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"Who was Louki? Did anyone really know? She made her mark on all of us in different ways. We all remember her, some of us more than others, but did any of us truly know her? Can anyone honestly say they know another person? In the Cafe of Lost Youth is vintage Patrick Modiano, an absorbing evocation of a particular Paris of the 1950s, shadowy and shady, a secret world of writers, criminals, drinkers, and drifters. The novel, which includes vignettes of a number of historical figures and is inspired in part by the circle (depicted in the photographs of Ed van der Elsken) of the notorious and charismatic Guy Debord, centers on the enigmatic, waiflike figure of Louki, who catches everyone's attention even as she eludes possession or comprehension. Through the eyes of four very different narrators, we contemplate Louki's character and her fate, while Modiano explores the themes of identity, memory, time, and forgetting that are at the heart of his hypnotic and deeply moving art"--… (plus d'informations)
Résumé : Quatre narrateurs (un étudiant de l’école des mines, un détective privé, l’héroïne et un de ses amants) construisent le portrait de Jacqueline Delanque ou Louki. Jeune femme ayant rapidement quitté son mari et qui flâne dans le Paris des années 50/60 en déversant ses souvenirs : une enfance difficile, un mariage raté et quelques amitiés avec des clients d’un café du quartier de l’Odéon : Le Condé.
Quatrième de couverture: Encore aujourd'hui, il m'arrive d'entendre, le soir, une voix qui m'appelle par mon prénom, dans la rue. Une voix rauque. Elle traîne un peu sur les syllabes et je la reconnais tout de suite : la voix de Louki. Je me retourne, mais il n'y a personne. Pas seulement le soir, mais au creux de ces après-midi d'été où vous ne savez plus très bien en quelle année vous êtes. Tout va recommencer comme avant. Les mêmes jours, les mêmes nuits, les mêmes lieux, les mêmes rencontres. L'Eternel Retour.
À la moitié du chemin de la vraie vie, nous étions environnés d’une sombre mélancolie, qu’ont exprimée tant de mots railleurs et tristes, dans le café de la jeunesse perdue.
Guy Debord
Dédicace
Premiers mots
Des deux entrées du café, elle empruntait toujours la plus étroite, celle qu’on appelait la porte de l’ombre. Elle choisissait la même table au fond de la petite salle. Les premiers temps, elle ne parlait à personne, puis elle a fait connaissance avec les habitués du Condé dont la plupart avaient notre âge, je dirais entre dix-neuf et vingt-cinq ans. Elle s’asseyait parfois à leurs tables, mais, le plus souvent, elle était fi dèle à sa place, tout au fond. [...]
Citations
Derniers mots
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Références à cette œuvre sur des ressources externes.
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Aucun
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"Who was Louki? Did anyone really know? She made her mark on all of us in different ways. We all remember her, some of us more than others, but did any of us truly know her? Can anyone honestly say they know another person? In the Cafe of Lost Youth is vintage Patrick Modiano, an absorbing evocation of a particular Paris of the 1950s, shadowy and shady, a secret world of writers, criminals, drinkers, and drifters. The novel, which includes vignettes of a number of historical figures and is inspired in part by the circle (depicted in the photographs of Ed van der Elsken) of the notorious and charismatic Guy Debord, centers on the enigmatic, waiflike figure of Louki, who catches everyone's attention even as she eludes possession or comprehension. Through the eyes of four very different narrators, we contemplate Louki's character and her fate, while Modiano explores the themes of identity, memory, time, and forgetting that are at the heart of his hypnotic and deeply moving art"--
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Quatre narrateurs (un étudiant de l’école des mines, un détective privé, l’héroïne et un de ses amants) construisent le portrait de Jacqueline Delanque ou Louki. Jeune femme ayant rapidement quitté son mari et qui flâne dans le Paris des années 50/60 en déversant ses souvenirs : une enfance difficile, un mariage raté et quelques amitiés avec des clients d’un café du quartier de l’Odéon : Le Condé.
Quatrième de couverture:
Encore aujourd'hui, il m'arrive d'entendre, le soir, une voix qui m'appelle par mon prénom, dans la rue. Une voix rauque. Elle traîne un peu sur les syllabes et je la reconnais tout de suite : la voix de Louki. Je me retourne, mais il n'y a personne. Pas seulement le soir, mais au creux de ces après-midi d'été où vous ne savez plus très bien en quelle année vous êtes. Tout va recommencer comme avant. Les mêmes jours, les mêmes nuits, les mêmes lieux, les mêmes rencontres. L'Eternel Retour.