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Chargement... Der Alte, der Liebesromane las. Roman. (original 1989; édition 2002)par Luis Sepulveda
Information sur l'oeuvreLe vieux qui lisait des romans d'amour par Luis Sepúlveda (1989)
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Inscrivez-vous à LibraryThing pour découvrir si vous aimerez ce livre Actuellement, il n'y a pas de discussions au sujet de ce livre. Antonio José Bolivar essayait de mettre des limites à l’action des colons qui détruisaient la forêt pour édifier cette œuvre maîtresse de l’homme civilisé : le désert. J’ai décidé de commencer à lire tout Sepúlveda, c’est-à-dire relire les livres que j’ai déjà lus et découvrir les autres. Je compte aller dans l’ordre chronologique de la publication de ses œuvres en français alors je commence logiquement par la relecture du Vieux qui lisait des romans d’amour, qui est le roman qui l’a fait connaître sur la scène internationale. Je l’avais déjà lu il y a plusieurs années (heureusement ce n’était pas le premier Sepúlveda que je lisais, sinon j’en serais peut-être restée là et ç’aurait été bien dommage) et j’ai retrouvé le même sentiment de « tout ça pour ça ? ». Avec cette seconde lecture, je m’aperçois que de nombreux thèmes qui traversent l’œuvre de Sepúlveda sont déjà là. Pour cela, cette lecture est intéressante. Avec un peu plus de maturité que lors de ma première lecture (ou, plus prosaïquement, avec plus du double de mon âge de l’époque…), je suis plus à même d’apprécier la sorte de tiédeur, de demi-teinte qui m’avait embêtée la dernière fois. Le fait qu’Antonio apprenne des Shuars mais ne soit jamais complètement intégré me paraît, avec plus de maturité, plus réaliste et même plus respectueux de la relation que l’on peut avoir avec ces peuples de la forêt. Roman écologiste, roman du respect, mais aussi roman où l’humanité perd face au profit, à la bêtise, à la brutalité. Roman publié en 1992, mais dont pas une ligne n’est pas à changer, et c’est cela que j’ai trouvé le plus triste dans cette lecture, d’autant que Luis Sepúlveda n’est plus là pour nous en consoler avec son chaud sourire qui faisait oublier la tendre désespérance de ses écrits. > Babelio (MELANYA) : https://www.babelio.com/livres/Sepulveda-Le-vieux-qui-lisait-des-romans-damour/1... > LE VIEUX QUI LISAIT DES ROMANS D’AMOUR, de Luls Sepulveda (Ed. Métaillé, 130 pages). — Antonio José Bolivar Proaño est le seul à pouvoir chasser le félin tueur d'hommes. Il connaît la forêt amazonienne, il respecte les animaux qui la peuplent, il a vécu avec les Indiens Shuars et il accepte le duel avec le fauve. Mais Antonio José Bolivar a découvert sur le tard l'antidote au redoutable venin de la vieillesse : il sait lire, et il a une passion pour les romans qui parlent d'amour, le vrai, celui qui fait souffrir. Partagé entre la chasse et sa passion pour les romans, le vieux nous entraîne dans ce livre plein de charme dont le souvenir ne nous quitte plus. —Pauline Hamon (Culturebox) > Ce roman autobiographique est aussi une fable audacieuse et perspicace rappelant comment l'amour peut servir d’antidote pour contrer la folie guerrière et destructrice des hommes. Une réflexion poignante sur le devenir de l’humanité à une époque de fureur et de sang ! —Elias LEVY, La presse > Babelio : https://www.babelio.com/livres/Sepulveda-Le-vieux-qui-lisait-des-romans-damour/1... > BAnQ (Le devoir, 6 juin 1992) : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2764644 > Martineau Jacques. LE VIEUX QUI USAIT DES ROMANS D'AMOUR, de Luis Sepulveda, Trad. de l'espagnol par François Maspero Metaillè, 1992. 130 p. ; 17,95 S In: Nuit blanche, (51), mars–avril–mai 1993, p. 54. … ; (en ligne), URL : https://id.erudit.org/iderudit/21583ac > LE VIEUX QUI LISAIT DES ROMANS D’AMOUR, de Luls Sepulveda (Ed. Métaillé, 130 pages). — Antonio José Bolivar Proano connaît tous les secrets de la forêt amazonienne. Il est le seul à savoir chasser le félin qui adore tuer les hommes. Sur le tard, José Bolivar « découvre l'antidote au redoutable venin de la vieillesse : il sait lire, et il a une passion pour les romans qui parlent de l'amour, le vrai, celui qui fait souffrir ». Le vieux qui lisait des romans d'amour oscille entre la chasse à la bête et la chasse à l'amour. Page 60 : « Il passa toute la saison des pluies à ruminer sa triste condition de lecteur sans livre ». —Le devoir, 16 mai 1992 > Il ne lui faut pas vingt lignes pour qu'on tombe sous le charme de cette feinte candeur, de cette fausse légèreté, de cette innocence rusée. Ensuite, on file sans pouvoir s'arrêter jusqu'à une fin que notre plaisir juge trop rapide. —Pierre Lepape, Le Monde > Un livre sauvage et beau, bâti comme un thriller américain. —Frédéric Taddei, Actuel > L'immense écrivain chilien Luis Sepùlveda, forcé à l'exil par la dictature d'Augusto Pinochet, est mort à 70 ans en Espagne du Covid-19, vient d'annoncer sa maison d'édition. Il est décédé à Oviedo, dans les Asturies où il vivait. Né en 1949 dans le nord du Chili, cet auteur engagé à gauche - jusqu'à participé à la guérilla sandiniste au Nicaragua - avait quitté son pays natal en 1977 en raison des persécutions du régime dictatorial de Pinochet pour s'installer en Europe. Son oeuvre, une invitation au voyage, est faite d'une vingtaine de romans, scénarios et essais comme Le monde du bout du monde (1989), Le vieux qui lisait des romans d'amour (1992) ou Patagonia express (1996). Son dernier roman, La fin de l'histoire, avait été publié en 2016. Relire son portrait par Philippe lançon en 2017. Un veuf inconsolé se laisse entrainer à pourchasser un jaguar féroce dans la jungle amazonienne. Cette courte histoire rappelle, de manière métaphorique et à travers une galerie de personnages hauts en couleur, que le rêve est essentiel à la vie et que la nature aura toujours le dessus sur la bêtise humaine. aucune critique | ajouter une critique
Appartient à la série éditorialeAndanzas (180) Azanca (29) Fischer Taschenbuch (10932) Rainbow pocketboeken (255) Est contenu dansPrix et récompensesDistinctionsListes notables
Roman policier - Amazonie
Lecture suivie
Les Indiens, les chercheurs d'or, les colons. Antonio José Bolivar, blanc et ami des Indiens, proche de la nature, se heurte à l'ignorance, à la peur, et à l'avidité de ses semblables. La traque d'une femelle ocelot mangeuse d'hommes permet à l'auteur, dans un langage coloré mais parfois cru, de dépeindre la dure condition humaine ainsi que la dangereuse beauté de la forêt amazonienne Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)863Literature Spanish and Portuguese Spanish fictionClassification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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Ce vieil homme, José Bolivar Proaño, qui a vécu en pleine forêt, parmi les tribu des Shuars, possède une compréhension et un respect profond pour ses pairs non-humains. Contrairement à ces personnages chercheurs d'or ou chasseurs pour faire commerce des peaux.
Un roman qui résonne aujourd'hui avec une force toute particulière. ( )