

Chargement... Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur (1960)par Harper Lee
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> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Kawabata-Pays-de-neige/4746 > Le Livre de Poche (celiatas) : https://fr.calameo.com/books/0043038443afedcb9a996 > Elle (Laura Boudoux) : http://www.elle.fr/Loisirs/Livres/Dossiers/livres-a-lire-au-moins-une-fois-dans-... > Cosmopolitan (Pauline Grisoni) : https://www.cosmopolitan.fr/,20-livres-cultes-a-avoir-lu-au-moins-une-fois-dans-... > Un phénomène comparable à L'Attrape-coeurs de Salinger, et donc l'un des plus beaux livres jamais écrits. --Alexandre Fillon, Fémina > Livre culte dans le monde entier, Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur raconte l'histoire d'Atticus Finch, jeune avocat, qui élève seul ses deux enfants Jem et Scout. Lorsqu'il est commis d'office pour la défense d'un homme noir accusé d'avoir violé une femme blanche, la vie de la petite famille bascule. Nous sommes dans les années 1930, dans une petite ville de l'Alabama et certaines vérités peuvent être dangereuses à démontrer... Grâce au talent de Fred Fordham (notamment découvert en France grâce à Nightfall, paru chez Delcourt), ce roman graphique donne une nouvelle vie au chef d'oeuvre d'Harper Lee. L'illustrateur a exploré les lieux qui ont compté pour la mythique auteure américaine en se plongeant dans sa vie afin de s'approcher au plus près de son imaginaire. Fred Fordham offre un éclairage inédit du texte avec ce magnifique ouvrage qui renforce encore la modernité de l'oeuvre de Lee. Couronné par le prix Pulitzer en 1961, Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur est l'un des plus grands classiques de la littérature du xxème siècle. » --Figaroscope > Ce livre est magique. D’une tendresse, d’un humour, d’une mélancolie sans pareils. --Frédéric Vitoux, Le Nouvel Observateur > Publié en 1960, le seul roman écrit par Harper Lee est aujourd’hui un des grands classiques de la littérature américaine. Tout en situant son sujet en Alabarna dans les années 1930, elle nous offre un roman universel sur l'enfance. --Le Livre de Poche Roman ayant rencontré un énorme succès, allant bien au-delà des lecteurs Nord-américains et dont les raisons sont très bien analysées dans la postface de Isabelle Hauser (Edition Le Livre de Poche). Il est vrai que ce roman écrit dans les années 1950, se déroulant dans le sud profond des Etats-unis dans les années 1930 résonne particulièrement en 2018 par rapport aux évènements politique aux Etats-unis ainsi que l'évolution idéologique de la société américaine depuis une vingtaine d'année. La force de ce roman est de permettre plusieurs niveau de lecture, roman de l'enfance et de l'adolescence, roman sociologique de l'Amérique profonde des années 1930, roman initiatique. Je l'ai lu comme un texte pointant une société ballotée entre les idées des lumières et libérales et des concepts philosophiques et religieux fondés sur le déterminisme de classe, le déterminisme de race, le déterminisme des gènes. La grande réussite de ce texte c'est de faire passer tout ces niveaux de lectures au travers de Scout une enfant de neuf ans, permettant de décrire avec un peu de naïveté, d'incrédulité, d'innocence et même d'humour, la bêtise humaine figée dans ses préjugées et également la grandeur de l'homme lorsqu'il garde à l'esprit les principes d'égalité, de fraternité et de liberté. "La seule chose qui ne doive pas céder à la loi de la majorité est la conscience de l'individu" (p167 Ed LdP) Alors alors, en plus de son succès médiatique, pourquoi ai-je voulu lire Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur ? J’ai adoré le film « La Conspiration », qui se présente presque intégralement sous forme de procès, et j’avais envie de retrouver cet univers à l’intérieur d’un roman. Bon, hé bien ce n’était pas vraiment le cas. Ce livre a connu un succès mondial, a gagné des prix, oui, mais pourquoi ? Peut-être davantage à cause du contexte (droits civique des Noirs…) que de son réel contenu. Je m’explique. J’ai beaucoup aimé l’écriture, là-dessus rien à dire, on frôle la rédaction digne d’un grand classique. Les personnages m’ont été sympathiques et attachants, même si parfois un peu nombreux et pas assez creusés pour certains (toutes les dames du roman !), si bien qu’on s’y perd un peu. Le décor m’a fait penser à un Steinbeck, donc c’était un gros point positif. Mais franchement, en ouvrant ce bouquin, je m’attendais à voir un réel combat acharné au sein d’un tribunal sur cette histoire de viol d’une blanche par un Noir… Que nenni ! Le livre met environ 230 pages avant de nous raconter cette histoire de procès, qui elle, ne dure qu’une cinquantaine de pages !!! Donc si comme moi vous n’attendez que ça, vous allez être un peu déçus. En revanche c’est très bien raconté et cette partie m’a beaucoup plu. Je m’attendais à un livre davantage engagé, mais l’auteur a tellement pris la peine de romancer son histoire que je trouve que ça perd un peu de sa force. Ce n’est que personnel, parce que l’histoire n’est pas mal somme toute. Une réelle ode à l’enfance, aux préjugés, à l’humain en général. Mais cette histoire de Boo Radley… J’ai eu envie de dire « tout ça pour ça ? ». Bref, des petites longueurs, mais ce n’est dû qu’à mon empressement à assister au procès. Harper Lee sait comment jouer avec les sentiments de son public. Elle nous fait rager, haïr certains personnages, nous apitoyer sur Tom, admirer Atticus… A ce niveau-là, c’est donc réussi. On ne peut donc pas parler d’une vraie déception, disons simplement que je m’attendais à autre chose. Nous sommes ici dans un petit village, la dimension sociale et politique du racisme n’est donc pas aussi prononcée que je m’y attendais. Mais c’est également ce qui rend ce bouquin intéressant. Une bonne lecture. C'est une histoire de racisme, de justice, de meurtre, de vengeance qui se passe dans les années 1930 aux États-Unis, en Alabama, racontée par une femme adulte qui se souvient de son enfance. Publié en 1960, je trouve que ce roman est toujours d'actualité. C'est aussi un roman initiatique sur le passage de l'enfance à l'adolescence. (J'ai la traduction de 2005, non expurgée contrairement à celle de l'édition de 1989, et avec une postface superbe qui remet le roman dans son contexte.)
"Bülbülü Öldürmek" harika bir roman ve başlamak için en iyisi. Bu, bir kardeşin (Jem ve Scout) ve tek bekar ebeveynleri, yani babaları Atticus ve bakıcı Calpurnia ile yaşarken beklenmedik bir dönüş ve dönüş getiren hayatları etrafında dönen bir hikaye. Hikayenin konusu, Boo Radley'in planı dışında başlangıçta net değildi, çünkü anlatı bazı olaylara derinden nüfuz etti ve aniden rotasını değiştirdi. Daha sonra bu kısa anlatımların, hikaye izci (8 yaşındaki) bakış açısıyla anlatıldığı için çocukların hissettikleri duyguları anlattığını fark ediyoruz. Yetiştirilmeleri, iyi beslendikleri ve Atticus tarafından iyi değerlerle donatıldıkları için büyüleyicidir. O, sözünün eri bir adamdır ve her senaryonun dürüst, doğru, eşitlikçi bir bakış açısına daima sahip olmuştur. Mesleği avukatlıktır ve çocuklarına düşünce ve eylemlerinde özgürlük duygusu vermiştir. Her ne kadar hikayenin sonunda gördüğümüz gibi işler ona göre gitmese de, hikaye güçlü bir ifadeyle sona erdi: "Ölüler ölüleri gömsün" yani bu dünyada insanların ne kadar doğru ya da yanlış olduğu anlamına gelir, her şey hesaba katılır ve faturanın vadesi gelir. Bu roman mutlaka okunmalı, severek okudum. Mockingbird is not necessarily as widely admired among scholars of US literature as it is among its fans. I once enraged an audience of very nice book-lovers at the Cheltenham literary festival by suggesting that Mockingbird was just the teensiest bit overrated. There are many reasons for this assessment, not least the feeling that Atticus Finch’s famous moral rectitude is, in point of fact, disturbingly flexible. He tells Scout: “Before I can live with other folks, I’ve got to live with myself. The one thing that doesn’t abide by majority rule is a person’s conscience.” That’s all well and good, and a fine American sentiment that goes at least back to The Adventures of Huckleberry Finn. But part of Mark Twain’s radical move in that novel is to make his hero an illiterate backwoods boy; Lee’s hero is a virtuous, middle-class white man, full of noblesse oblige to the black people he defends (who revere him for it), but who doesn’t bat an eyelid at the common knowledge that the illiterate, white-trash Mayella Ewell is regularly raped and beaten by her father. Its sentiments and moral grandeur are as unimpeachable as the character of its hero, Atticus. ... It's time to stop pretending that "To Kill a Mockingbird" is some kind of timeless classic that ranks with the great works of American literature. Its bloodless liberal humanism is sadly dated, as pristinely preserved in its pages as the dinosaur DNA in "Jurassic Park." A book that we thought instructed us about the world tells us, instead, about the limitations of Jim Crow liberalism in Maycomb, Alabama. There are some improbable and sentimental moments in the story, but there are also great moments of laughter that belong to memory and a novelist's hand... Miss Lee's original characters are people to cherish in this winning first novel by a fresh writer with something significant to say, South and North. Appartient à la sérieAppartient à la série éditorialeDelfinserien (159) Miljoenenreeks (1) rororo (4281) Est contenu dansFait l'objet d'une suite (ne faisant pas partie de la série) dansFait l'objet d'une adaptation dansEst en version abrégée dansReader's Digest Best Sellers: To Kill a Mockingbird | Agony and the Ecstasy | Winter of our Discontent | Fate is the Hunter par Reader's Digest A inspiréPossède un guide de référence avecContient une étude deContient un commentaire de texte deContient un guide de lecture pour étudiantContient un guide pour l'enseignant
Maycomb, petite ville de l'Alabama, pendant la Grande Depression. Atticus Finch eleve seul ses deux enfants, Jem et Scout. Avocat integre et rigoureux, il decide, envers et contre les prejuges moraux et politiques de son epoque, de defendre un Noir accuse d'avoir viole une Blanche.Denonciation audacieuse de l'Amerique de la segregation, Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur est aussi l'un des plus grands romans jamais ecrits sur l'enfance, et le regard de la jeune Scout, plein de tendresse et de drolerie, a su attraper le coeur de plusieurs generations de lecteurs au fil des annees.Plus qu'un grand classique ou un livre culte, ce roman, couronne par le prix Pulitzer en 1961 et adapte au cinema avec Gregory Peck, est devenu un veritable mythe - d'autant qu'il sera reste pendant longtemps la seule oeuvre de son auteur. Jusqu'a aujourd'hui en 2015, l'oiseau moqueur se transforme en phenix, et Scout revient sous la plume de Harper Lee qui publie, apres plus d'un demi siecle de silence, Va et poste une sentinelle. Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
Couvertures populaires
![]() GenresClassification décimale de Melvil (CDD)813.54 — Literature English (North America) American fiction 20th Century 1945-1999Classification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:![]()
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Ce livre parle d'une petite fille qui s'appelle Scout. Elle est très curieuse et elle aime découvrir sa ville. Un jour un homme noir se fait battre, et c'est un homme blanc qui l'a fait. Il y a de racism dans le livre. Il y un procès et le père de Scout défend l'homme noir. Je pense que cette livre est très es intéressante and j'ai beaucoup appris. (