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High Rising par Angela Mackail Thirkell
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High Rising (original 1933; édition 1994)

par Angela Mackail Thirkell

Séries: Barsetshire Books (1)

MembresCritiquesPopularitéÉvaluation moyenneMentions
6814233,727 (3.83)223
Successful lady novelist Laura Morland and her boisterous young son Tony set off to spend Christmas at her country home in the sleepy surrounds of High Rising. But Laura's wealthy friend and neighbour George Knox has taken on a scheming secretary whose designs on marriage to her employer threaten the delicate social fabric of the village. Can clever, practical Laura rescue George from Miss Grey's clutches and, what's more, help his daughter Miss Sibyl Knox to secure her longed-for engagement? Utterly charming and very funny, High Rising is irresistible comic entertainment.… (plus d'informations)
Membre:moonmau
Titre:High Rising
Auteurs:Angela Mackail Thirkell
Info:Carroll & Graf Pub (1994), Paperback, 282 pages
Collections:Votre bibliothèque
Évaluation:****
Mots-clés:English Lit., humor, 2012

Information sur l'oeuvre

High Rising par Angela Thirkell (1933)

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Angela Thirkell (1890-1960) est apparemment “très” connue en Angleterre (elle a même deux sociétés littéraires pour elle toute seule : une en Angleterre et une aux États-Unis). Elle a écrit une série de 29 livres se passant dans le Barsetsire, région créée par Anthony Trollope pour situer ses fameuses chroniques. J’ai voulu lire ce livre après avoir lu le billet de Heavenali et surtout après avoir vu que c’était préfacé par Alexander McCall Smith (et que cela avait de grosses chances de ressembler à la série des Isabel Dalhousie qui me plaît tant).

Ici, on est au XXième siècle, dans les années 30. Laura Morland est veuve depuis des années et a dû assumé seule ses quatre fils. Deux ont maintenant pris leur envol définitif, un est entre deux et le dernier Tony est toujours dans le nid. La seule solution qu’elle a trouvé est d’écrire des romances dans le milieu de la haute-couture. Cela marche du feu de dieu car elle peut assumer les frais de scolarité de son fils, aider son avant-dernier, entretenir un appartement à Londres et une maison dans le village de High Rising, proche de Low Rising, les deux formant les Risings. Elle fait le bonheur de son éditeur, Adrian.

Quand son fils est à l’école, elle est plutôt à Londres et lorsque son fils revient, elle habite dans son cottage à High Rising. C’est à ce moment là qu’on suit ses aventures (c’est normal puisque seul High Rising est dans le Barsetshire). Comme tous les petits villages anglais, High Rising est peuplé de gens plus excentriques les uns que les autres. ã High Rising, il y a Anne Todd, qui vit avec sa mère mais qui sert de secrétaire à Laura, tellement celle-ci a du travail (quitte à ce qu’elle écrive des petites choses si j’ai bien compris). Anne vit avec sa très vieille mère (qui semble avoir au moins 90 ans) et qui meurt depuis au moins peut être 30 ans. Anne ne veut pas l’abandonner, refuse le Dr Ford qui se meurt d’amour pour elle (il n’est pas le seul car elle semble être la tombeuse du coin à 50 ans) mais elle ne veut dépendre de personne (et surtout pas du Dr Ford apparemment). Laura est un peu un modèle pour elle (j’ai oublié de dire que Laura aussi ne veut pas se retrouver de mari parce que visiblement, celui qu’elle avait l’avait plutôt encombré qu’autre chose). Il y a donc le Dr Ford qui joue le rôle d’amoureux transi. Il ne semble avoir comme patiente que la mère d’Anne tellement il est dans leur maison (et en plus, il ne fait même pas payer ses consultations). Il y aussi Tony, le plus jeune fils de Laura, qui est une pipelette que tout le monde souhaite faire taire tellement il est soûlant à parler de trains toute la journée.

À Low Rising, il y a les Knox, George et Sibyl. George, veuf aussi (c’est à se demander qui est marié dans ce livre), est auteur de biographies historiques (qui semblent plutôt ennuyeuses) et Sibyl, jeune femme de 20 ans qui semble être restée dans l’adolescence sous l’influence de son père (elle se cherche et préfère s’occuper de ses chiens). Laura joue auprès d’elle le rôle de mère, d’amie et donc de conseillère. Un événement vient perturber tout le village : l’arrivée de Miss Grey comme secrétaire de George Knox.

Bien évidemment, il y a les domestiques qui sont une source de propagation de l’information toujours aussi impressionnante. Ils semblent voguer de maison en maison pour servir les gens (comme s’ils n’avaient pas d’employeurs fixes).

Deux personnages feront aussi leurs apparitions décisives de temps en temps : Adrian, l’éditeur de Laura, et Amy, la femme du directeur de l’école de Tony.

Le scénario du livre repose sur très peu de choses. Miss Grey, surnommé “the Incubus” par toutes les femmes de la région (j’ai déjà précisé qu’elles étaient toutes célibataires), va-t-elle réussir à mettre le grappin sur George malgré ce que tout le monde va faire pour éviter cela ? Est-ce que la pétillante et sémillante Laura va se marier avec Adrian ? avec George ? Anne va-t-elle se marier avec le Dr Ford finalement ? avec George elle aussi ? Sibyl est-elle écrivain comme son père ? Adrian va-t-il la publier ? Vont-ils se marier ?

Je pourrais vous la faire sérieuse et vous dire que ce livre est une description intéressante de la condition féminine en Angleterre dans les années 30. Ce livre présente l’entre deux entre les livres de Jane Austen, où le mariage était une nécessité pour les femmes car sinon on n’avait pas de conditions et en plus c’était la pauvreté et on devait vivre de la charité de la famille, et la situation que nous connaissons actuellement, une femme peut espérer exister sans un mari. Dans le livre, le mariage reste une institution importante mais plutôt vu comme un appariement de personnes pour passer une vie plus agréable mais reste tout de même l’état normal d’une femme de plus de vingt ans. La femme peut gagner sa vie, élever ses enfants, affronter la mort … mais tout de même.

Dire cela ne décrit absolument pas le charme du bouquin et ne sert absolument à rien. Ce livre est une romance POINT. On suit avec plaisir les histoires d’amour des protagonistes en gloussant et en faisant des commentaires sur leurs naïvetés, sur le fait que même l’auteur se ment à elle-même (bien sûr que George en pince pour Laura, ce n’est pas la peine de dire le contraire). Laura est une femme ultra-moderne, drôle, dynamique … Elle n’est pas superwoman et elle le dit. Elle est à l’écoute de ses amis, sans qui elle ne serait rien, elle doute de ses capacités, elle en a parfois marre de son fils, travaille d’arrache-pied mais avec le sourire et de la bonne humeur… Tout cela est vraiment très drôle à suivre. Comme dans d’autres romans anglais, je pense notamment à Cranford, les gens semblent passer leurs vies les uns chez les autres à boire du thé … C’est tout cela qui fait que le roman est très plaisant à lire et pas une pseudo-description de l’Angleterre campagnarde des années 30, vu au travers du prisme féminin.

Ce qui me fait rire est que si ce livre était paru en français, je ne l’aurais pas lu parce qu’il serait paru dans une collection qui ne m’aurait pas attirée et où la couverture aurait été toute moche. Là, j’aime bien la couverture, Virago Modern Classic publie des livres intéressants, c’est préfacé par un des mes auteurs adorés (je n’ai lu qu’Isabel Dalhousie mais tout de même) ; comme quoi, l’habillage joue beaucoup pour lutter contre mon snobisme littéraire (il y a aussi le fait qu’en Angleterre, il ne semble pas classer les livres en genres, sous-genres, sous-sous-genres, en-dessous de tous les genres)(avez-vous le même sentiment ? est-ce du plutôt au fait qu’on n’est pas influencé par l’avis des anglophones, vivant dans des pays francophones?). En plus, j’ai l’alibi que c’est en anglais et que cela me fait progresser. ( )
1 voter CecileB | Mar 16, 2013 |
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Nom de l'auteurRôleType d'auteurŒuvre ?Statut
Thirkell, Angelaauteur principaltoutes les éditionsconfirmé
Bond, JillyReaderauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Colmer, RoyConcepteur de la couvertureauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Smith, Alexander McCallIntroductionauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Stegers, ThomasTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Wilson, MayArtiste de la couvertureauteur secondairequelques éditionsconfirmé
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Dédicace
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To my father and mother
Premiers mots
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The headmaster's wife twisted herself round in her chair to talk to Mrs Morland, who was sitting in the row just behind her.
Angela Thirkell is today relatively unknown, by no means as familiar as Benson or Trollope, or even Nancy Mitford, writers with whom she is sometimes compared. (Introduction)
Citations
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‘It’s not highbrow. I’ve just got to work. You see, my husband was nothing but an expense to me while he was alive, and naturally he is no help to me now he’s dead, so I thought if I could write some rather good bad books, it would help with the boys’ education’.
`With our immense resources [said the publisher] we can give you double the advertisement you are at present having. If you have something new and delightful in preparation, and are not yet committed to Coates, may we have the pleasure of having a first sight of your manuscript?’

`Well, you see,’ said Laura, `what I say about advertising is, if you spend all that money on advertisements, it’s got to come off my royalties, hasn’t it?’
Oh the exhaustingness of the healthy young!   Laura had once offered to edit a book called Why I Hate my Children, but though Adrian Coates had offered her every encouragement, and every mother of her acquaintance had offered to contribute, it had never taken shape.   (Chap. II: “High Rising”)
“And I know I'm a fool, and anyway I can't understand poetry except the bits in anthologies, but I couldn't understand yours at all.”  (Chap. IV: “Christmas Eve”)
Indeed she had never known intimately that pale and shadowy lady, who enjoyed ill health until she went too far and let herself die.   (Chap. VII: “An Author at Home”)
Derniers mots
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(Cliquez pour voir. Attention : peut vendre la mèche.)
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Notice de désambigüisation
Directeur de publication
Courtes éloges de critiques
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DDC/MDS canonique
LCC canonique

Références à cette œuvre sur des ressources externes.

Wikipédia en anglais

Aucun

Successful lady novelist Laura Morland and her boisterous young son Tony set off to spend Christmas at her country home in the sleepy surrounds of High Rising. But Laura's wealthy friend and neighbour George Knox has taken on a scheming secretary whose designs on marriage to her employer threaten the delicate social fabric of the village. Can clever, practical Laura rescue George from Miss Grey's clutches and, what's more, help his daughter Miss Sibyl Knox to secure her longed-for engagement? Utterly charming and very funny, High Rising is irresistible comic entertainment.

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