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Chargement... Le coup de pistolet (1831)par Alexander Pushkin
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Appartient à la série éditorialeStichting De Roos (109) Est contenu dansNouvelles par Alexander Puschkin (indirect) Verzameld proza en dramatische werken par A.S. Poesjkin (indirect) Tales of Belkin and Other Prose Writings par Alexander Pushkin (indirect) Tales of the Late Ivan Petrovich Belkin; The Queen of Spades; The Captain's Daughter; Peter the Great's Blackamoor par Alexander Pushkin (indirect) The Queen of Spades; The Tales of Ivan Belkin; Dubrovsky; The Captain's Daughter par Alexander Pushkin (indirect) Alexander Pushkin: Selected Works Poetry par Alexander Pushkin (indirect) The Tales of Ivan Belkin; The Queen of Spades par Alexander Poesjkin (indirect) The Poems, Prose and Plays of Alexander Pushkin par Alexander Pushkin (indirect) The Tales of Ivan Belkin; The Queen of Spades; Kirdzhali; The Captain's Daughter par Aleksandr Puskin (indirect)
This double story-within-a-story is presented by Ivan Petrovich Belkin, a gregarious but even-tempered army officer who committed to paper much of what others had told him before his untimely death. The first of his tales, which was related to him by Lieutenant-Colonel I. L. P., takes place among the garrison stationed in the village of N--. At the outset, so the story goes, all present in the garrison are awed and mystified by one Silvio; generous without any thought of recompense, he has retired at an early age from the hussars and exists on an uncertain income. ... Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Cette nouvelle de Pouchkine est d’une construction classique pour son époque, utilisant le subterfuge d’une personne racontant un souvenir et, par un étrange concours de circonstance, découvrant grâce à une rencontre tardive, les dessous d’une histoire qui l’avait intrigué.
Le narrateur, un jeune officier, admire un homme qui partage leurs soirées de jeunesse, mais tombe de haut le jour où celui-ci, insulté directement, se refuse à demander réparation. Serait-il un lâche ?
Je n’ai pu écouter cette nouvelle sans une arrière-pensée pour la mort de Pouchkine lui-même, tué lors d’un duel quelques années après la parution de cette nouvelle. C’est une conception de l’honneur qui y est exposée, en même temps qu’une réflexion sur ce que veut dire « tenir à la vie ».
Le quatre-quarts était délicieux, moelleux d’avoir été tant travaillé, peut-être aurais-je dû y mettre des cerises (au mépris de toute tradition), car il faut un certain panache pour picorer des cerises à quelques pieds de distance de la bouche du pistolet qui pourrait arrêter tout cela d’un seul coup.