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In Farewell, Babylon, Naim Kattan takes readers into the heart of exotic mid-19th-century Baghdad's then-teeming Jewish community. Jews had lived in Iraq for 25 centuries, long before the time of Christ or Muhammad, but anti-Semitism and nationalism were on the rise. In this beautifully written memoir, a young boy comes of age and describes his discoveries -- of work, literature, patriotism, the joys of lazy Sundays swimming in the Tigris. He also talks eloquently of his greatest discovery: women and love. This is a story of roots and exile, of thirst for life and life's experiences. But more than that it is a tribute to a lost world, an ancient Eastern city in which Iraq's Kurds, Bedouins, Sunnis, Shiites, Chaldeans, Catholics, and Jews all lived together in a rough, rewarding sort of harmony.… (plus d'informations)
>ADIEU, BABYLONE Mémoires d’un Juif d’Irak, de Naïm Kattan (Albin Michel, 2003). — Dans ses mémoires pleins de vie et d’humanité, Naïm Kattan se fait le témoin d’une réalité que beaucoup ignorent aujourd’hui, et qui n’est pourtant pas si lointaine : celle du passé éminement riche et multiculturel de son Irak natal. Ce récit passionnant prend évidemment de nos jours une densité singulière : il nous rappelle que Bagdad ne fut pas toujours synonyme de dictature et de passions guerrières. (Espaces libres)
> ADIEU BABYLONE, par Naïm Kattan (publié aux Editions La Presse.). — Bagdad. Un enfant juif fait l’apprentissage de la vie, accède à l’âge d’homme. Il se trouve au coeur de multiples contradictions et, d’abord, la guerre, car l’action de ce roman se déroule pendant la deuxième guerre mondiale. Peut-il faire un choix entre l’archaïsme, la tradition, l’histoire et le modernisme, entre l’antique communauté juive, la culture arabe et un Occident fabuleux aux séductions irrésistibles ? C’est ce même Occident qui a le visage des armées britanniques qui occupent l’Irak. Or le jeune juif est aussi un nationaliste arabe qui s’élève contre cette présence étrangère. Naïm Kattan, qui est né à Bagdad et qui y a passé son enfance et son adolescence, nous dresse, dans ce roman, le portrait d’une communauté juive vieille de 25 siècles. Il décrit également les rapports, à la fois tendus et affectueux, entre juifs et musulmans. ADIEU BABYLONE est un roman haut en couleur, aux accents puissants. C’est aussi un document d’histoire qui met en lumière l’arrière-plan d’une actualité brillante. —Le bien public, 23 janv. 1976
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In Farewell, Babylon, Naim Kattan takes readers into the heart of exotic mid-19th-century Baghdad's then-teeming Jewish community. Jews had lived in Iraq for 25 centuries, long before the time of Christ or Muhammad, but anti-Semitism and nationalism were on the rise. In this beautifully written memoir, a young boy comes of age and describes his discoveries -- of work, literature, patriotism, the joys of lazy Sundays swimming in the Tigris. He also talks eloquently of his greatest discovery: women and love. This is a story of roots and exile, of thirst for life and life's experiences. But more than that it is a tribute to a lost world, an ancient Eastern city in which Iraq's Kurds, Bedouins, Sunnis, Shiites, Chaldeans, Catholics, and Jews all lived together in a rough, rewarding sort of harmony.
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> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Kattan-Adieu-Babylone--Memoires-dun-juif-dIrak/36...
> BAnQ (Le quotidien du Saguenay - Lac-St-Jean, 31 janv. 1976) : https://diffusion.banq.qc.ca/pdfjs-1.6.210-dist_banq/web/pdf.php/zCMBDa8Snee602L...
> ADIEU BABYLONE, par Naïm Kattan (publié aux Editions La Presse.). — Bagdad. Un enfant juif fait l’apprentissage de la vie, accède à l’âge d’homme. Il se trouve au coeur de multiples contradictions et, d’abord, la guerre, car l’action de ce roman se déroule pendant la deuxième guerre mondiale. Peut-il faire un choix entre l’archaïsme, la tradition, l’histoire et le modernisme, entre l’antique communauté juive, la culture arabe et un Occident fabuleux aux séductions irrésistibles ? C’est ce même Occident qui a le visage des armées britanniques qui occupent l’Irak. Or le jeune juif est aussi un nationaliste arabe qui s’élève contre cette présence étrangère.
Naïm Kattan, qui est né à Bagdad et qui y a passé son enfance et son adolescence, nous dresse, dans ce roman, le portrait d’une communauté juive vieille de 25 siècles. Il décrit également les rapports, à la fois tendus et affectueux, entre juifs et musulmans.
ADIEU BABYLONE est un roman haut en couleur, aux accents puissants. C’est aussi un document d’histoire qui met en lumière l’arrière-plan d’une actualité brillante.
—Le bien public, 23 janv. 1976