée mythique de 1178 pages imprimées en petits caractères est truffée de mots inconnus à consonances étranges, et de très longues phrases exigeant une attention soutenue.
Certains chapitres heurtent nos opinions, nos tempéraments conformistes, nos sensibilités routinières. D’autres semblent totalement hermétiques ou superflus. Le livre nous attaque de toutes parts, provoque nos réactions négatives à son égard, assiège notre « personnage », lui causant un malaise diffus et persistant.
Mais si nous avons la chance de « sentir » qu’il renferme un enseignement essentiel, alors il devient la caverne d’Ali Baba, et il ne nous reste pas assez de temps à vivre pour en extraire les richesses. Sa lecture est devenue une force d’ascèse transformatrice… une voie vers la conscience.
À notre époque, toutes les grandes aventures extérieures personnelles ont été accomplies et renouvelées, que ce soient les courses en solitaire sur l’océan, les escalades himalayennes ou celles des Andes, les séjours dans les gouffres et les descentes dans les cratères des volcans. Elles ont demandé en outre un matériel coûteux et sophistiqué, beaucoup d’entraînement physique, des sacrifices dans la vie quotidienne, du courage, et leur succès presque, toujours a été le fruit d’un certain dépassement de l’homme. (Il ne s’agit pas ici des entreprises scientifiques concernant toutes les études contemporaines sur l'homme, la planète, le cosmos, et qui sont le fruit d’équipes appartenant à une pluralité de disciplines.)
Jusqu’à présent, l’aventure intérieure appartenait au domaine religieux. Elle demeurait l’apanage de nos ordres contemplatifs en Occident. Aujourd’hui, elle est possible pour tous ceux qui en éprouvent la nécessité, tout en continuant de remplir les obligations imposées par leur existence au sein de la communauté humaine. L’Orient a une immense avance sur nous dans toutes les techniques et pratiques de recherche intérieure.
La vie est essentiellement un mouvement qui renouvelle ce qu’il vient de détruire dans une forme, pour le faire apparaître dans une autre plus conforme aux conditions adaptées à l’époque. D’où la nécessité de nous maintenir dans une « fluidité » dynamique, hors de portée de la stagnation mentale qui fige dans un gel mortel toute recherche du soi.
Il nous faut posséder l’expérience de l’évidence du « vécu » à l'intérieur si nous voulons faire face aux circonstances qui se présentent et s’opposent à notre propre expression. L’évidence qui surgit dans le monde, mais n’est pas de ce monde.
Nous assistons aujourd’hui dans les esprits à une éclosion de questions fondamentales sur l'homme et son devenir, une sorte de révolution à l’origine de la pensée conceptuelle. Mais la question doit être posée, « là » où elle peut être entendue efficacement, c’est-à-dire au tréfonds de nous-mêmes.
Il s’agit alors d’un fabuleux voyage, lent et difficile, à travers les brumes de notre propre opacité et si nous recevons la grâce de la pénétrer, nous découvrirons après un dur combat avec nous-mêmes, la paix du corps et du coeur.
Faisons de cette paix notre demeure. Elle renferme la ferveur et la chaleur qui réchaufferont notre solitude. Sans doute, nous sentirons-nous terriblement seuls devant les autres dans le monde du quotidien, mais nous serons indissolublement unis dans l'amour qui oeuvre inlassablement dans le coeur des hommes. (pp. 189-192)
—Jeanne Guesné, in: La conscience d'être : Ici et maintenant, J'ai lu (2009)