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The hero of Everyman is obsessed with mortality. As he reminds himself at one point, "I'm thirty-four! Worry about oblivion when you're seventy-five." But he cannot help himself. He is the ex-husband in three marriages gone wrong. He is the father of two sons who detest him, despite a daughter who adores him. And as his health worsens, he is the envious brother of a much fitter man.… (plus d'informations)
La vie et la mort d'un homme comme les autres (Everyman).
Le roman s'ouvre par l'enterrement du personnage et s'achève par sa mort. Entre les deux, nous faisons le tour de sa vie, la vie « banale » d'un homme « banal », d'un personnage sans nom, revécue à reculons et dans le désordre, sautant des trois divorces à l'enfance et à la retraite solitaire. A travers les maladies, les opérations et les séparations, on sent la mort de plus en plus présente. La vieillesse apparaît comme une volonté de vivre encore, d'expérimenter une fois de plus l'assouvissement, la plénitude et l'accomplissement propres à la jeunesse remémorée. Pourtant cela ne lui sera pas donné, bien sûr ; il ne lui sera même pas donné de mourir conscient de sa mort. Et c'est là que le roman de Roth m'apparaît d'une sagesse élémentaire : pas de romanesque, d'héroïsme, de dépassement ; mais une simple humanité faite de hasard, de limitations et de constantes tentatives — constamment déçues — d'échapper à cette fichue condition humaine. Un grand roman dans un petit cadre. ( )
Court roman, dont le thème est original et très fort : un homme, mort, fait le bilan de sa vie... un homme qui a réussi professionnellement, mais qui se retrouve très seul et très malade. La façon de Roth de traiter ce sujet est une fois de plus la démonstration qu'il est un très grand écrivain. ( )
A lire si vous êtes jeune, en bonne santé, bon moral et si vous pensez être immortel. C'est trés bien écrit, trés "vrai" mais je n'ai pas aimé ce sujet de livre. ( )
>Un homme, de Philip ROTH (Trad. de l'américain par Josée Kamoun Gallimard, Paris, 2007, 152 p.) Se reporter à la critique de Judy QUINN In: (2008). Compte rendu de [Fiction]. Nuit blanche, (111), p. 19… ; (en ligne), URL : https://id.erudit.org/iderudit/19589ac
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Here, where men sit and hear each other groan; Where palsy shakes a few, sad, last gray hairs, Where youth grows pale, and spectre-thin, and dies; Where but to think is to be full of sorrow ... —John Keats, "Ode to a Nightingale"
Dédicace
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To J.C.
Premiers mots
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Around the grave in the rundown cemetery were a few of his former advertising colleagues from New York, who recalled his energy and originality and told his daughter, Nancy, what a pleasure it had been to work with him.
Citations
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You fight your superficiality, your shallowness, so as to try to come at people without unreal expectations, without an overload of bias or hope or arrogance…and yet you never fail to get them wrong…You get them wrong when you meet them, while you’re anticipating meeting them; you get them wrong while you’re with them; and then you go home to tell someone else about the meeting and you get them wrong all over again…[T]he whole thing is really a dazzling illusion empty of all perception, an astonishing farce of misperception
Derniers mots
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The hero of Everyman is obsessed with mortality. As he reminds himself at one point, "I'm thirty-four! Worry about oblivion when you're seventy-five." But he cannot help himself. He is the ex-husband in three marriages gone wrong. He is the father of two sons who detest him, despite a daughter who adores him. And as his health worsens, he is the envious brother of a much fitter man.
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Le roman s'ouvre par l'enterrement du personnage et s'achève par sa mort. Entre les deux, nous faisons le tour de sa vie, la vie « banale » d'un homme « banal », d'un personnage sans nom, revécue à reculons et dans le désordre, sautant des trois divorces à l'enfance et à la retraite solitaire.
A travers les maladies, les opérations et les séparations, on sent la mort de plus en plus présente. La vieillesse apparaît comme une volonté de vivre encore, d'expérimenter une fois de plus l'assouvissement, la plénitude et l'accomplissement propres à la jeunesse remémorée. Pourtant cela ne lui sera pas donné, bien sûr ; il ne lui sera même pas donné de mourir conscient de sa mort. Et c'est là que le roman de Roth m'apparaît d'une sagesse élémentaire : pas de romanesque, d'héroïsme, de dépassement ; mais une simple humanité faite de hasard, de limitations et de constantes tentatives — constamment déçues — d'échapper à cette fichue condition humaine. Un grand roman dans un petit cadre. ( )