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Une courtepointe pour Chehab

par Caroline Auger

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Malgré son texte dense, ce bel album capture avec justesse, sensibilité et sagesse l'arrivée d'une jeune migrante dans un nouveau pays et une nouvelle école, où elle ne connaît ni la langue ni les gens. Les craintes qu'elle formule sont réalistes, mais pour chacune d'elles, son chameau en peluche, qui prend des allures de véritable animal parlant dans son esprit, trouve des paroles bienfaisantes pour la consoler. L'évocation du terme arabe "mektoub", qui signifie "qu'il n'y a pas de hasard dans la vie et qu'il y a des situations pour lesquelles on ne peut rien faire", de même que de l'histoire de la courtepointe, est bien choisie pour encourager ceux qui ont vécu la guerre à entrevoir leur nouvelle vie avec optimisme. Des lavis d'aquarelle cernés de fébriles traits d'encre animent cette tranche de vie scolaire qui apporte un baume sur le coeur. Sur son lit mezzanine, Chehab confie ses craintes à Uruk le chameau: ne pas se faire d'amis, ne rien comprendre dans ce pays si différent du sien, voir son père peiner à se trouver un travail. Son animal en peluche parvient à la consoler avec ses paroles apaisantes, lui racontant de nouveau son histoire de courtepointe: chaque humain naît avec une couleur unique et, en tissant des liens avec les autres, une immense courtepointe se forme de coutures invisibles pour entourer la Terre et la rendre plus belle. Pour calmer son stress, Chehab emporte Uruk dans le fond de son sac d'école, porte le foulard mauve de sa mère et demande à son père de la conduire seulement au coin de la rue. Dans la cour de récréation, les enfants vont vers elle, mais la fillette ne comprend rien de ce qu'ils disent et une succession de bruits lui évoque l'alerte à la bombe au cours de laquelle elle avait dû se réfugier sous son bureau. Tout cela la pousse à fuir, mais avec l'aide d'Uruk, elle réalisera qu'elle pourra, petit à petit, s'intégrer dans cette nouvelle vie.… (plus d'informations)
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Malgré son texte dense, ce bel album capture avec justesse, sensibilité et sagesse l'arrivée d'une jeune migrante dans un nouveau pays et une nouvelle école, où elle ne connaît ni la langue ni les gens. Les craintes qu'elle formule sont réalistes, mais pour chacune d'elles, son chameau en peluche, qui prend des allures de véritable animal parlant dans son esprit, trouve des paroles bienfaisantes pour la consoler. L'évocation du terme arabe "mektoub", qui signifie "qu'il n'y a pas de hasard dans la vie et qu'il y a des situations pour lesquelles on ne peut rien faire", de même que de l'histoire de la courtepointe, est bien choisie pour encourager ceux qui ont vécu la guerre à entrevoir leur nouvelle vie avec optimisme. Des lavis d'aquarelle cernés de fébriles traits d'encre animent cette tranche de vie scolaire qui apporte un baume sur le coeur. Sur son lit mezzanine, Chehab confie ses craintes à Uruk le chameau: ne pas se faire d'amis, ne rien comprendre dans ce pays si différent du sien, voir son père peiner à se trouver un travail. Son animal en peluche parvient à la consoler avec ses paroles apaisantes, lui racontant de nouveau son histoire de courtepointe: chaque humain naît avec une couleur unique et, en tissant des liens avec les autres, une immense courtepointe se forme de coutures invisibles pour entourer la Terre et la rendre plus belle. Pour calmer son stress, Chehab emporte Uruk dans le fond de son sac d'école, porte le foulard mauve de sa mère et demande à son père de la conduire seulement au coin de la rue. Dans la cour de récréation, les enfants vont vers elle, mais la fillette ne comprend rien de ce qu'ils disent et une succession de bruits lui évoque l'alerte à la bombe au cours de laquelle elle avait dû se réfugier sous son bureau. Tout cela la pousse à fuir, mais avec l'aide d'Uruk, elle réalisera qu'elle pourra, petit à petit, s'intégrer dans cette nouvelle vie.

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