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Chargement... Le Retour des Anges (L'Hérésie d'Horus, T. 6)par Mitchel Scanlon
Warhammer (2) Chargement...
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Appartient à la sérieThe Horus Heresy (VI) Warhammer 40,000 (fiction) (Horus Heresy novel #6 (Oct 2007))
Book six in the New York Times bestselling series The planet of Caliban exists much as it has for thousands of years - the knightly orders protect the common people, fighting back the beasts that lurk in the depths of the seemingly endless forests. Young Zahariel and Nemiel aspire to join the greatest of the orders, led by the example of mighty Lion El'Jonson and his vision of a peaceful and unified world. But the coming of the Imperium brings new concerns and a new destiny for the Lion as part of the Great Crusade, and the sons of Caliban must decide if they will follow him to glory among the stars. Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)823.92Literature English & Old English literatures English fiction Modern Period 2000-ÉvaluationMoyenne:
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La bouse du jour (oups… plus de suspens…) sera donc le 6ème tome de la série « L’hérésie d’Horus » dont j’ai critiqué le 5ème tome, « Fulgrim » de Graham McNeill, sur ce même blog [et sur Librarything...]. Cette fois-ci, je ne vais pas trop poser le décor puisque je pense l’avoir fait la dernière fois. Dans ce tome, on ne se centre pas spécialement sur un de ces primarques félons qui ont marqué la période « historique » relatée dans la série, on élargit un tout petit peu en relatant les prémisces de ce qui deviendra une légion de space marines : les Dark Angels. Le fan sait (je dirais même plus « a l’obligation de savoir »), avant d’ouvrir ce livre, que durant l’hérésie d’Horus, une partie de cette légion s’est rebellée contre l’autre partie entrainant un-apre-et-tragique-combat-qui-traumatisera-à-jamais-les-nobles-Dark-Angels, etc. Donc le fan qui sait déjà tout ça et qui connait déjà tout sur les Dark Angels (notamment grâce au bousissime « Les anges des ténèbres » de Gavin Thorpe paru dans la même collection) croira apprendre ici pourquoi les futurs rebelles sont devenus rebelles, pourquoi Luther est devenu aigri et jaloux, etc.
Le récit : ça commence agréablement par une brève introduction qui semble être une confession d’un rebelle et, flashback ?, on enchaine sur l’apprentissage d’un jeune novice dans ce qui fut le principal ordre de chevalerie de la planète Caliban, là où tout à commencé. Dans cette partie qui dure une bonne moitié du bouquin, on apprend donc ce que fut la rude vie des calibanites, comment ils étaient protégés par les chevaliers, comment Lion El’Jonson a bouleversé tout ça. Le tout par les yeux de ce qui était apparemment un simple humain.
Personnellement, j’ai trouvé ça frais par rapport aux autres histoires dans ce même univers. C’est pas énorme d’originalité, de richesse de contexte mais j’ai trouvé ça surprenant par rapport aux sempiternels combats de space marines surpuissants. C’était donc un bon début mais, le fan le sait, l’empereur et ses space marines sont arrivés et tout est rentré dans le moule : le peuple de Caliban, les chevaliers de l’Ordre, Lionel, Luther, Mitchel Scanlon, tout le monde. Le reste du bouquin est un gentil épisode de la Grande Croisade et n’apporte rien de plus même pas aux questions du fan qui veut savoir pourquoi Luther et ses copains sont aigris : la cause de la rebellion prend racine avant ce bouquin (puisque Lion El’Jospin est déjà le grand chef de Caliban au début du récit, la première bouffée d’aigreur de Luther est déjà ancienne…) et les conséquences se dérouleront après le « final » (pas de combat épique menant à la destruction de Caliban, ni rien de ce genre).
Finalement pour moi, ce roman est une déception que la première partie ne sauvera pas : je ne m’attendais pas à être surpris mais à lire du spectacle, à avoir « du son et lumières », à me cramer les rétines sous les flots de plasma, etc. Je n’ai même pas eu ça. Scanlon avait pourtant une bonne idée dans les mains, il a su donner une étincelle de vie à cette planète qu’était Caliban, il n’y avait qu’à développer un peu plus mais bon, c’était pas son choix finalement… ( )