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The Post-Office girl par Stefan Zweig
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The Post-Office girl (original 1982; édition 2008)

par Stefan Zweig, Joel Rotenberg (Traducteur)

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1,1275517,640 (4.1)1 / 192
Classic Literature. Fiction. Literature. HTML:Wes Anderson on Stefan Zweig:  "I had never heard of Zweig...when I just more or less by chance bought a copy of Beware of Pity. I loved this first book.  I also read the The Post-Office GirlThe Grand Budapest Hotel has elements that were sort of stolen from both these books. Two characters in our story are vaguely meant to represent Zweig himself — our “Author” character, played by Tom Wilkinson, and the theoretically fictionalised version of himself, played by Jude Law. But, in fact, M. Gustave, the main character who is played by Ralph Fiennes, is modelled significantly on Zweig as well."

2009 PEN Translation Prize Finalist

The logic of capitalism, boom and bust, is unremitting and unforgiving. But what happens to human feeling in a completely commodified world? In The Post-Office Girl, Stefan Zweig, a deep analyst of the human passions, lays bare the private life of capitalism.Christine toils in a provincial post office in post–World War I Austria, a country gripped by unemployment. Out of the blue, a telegram arrives from Christine’s rich American aunt inviting her to a resort in the Swiss Alps. Christine is immediately swept up into a world of inconceivable wealth and unleashed desire. She feels herself utterly transformed: nothing is impossible. But then, abruptly, her aunt cuts her loose. Christine returns to the post office, where yes, nothing will ever be the same.

Christine meets Ferdinand, a bitter war veteran and disappointed architect, who works construction jobs when he can get them. They are drawn to each other, even as they are crushed by a sense of deprivation, of anger and shame. Work, politics, love, sex: everything is impossible for them. Life is meaningless, unless, through one desperate and decisive act, they can secretly remake their world from within.

Cinderella meets Bonnie and Clyde in Zweig’s haunting and hard-as-nails novel, completed during the 1930s, as he was driven by the Nazis into exile, but left unpublished at the time of his death. The Post-Office Girl, available here for the first time in English, transforms our image of a modern master’s achievement.
… (plus d'informations)
Membre:rebeccanyc
Titre:The Post-Office girl
Auteurs:Stefan Zweig
Autres auteurs:Joel Rotenberg (Traducteur)
Info:New York : New York Review Books, c2008. Original C1982?
Collections:Votre bibliothèque
Évaluation:
Mots-clés:fiction, 20th century literature, Austrian literature, NYRB

Information sur l'oeuvre

Ivresse de la métamorphose par Stefan Zweig (Author) (1982)

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 Author Theme Reads: Zweig: The Post Office Girl6 non-lus / 6jfetting, Mai 2010

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Christine, modeste employée des Postes, a vu mourir son père et son frère, et vit dans la misère avec sa mère mourante. L'invitation impromptue à Pontresina d'une généreuse tante d'Amérique, riche et fastueuse, la plonge dans les délices d'une vie de plaisirs insoupçonnés. L'ivresse de la métamorphose s'empare d'elle : jamais depuis son enfance, elle ne s'est sentie si légère, si aérienne, si heureuse. Mais l'argent mène le monde et ces vacances dorées achèvent de la révolter contre la médiocrité de sa vie qu'elle reprend tristement. Elle partage alors avec Ferdinand, ancien combattant, mutilé, devenu chômeur, sa honte, sa solitude et sa pauvreté. Devant le lent naufrage de l'Europe dans la barbarie, le couple s'enfonce dans une désespérance.
Le titre n'est pas de Stefan Zweig, mais il est emprunté à une phrase du roman qui a été établi à partir des manuscrits retrouvés dans ses inédits. Il faut distinguer deux parties distinctes dans cette œuvre qui correspondent aux deux périodes d'écriture de l'auteur. Un premier cahier, rédigé à Salzbourg en 1930-1931, relate l'aventure de Christine en Suisse et s'arrête à son retour en Autriche. Le second, écrit en exil à Londres en 1938-1939, correspond à la deuxième partie du roman. On sent une nette différence d'atmosphère : autant la satire de l'état autrichien est souriante dans la première partie, autant elle devient féroce dans la bouche de Ferdinand. Roman miroir d'un pan de la vie de Zweig qui dans l'intervalle a lui-même souffert des désordres politiques en Autriche, subissant à Salzbourg en 1934 une perquisition par des nationalistes qui entraîna son exil à Londres. Cette dernière oeuvre inachevée de Stefan Zweig, et non publiée de son vivant, nous transporte donc dans l'Autriche des années 20-30, déjà convoitée comme une proie par l'Allemagne nazie. La guerre et l'argent sont au centre de ce roman. La première guerre, par les rappels en flash-back de l'enfance de Christine et par le récit de la captivité de Ferdinand ; la Seconde Guerre mondiale par sa menace qui plane à l'horizon. L'argent, par sa présence écrasante dans la première partie et par son absence dans la deuxième. Sous l'influence littéraire manifeste de Balzac (cf. Balzac le roman de sa vie), Zweig signe son fameux Chant du cygne, roman testamentaire empreint d'un véritable réalisme balzacien, avec des descriptions riches et sans concessions sur les différents milieux, avec ses fines analyses psychologiques dont il honore toute son œuvre. Une fois de plus, le lecteur est envoûté, aimanté par le rythme, par la présence de cette voix magnifique qui chuchote, s'emporte, rit ou grince. Ce roman, prétendument inachevé alors qu'il est tout à fait abouti, est un bijou, peu lu car moins connu, sans doute confiné dans l'ombre d'autres œuvres remarquables. Cette voix, dont on ne se lasse pas, semblait annoncer le suicide de cet immense écrivain autrichien qui rédigea au Brésil le message d'adieu suivant : « Avant de quitter la vie de ma propre volonté et avec ma lucidité, j'éprouve le besoin de remplir un dernier devoir : adresser de profonds remerciements au Brésil, ce merveilleux pays qui m'a procuré, ainsi qu'à mon travail, un repos si amical et si hospitalier. De jour en jour, j'ai appris à l'aimer davantage et nulle part ailleurs je n'aurais préféré édifier une nouvelle existence, maintenant que le monde de mon langage a disparu pour moi et que ma patrie spirituelle, l'Europe, s'est détruite elle-même. Mais à soixante ans passés il faudrait avoir des forces particulières pour recommencer sa vie de fond en comble. Et les miennes sont épuisées par les longues années d'errance. Aussi, je pense qu'il vaut mieux mettre fin à temps, et la tête haute, à une existence où le travail intellectuel a toujours été la joie la plus pure et la liberté individuelle le bien suprême de ce monde. Je salue tous mes amis. Puissent-ils voir encore l'aurore après la longue nuit ! Moi je suis trop impatient, je pars avant eux. » Stefan Zweig, Pétropolis, 22-2-42 - Pascale Arguedas ( )
  vdb | Jun 21, 2011 |
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Nom de l'auteurRôleType d'auteurŒuvre ?Statut
Zweig, StefanAuteurauteur principaltoutes les éditionsconfirmé
Deresiewicz, WilliamPostfaceauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Rotenberg, JoelTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé

Appartient à la série éditoriale

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One village post office in Austria is much like another: seen one and you've seen them all.
Citations
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Memory is so corrupt that you remember only what you want to; if you want to forget about something, slowly but surely you do. [115]
Fear is a distorting mirror in which anything can appear as a distortion of itself, stretched to terrible proportions; once inflamed, the imagination pursues the craziest and most unlikely possibilities. [116]
"You wouldn't believe what a dead finger does to a living hand.
"The smell is suffocating. The smell of stale cigarette smoke, bad food, wet clothes, the smell of the old woman's dread and worry and wheezing."
"Poverty stinks, stinks like a ground-floor room off an air-shaft, or clothes that need changing. You smell it yourself, as though you were made of sewage."
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Notice de désambigüisation
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LCC canonique

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Wikipédia en anglais (1)

Classic Literature. Fiction. Literature. HTML:Wes Anderson on Stefan Zweig:  "I had never heard of Zweig...when I just more or less by chance bought a copy of Beware of Pity. I loved this first book.  I also read the The Post-Office GirlThe Grand Budapest Hotel has elements that were sort of stolen from both these books. Two characters in our story are vaguely meant to represent Zweig himself — our “Author” character, played by Tom Wilkinson, and the theoretically fictionalised version of himself, played by Jude Law. But, in fact, M. Gustave, the main character who is played by Ralph Fiennes, is modelled significantly on Zweig as well."

2009 PEN Translation Prize Finalist

The logic of capitalism, boom and bust, is unremitting and unforgiving. But what happens to human feeling in a completely commodified world? In The Post-Office Girl, Stefan Zweig, a deep analyst of the human passions, lays bare the private life of capitalism.Christine toils in a provincial post office in post–World War I Austria, a country gripped by unemployment. Out of the blue, a telegram arrives from Christine’s rich American aunt inviting her to a resort in the Swiss Alps. Christine is immediately swept up into a world of inconceivable wealth and unleashed desire. She feels herself utterly transformed: nothing is impossible. But then, abruptly, her aunt cuts her loose. Christine returns to the post office, where yes, nothing will ever be the same.

Christine meets Ferdinand, a bitter war veteran and disappointed architect, who works construction jobs when he can get them. They are drawn to each other, even as they are crushed by a sense of deprivation, of anger and shame. Work, politics, love, sex: everything is impossible for them. Life is meaningless, unless, through one desperate and decisive act, they can secretly remake their world from within.

Cinderella meets Bonnie and Clyde in Zweig’s haunting and hard-as-nails novel, completed during the 1930s, as he was driven by the Nazis into exile, but left unpublished at the time of his death. The Post-Office Girl, available here for the first time in English, transforms our image of a modern master’s achievement.

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