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Du contrat social (1762)

par Jean-Jacques Rousseau

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5,409461,936 (3.58)43
Extrait : ""Je veux chercher si, dans l'ordre civil, il peut y avoir quelque re gles d'administration le gitime et su re en prenant les hommes tels qu'ils sont et les lois telles qu'elles peuvent e tre.""
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> Jean-Jacques Rousseau. Du Contrat social. Nouvelle édition avec une introduction et des notes explicatives, par Georges Beaulavon. Paris, Société nouvelle de librairie et d’édition, 1903, in-12 de 336 p.
Se reporter au compte rendu de L. BRUNEL
In: Revue d'Histoire littéraire de la France, 11e Année, No. 3 (1904), pp. 517-521.

> Jean-Jacques Rousseau, Du contrat social, présentation et notes par Bruno Bernardi, Paris, Flammarion, « GF », 2001, 256 p.
Se reporter au compte rendu de Anne MIEHE-LÉON
In: Revue Philosophique de la France et de l'Étranger, T. 192, No. 4, AUTOUR DE HEIDEGGER (OCTOBRE-DÉCEMBRE 2002), p. 476… ; (en ligne),
URL : https://drive.google.com/file/d/1B5vY_7FXPhUOyk3UL-TjwWeLK-3um_Mn/view?usp=shari...
  Joop-le-philosophe | Jan 5, 2021 |
Du contrat social ou Principes du droit politique est un ouvrage de philosophie politique de Jean-Jacques Rousseau publié en 1762. Il est renommé pour avoir exposé avec clarté et force que la seule forme de pouvoir politique légitime serait le pouvoir qui trouverait son fondement dans la volonté du peuple (ou « volonté générale »). Il est considéré comme un des inspirateurs des idées de la Révolution française. Dans Du contrat social, Rousseau établit qu’une organisation sociale "juste" repose sur un pacte garantissant l’égalité et la liberté entre tous les citoyens. Ce pacte est contracté entre tous les participants, c’est-à-dire l’ensemble exhaustif des citoyens. Dans le pacte social, chacun renonce à sa liberté naturelle pour gagner une liberté civile. La souveraineté populaire est le principe fondamental du contrat social. L’indivisibilité de cette souveraineté est un autre principe fondamental, par lequel il faut comprendre que le pouvoir du Souverain ne saurait être divisé (Rousseau emploie ce terme pour désigner le peuple souverain) et il ne peut s’en séparer par intérêt particulier, car l’intérêt particulier est contraire à la recherche de l’intérêt général, seul objectif du contrat social. Ce contrat social, Rousseau le voit comme faisant suite à l’état de nature dans lequel règne la loi du plus fort. Pour lui, la loi du plus fort ne peut être un principe directeur d’une société car il est incompatible avec l’intérêt général, et donc avec le contrat social : « Le plus fort n’est jamais assez fort pour être toujours le maître, s’il ne transforme sa force en droit et l’obéissance en devoir. » La dissolution du contrat social, c’est le retour à l’état de nature, primitif, présocial, « tyrannique et vain ». Une société qui rompt son contrat social ne serait plus une société ... Du contrat social commence par ces mots : « Je veux chercher si, dans l’ordre civil, il peut y avoir quelque règle d’administration légitime et sûre, en prenant les hommes tels qu’ils sont, et les lois telles qu’elles peuvent être. Je tâcherai d’allier toujours, dans cette recherche, ce que le droit permet avec ce que l’intérêt prescrit, afin que la justice et l’utilité ne se trouvent point divisées. » (Livre I, Préambule). Du contrat social est un traité de philosophie politique présentant comment l’homme , passé de l’état de nature à l’état de société, peut instituer un ordre social au service de l’intérêt général. Le pacte social que propose Rousseau établit que chacun doit renoncer à tous ses droits naturels pour obtenir la liberté civile que procure la société. Cette aliénation de chaque sujet de l’État est ce pacte qui offre à chacun l’égalité : « Les clauses [du pacte social] se réduisent toutes à une seule : l’aliénation totale de chaque associé avec tous ses droits à toute la communauté : car premièrement, chacun se donnant tout entier, la condition est égale pour tous ; et la condition étant égale pour tous, nul n’a intérêt de la rendre onéreuse aux autres. » (Livre I, Chapitre 6) La légitimité du pacte social repose sur le fait que l’homme n’aliène pas au sens propre (il ne l'échange pas ni ne le donne) son droit naturel mais il comprend que le pacte social est au contraire la condition sine qua non de l’existence de son droit naturel. C’est sur ce pacte que Rousseau fait reposer la démocratie. Si la liberté et l’égalité ne sont pas assurées par le peuple souverain (qu’il appelle le Souverain par personnification) envers lui-même, ou si des intérêts particuliers font que le pacte est divisé ou aliéné (chapitres 2.1 et 2.2 référence), alors c’est l’état de nature primitif qui reprend ses droits. Rousseau dit que rompre ce pacte sera faire que « l’état de nature subsisterait, et alors l’association deviendrait nécessairement tyrannique ou vaine ». Pour Rousseau, « le principe de la vie politique est dans l’autorité souveraine », et toute division de cette autorité est nuisible : « Toutes les fois qu’on croit voir la souveraineté partagée, on se trompe ; que les droits qu’on prend pour des parties de cette souveraineté lui sont tous subordonnés, et supposent toujours des volontés suprêmes dont ces droits ne donnent que l’exécution. ». Il aborde également les problèmes législatifs, dans le livre II, (« par le pacte social, nous avons donné l’existence et la vie au corps politique : il s’agit maintenant de lui donner le mouvement et la volonté par la législation. ») en précisant la notion de loi, qui s’applique à l’ensemble du peuple, et est statué par l’ensemble du peuple, souverain : « Quand tout le peuple statue sur tout le peuple, il ne considère que lui-même ; et s’il se forme alors un rapport, c’est de l’objet entier sous un point de vue à l’objet entier sous un autre point de vue, sans aucune division du tout. Alors la matière sur laquelle on statue est générale comme la volonté qui statue. C’est cet acte que j’appelle une loi. » (Livre II, Chapitre 6) Dans cette partie délicate, Rousseau s’attache à maintenir et à démontrer que « seul l’intérêt public gouverne ». Il commence alors à aborder les différents organes du corps politique, avec, par exemple le législateur. Le livre III présente les diverses formes de gouvernement, de législatures, et le livre IV entre plus précisément dans les pratiques démocratiques (tribunat, élection...) ( )
  vdb | Dec 16, 2010 |
Rousseau devient intéressant quand il cesse de parler de lui.. ( )
  Nikoz | Aug 16, 2014 |
3 sur 3
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Nom de l'auteurRôleType d'auteurŒuvre ?Statut
Rousseau, Jean-JacquesAuteurauteur principaltoutes les éditionsconfirmé
Burgelin, PierreIntroductionauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Cole, G. D. H.Traducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Halbwachs, MauriceDirecteur de publicationauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Roermund, G. vanTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
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My purpose is to consider if, in political society, there can be any legitimate and sure principle of government, taking men as they are and laws as they might be.
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Man was born free, and he is everywhere in chains.
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Notice de désambigüisation
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Courtes éloges de critiques
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Références à cette œuvre sur des ressources externes.

Wikipédia en anglais (2)

Extrait : ""Je veux chercher si, dans l'ordre civil, il peut y avoir quelque re gles d'administration le gitime et su re en prenant les hommes tels qu'ils sont et les lois telles qu'elles peuvent e tre.""

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