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Enfance (1914)

par Maxim Gorky

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Séries: Autobiography of Maxim Gorky (1)

MembresCritiquesPopularitéÉvaluation moyenneMentions
1,0521519,383 (3.98)21
Aleksey Peshkov overcame indigence, violence, and suicidal despair to become Maksim Gorky, one of the most widely read and influential writers of the twentieth century. Childhood, the first book in Gorky's acclaimed autobiographical trilogy, depictshis early years, when after his father's death he was taken to live in the home of his maternal grandfather, a violent and vindictive man who both provided the child with a rudimentary education and subjected him to savage beatings. With remarkable freshness and candor, Gorky immerses his reader in a young child's world, recreating in dynamic pro… (plus d'informations)
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3 sur 3
> Celui que Staline érigea plus tard en pilier du pouvoir soviétique vivait en exil lorsqu'il rédigea, entre 1913 et 1920, sa grande trilogie autobiographique. Enfance, qui en constitue le premier volet, débute à la mort de son père (son premier souvenir), pour s'achever avec la mort de sa mère : il a douze ans. Évoquant par endroits Oliver Twist ou David Copperfield, Gorki décrit pourtant une misère bien plus morale que matérielle. Terrible réquisitoire contre la violence, ce récit âpre et sauvage est baigné par une mélancolie profonde. Confronté à la folie, à la sauvagerie brutale et destructrice de ses proches, l'enfant se réfugie auprès de sa grand-mère, personnage haut en couleur dont l'affection le sauve. Ses relations, également, avec son ami l'aveugle, puis le Juif, illuminent et adoucissent avec bonheur un climat autrement irrespirable, soulageant la si vive tension de ce texte ténébreux, bien éloigné de tous les clichés sur l'enfance ou la misère.
—Scarbo, Amazon.fr

> En 1940, quelques mois après mon mariage, alors que Svâmiji était avec nous à Patna, je le persuadai d’écouter la première nouvelle que j’avais commencé à écrire peu de temps auparavant. Pendant quelques jours, une heure par jour, il écouta patiemment et, après que j’eus fini de lui lire tout ce que j’avais écrit jusque-là, il dit :
« Avez-vous écrit tout ceci à partir de votre imagination ou de votre expérience personnelle ? »
« Oui, Svâmiji tout est écrit à partir de mon imagination », répliquai-je sans percevoir où il voulait en venir.
« Voilà pourquoi l’histoire ne paraît être ni convaincante, ni saisissante, souligna-t-il. Maintenant, faites une chose : essayez de trouver le texte de Enfance de Gorki et lisez-le entièrement. Vous découvrirez alors que les expériences de l’écrivain, si elles sont présentées sous forme d’images, ont un profond impact sur un lecteur sensible et réceptif.
C’est ainsi que je reçus de Svâmiji mes premières leçons d’écriture créative. Puis, quand je lus Enfance de Gorki, cela me fascina véritablement.
Sumangal Prakash, Svâmi Prajnânpad, mon maître : Quarante ans d'enseignement, Accarias-L'Originel (p. 306)

> Enfance, de Maxime Gorki
Se reporter à la critique de CATHEAU
URL : http://www.lecture-ecriture.com/7734-Enfance-Maxime-Gorki

> Enfance, de Maxime Gorki
Se reporter à la critique de MYESLIELS
URL : http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/7149

> Enfance, de Maxime GORKI (Gallimard, Folio, 1976, 375 p.)
Se reporter au compte rendu de C.V.
In: (1976). Nouveautés. Québec français, (24), p. 7… ; (en ligne),
URL : https://id.erudit.org/iderudit/56711ac
Un enfant de trois ans vient de perdre son père. Recueilli par la famille de sa mère, le jeune Gorki découvre avec effarement les dures passions qui agitent son grand-père et ses oncles. S'il est souvent battu, il est aussi consolé par sa grand-mère qui lui raconte de vieilles légendes et le gâte comme elle peut. Le livre s'achève en 1879 quand, sa mère morte, l'enfant de onze ans s'en va gagner son pain.
Ce très beau livre, qui constitue sans doute le chef d'oeuvre de Gorki, projette un éclairage fascinant sur l'enfance en général et sur les valeurs traditionnelles d'une société rurale. (C.V.) ( )
  Joop-le-philosophe | Nov 25, 2018 |
Enfance (1913) est le premier volet de la trilogie autobiographique de Gorki (1868-1936) - considérée comme son chef-d’œuvre - qui se poursuit avec En gagnant mon pain (1916) et Mes Universités (1923).

Cette partie d'enfance est marquée et encadrée par la mort du père victime du choléra en 1871 puis de celle de la mère en 1879 : " Quelques jours après l'enterrement, grand-père me dit :
"Eh bien, Alexis, tu n'es pas une médaille, tu ne peux pas toujours rester pendu à mon cou, va donc gagner ton pain..."
Et je partis gagner mon pain."

0n découvre dans ce récit un monde de haine et d'injustice où le grand-père, patron d'une entreprise de teinturerie, avare et tyran familial, est au prise avec ses deux fils réclamant leur part d'héritage. Seule la grand-mère Akoulina, figure lumineuse, sorte d'incarnation de la Russie populaire, éclaire ces sombres années.
1 voter BibliOdyssee | Dec 28, 2013 |
3 sur 3
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Maxim Gorkyauteur principaltoutes les éditionscalculé
Coulson, JessieTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Güell, Josep M.Traducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Kuhlman, RoyConcepteur de la couvertureauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Schneider, IsidorTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Wettlin, MargaretTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Wilks, RonaldTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
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Titre canonique
Titre original
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Épigraphe
Dédicace
A mon fils
Premiers mots
Father lay on the floor, by the window of a small, darkened room, dressed in white, and looking terribly long.
Près de la fenêtre, dans une petite pièce presque obscure, mon père, tout de blanc vêtu et extraordinairement long, est couché sur le sol. Les doigts de ses pieds nus, animés d’un mouvement bizarre, s’écartent l’un de l’autre spasmodiquement, tandis que les phalanges caressantes de ses mains posées avec résignation sur sa poitrine restent obstinément contractées. Le regard joyeux de ses yeux clairs s’est éteint ; le visage si bon d’ordinaire apparaît morne et la saillie de ses dents entre les mâchoires distendues emplit mon cœur d’un vague effroi.

En jupe rouge, à demi vêtue, ma mère s’est agenouillée près de lui et, au moyen d’un petit peigne noir dont j’aime à me servir pour scier les écorces des pastèques, elle partage les longs et souples cheveux de mon père qui lui retombent obstinément sur le front. Sans arrêt, d’une voix pâteuse et rauque, elle parle, et de ses yeux gris boursouflés de grosses larmes s’égouttent comme des glaçons qui fondraient.

Grand’mère me tient par la main ; c’est une femme au corps grassouillet, surmonté d’une grosse tête aux yeux énormes sous lesquels bourgeonne un nez comique et mou. Toute sa personne apparaît noire, flasque et étonnamment intéressante. Elle pleure aussi, accompagnant d’une harmonie particulière et vraiment agréable les sanglots de ma mère. Secouée de frissons, elle me tire et me pousse vers mon père, mais je résiste et me cache derrière elle, car je suis gêné et j’ai peur.

Jamais jusqu’à ce jour je n’avais vu pleurer les grandes personnes, et je ne parvenais pas à comprendre les paroles que me répétait ma grand’mère :
– Dis adieu à ton père, tu ne le reverras plus jamais, il est mort, le pauvre cher homme ; il est mort trop tôt ; ce n’était pas son heure…
Citations
Derniers mots
Notice de désambigüisation
Directeur de publication
Courtes éloges de critiques
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Langue d'origine
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DDC/MDS canonique
LCC canonique

Références à cette œuvre sur des ressources externes.

Wikipédia en anglais

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Aleksey Peshkov overcame indigence, violence, and suicidal despair to become Maksim Gorky, one of the most widely read and influential writers of the twentieth century. Childhood, the first book in Gorky's acclaimed autobiographical trilogy, depictshis early years, when after his father's death he was taken to live in the home of his maternal grandfather, a violent and vindictive man who both provided the child with a rudimentary education and subjected him to savage beatings. With remarkable freshness and candor, Gorky immerses his reader in a young child's world, recreating in dynamic pro

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