

Chargement... Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur (1960)par Harper Lee
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Roman ayant rencontré un énorme succès, allant bien au-delà des lecteurs Nord-américains et dont les raisons sont très bien analysées dans la postface de Isabelle Hauser (Edition Le Livre de Poche). Il est vrai que ce roman écrit dans les années 1950, se déroulant dans le sud profond des Etats-unis dans les années 1930 résonne particulièrement en 2018 par rapport aux évènements politique aux Etats-unis ainsi que l'évolution idéologique de la société américaine depuis une vingtaine d'année. La force de ce roman est de permettre plusieurs niveau de lecture, roman de l'enfance et de l'adolescence, roman sociologique de l'Amérique profonde des années 1930, roman initiatique. Je l'ai lu comme un texte pointant une société ballotée entre les idées des lumières et libérales et des concepts philosophiques et religieux fondés sur le déterminisme de classe, le déterminisme de race, le déterminisme des gènes. La grande réussite de ce texte c'est de faire passer tout ces niveaux de lectures au travers de Scout une enfant de neuf ans, permettant de décrire avec un peu de naïveté, d'incrédulité, d'innocence et même d'humour, la bêtise humaine figée dans ses préjugées et également la grandeur de l'homme lorsqu'il garde à l'esprit les principes d'égalité, de fraternité et de liberté. "La seule chose qui ne doive pas céder à la loi de la majorité est la conscience de l'individu" (p167 Ed LdP) Alors alors, en plus de son succès médiatique, pourquoi ai-je voulu lire Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur ? J’ai adoré le film « La Conspiration », qui se présente presque intégralement sous forme de procès, et j’avais envie de retrouver cet univers à l’intérieur d’un roman. Bon, hé bien ce n’était pas vraiment le cas. Ce livre a connu un succès mondial, a gagné des prix, oui, mais pourquoi ? Peut-être davantage à cause du contexte (droits civique des Noirs…) que de son réel contenu. Je m’explique. J’ai beaucoup aimé l’écriture, là-dessus rien à dire, on frôle la rédaction digne d’un grand classique. Les personnages m’ont été sympathiques et attachants, même si parfois un peu nombreux et pas assez creusés pour certains (toutes les dames du roman !), si bien qu’on s’y perd un peu. Le décor m’a fait penser à un Steinbeck, donc c’était un gros point positif. Mais franchement, en ouvrant ce bouquin, je m’attendais à voir un réel combat acharné au sein d’un tribunal sur cette histoire de viol d’une blanche par un Noir… Que nenni ! Le livre met environ 230 pages avant de nous raconter cette histoire de procès, qui elle, ne dure qu’une cinquantaine de pages !!! Donc si comme moi vous n’attendez que ça, vous allez être un peu déçus. En revanche c’est très bien raconté et cette partie m’a beaucoup plu. Je m’attendais à un livre davantage engagé, mais l’auteur a tellement pris la peine de romancer son histoire que je trouve que ça perd un peu de sa force. Ce n’est que personnel, parce que l’histoire n’est pas mal somme toute. Une réelle ode à l’enfance, aux préjugés, à l’humain en général. Mais cette histoire de Boo Radley… J’ai eu envie de dire « tout ça pour ça ? ». Bref, des petites longueurs, mais ce n’est dû qu’à mon empressement à assister au procès. Harper Lee sait comment jouer avec les sentiments de son public. Elle nous fait rager, haïr certains personnages, nous apitoyer sur Tom, admirer Atticus… A ce niveau-là, c’est donc réussi. On ne peut donc pas parler d’une vraie déception, disons simplement que je m’attendais à autre chose. Nous sommes ici dans un petit village, la dimension sociale et politique du racisme n’est donc pas aussi prononcée que je m’y attendais. Mais c’est également ce qui rend ce bouquin intéressant. Une bonne lecture. C'est une histoire de racisme, de justice, de meurtre, de vengeance qui se passe dans les années 1930 aux États-Unis, en Alabama, racontée par une femme adulte qui se souvient de son enfance. Publié en 1960, je trouve que ce roman est toujours d'actualité. C'est aussi un roman initiatique sur le passage de l'enfance à l'adolescence. (J'ai la traduction de 2005, non expurgée contrairement à celle de l'édition de 1989, et avec une postface superbe qui remet le roman dans son contexte.) oui! A lire
Mockingbird is not necessarily as widely admired among scholars of US literature as it is among its fans. I once enraged an audience of very nice book-lovers at the Cheltenham literary festival by suggesting that Mockingbird was just the teensiest bit overrated. There are many reasons for this assessment, not least the feeling that Atticus Finch’s famous moral rectitude is, in point of fact, disturbingly flexible. He tells Scout: “Before I can live with other folks, I’ve got to live with myself. The one thing that doesn’t abide by majority rule is a person’s conscience.” That’s all well and good, and a fine American sentiment that goes at least back to The Adventures of Huckleberry Finn. But part of Mark Twain’s radical move in that novel is to make his hero an illiterate backwoods boy; Lee’s hero is a virtuous, middle-class white man, full of noblesse oblige to the black people he defends (who revere him for it), but who doesn’t bat an eyelid at the common knowledge that the illiterate, white-trash Mayella Ewell is regularly raped and beaten by her father. Its sentiments and moral grandeur are as unimpeachable as the character of its hero, Atticus. ... It's time to stop pretending that "To Kill a Mockingbird" is some kind of timeless classic that ranks with the great works of American literature. Its bloodless liberal humanism is sadly dated, as pristinely preserved in its pages as the dinosaur DNA in "Jurassic Park." A book that we thought instructed us about the world tells us, instead, about the limitations of Jim Crow liberalism in Maycomb, Alabama. There are some improbable and sentimental moments in the story, but there are also great moments of laughter that belong to memory and a novelist's hand... Miss Lee's original characters are people to cherish in this winning first novel by a fresh writer with something significant to say, South and North. Appartient à la sérieAppartient à la série éditorialeDelfinserien (159) Miljoenenreeks (1) rororo (4281) Est contenu dansFait l'objet d'une suite (ne faisant pas partie de la série) dansFait l'objet d'une adaptation dansEst en version abrégée dansReader's Digest Best Sellers: To Kill a Mockingbird | Agony and the Ecstasy | Winter of our Discontent | Fate is the Hunter par Reader's Digest Reader's Digest Best Sellers: To Kill a Mockingbird | Shoes of the Fisherman | Seven Days in May | To Catch an Angel par Reader's Digest Possède un guide de référence avecContient un guide de lecture pour étudiantContient un guide pour l'enseignant
Dans une petite ville d'Alabama, l' poque de la Grande D pression, Atticus Finch l ve seul ses deux enfants, Jem et Scout. Avocat int gre et rigoureux, il est commis d'office pour d fendre un Noir accus d'avoir viol une Blanche. Ce bref r sum peut expliquer pourquoi ce livre, publi en 1960 - au coeur de la lutte pour les droits civiques des Noirs aux tats-Unis -, connut un tel succ s.Mais comment ce roman est-il devenu un livre culte dans le monde entier ? C'est que, tout en situant son sujet en Alabama dans les ann es 1930, Harper Lee a crit un roman universel sur l'enfance. Racont e par Scout avec beaucoup de dr lerie, cette histoire tient du conte, de la court story am ricaine et du roman initiatique. Couronn par le prix Pulitzer en 1961, Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur s'est vendu plus de 30 millions d'exemplaires dans le monde entier. Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Pendant la Grande Dépression, une petite ville de l'Alabama où règnent le racisme, le mensonge et la bigoterie. Atticus Finch, un avocat intègre et plein d'humanité, y est commis d'office pour défendre un Noir accusé d'avoir violé une jeune fille blanche. C'est à travers le récit de sa fille, surnommée Scout, que nous découvrons le déchaînement de passions auquel le procès va donner lieu. Pour Scout et son frère Jem, cette affaire va être l'occasion d'une prise de conscience sur un monde plein de préjugés et de haine, un monde dont leur père les avait préservés jusque-là.
Le regard à la fois innocent et perspicace de Scout fait de ce classique de la littérature américaine un roman universel sur l'enfance.
Couronné par le prix Pulitzer en 1961, Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur s'est vendu à plus de 30 millions d'exemplaires dans le monde entier.
> Un phénomène comparable à L'Attrape-coeurs de Salinger, et donc l'un des plus beaux livres jamais écrits. --Alexandre Fillon, Fémina
> Livre culte dans le monde entier, Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur raconte l'histoire d'Atticus Finch, jeune avocat, qui élève seul ses deux enfants Jem et Scout. Lorsqu'il est commis d'office pour la défense d'un homme noir accusé d'avoir violé une femme blanche, la vie de la petite famille bascule. Nous sommes dans les années 1930, dans une petite ville de l'Alabama et certaines vérités peuvent être dangereuses à démontrer...
Grâce au talent de Fred Fordham (notamment découvert en France grâce à Nightfall, paru chez Delcourt), ce roman graphique donne une nouvelle vie au chef d'oeuvre d'Harper Lee. L'illustrateur a exploré les lieux qui ont compté pour la mythique auteure américaine en se plongeant dans sa vie afin de s'approcher au plus près de son imaginaire. Fred Fordham offre un éclairage inédit du texte avec ce magnifique ouvrage qui renforce encore la modernité de l'oeuvre de Lee.
Couronné par le prix Pulitzer en 1961, Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur est l'un des plus grands classiques de la littérature du xxème siècle. » --Figaroscope
> Ce livre est magique. D’une tendresse, d’un humour, d’une mélancolie sans pareils. --Frédéric Vitoux, Le Nouvel Observateur
> Par Laura Boudoux (Elle) : 21 livres à lire au moins une fois dans votre vie
11 déc. 2018 - Dans les années 30, Atticus Finch élève seul ses deux enfants, dans une petite ville d’Alabama. Avocat commis d’office pour défendre un Afro-Américain accusé de viol sur une Blanche et risquant la peine de mort, il va devoir affronter la cruauté et les préjugés des habitants de Maycomb, plongés dans la récession et le ségrégationnisme.
> Par Pauline Grisoni (Cosmopolitan) : 30 Livres Cultes à avoir lu au moins une fois dans sa vie
16/11/2018 - Période de la grande dépression aux Etats-Unis : Atticus Finch, père célibataire et avocat commis d'office, élève ses deux enfants au sein d'une petite ville sans histoire. Son monde va basculer lorsqu'il va devoir défendre un homme noir accusé d'avoir violé une femme blanche. A cette époque-là, une simple couleur de peau suffit à offrir un verdict à la Cour... Atticus va se battre bec et ongle pour éviter la peine de mort qui semble pourtant être l'unique issue de ce procès...
Pourquoi il est culte : ce roman est publié en 1960, précisément durant une période extrêmement tendue où la lutte pour les droits civiques divise le peuple américain. Harper Lee réussit le prodige d'ancrer son histoire dans une vraie temporalité, mais aussi de parler à tout un chacun en évoquant la peur de l'inconnu, les préjugés et les conséquences du mensonge...
> Publié en 1960, le seul roman écrit par Harper Lee est aujourd’hui un des grands classiques de la littérature américaine. Tout en situant son sujet en Alabarna dans les années 1930, elle nous offre un roman universel sur l'enfance. --Le Livre de Poche