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Lorsque j'étais une œuvre d'art (2009)

par Éric-Emmanuel Schmitt

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20511132,142 (3.28)Aucun
Roman ou pluto?t conte philosophique qui renouvelle le mythe de Faust. Un jeune de?sespe?re? confie son corps a? un artiste excentrique. Nature, pouvoir, discours sur le statut de l'art
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Tazio est sur le point de se suicider lorsque le mystérieux Zeus-Peter Lama, artiste adulé, le convainc de vivre et de le laisser le transformer en œuvre d’art. Un roman philosophique plein de fantaisie qui parle d’estime de soi, d’identité, d’autonomie de la pensée et de l’être et qui éreinte une certaine forme d’art spectacle contemporain pour mieux célébrer les œuvres de l’esprit et du cœur. Étonnant, rafraîchissant et plus profond qu’il n’y paraît. ( )
  Steph. | May 16, 2021 |
> LORSQUE J'ÉTAIS UNE ŒUVRE D'ART, d'Eric-Emmanuel Schmitt. — Un jeune homme qui n'a plus rien a perdre lègue son corps à l'art.
--Représentation contemporaine de l'humanité. Portrait cru et moderne de l'art et de la société, et de tout ce qui relie l'un à l'autre. Un combat sensible entre valeurs, désirs et sentiments. Un clin d'oeil à nos excès, nos vices mais aussi à la beauté de la vie.
Geneviève Therrien, Montréal (ICI.Radio-Canada.ca)

> Lorsque j'étais une œuvre d'art, d'Eric-Emmanuel Schmitt (Albin Michel, Paris, 2002, 288 p.)
Se reporter à la critique de Louise VILLEMAIRE
In: Nuit blanche, (89), hiver 2002–2003, pp. 18-19. … ; (en ligne),
URL : https://id.erudit.org/iderudit/19183ac

> Lorsque j'étais une œuvre d'art/ Critiques : Eric-Emmanuel-Schmitt - Le site officiel
  Joop-le-philosophe | Jan 22, 2019 |
original et facile à lire. ( )
  Marc-Narcisse | Dec 20, 2018 |
Ce roman m’a été conseillé à plusieurs reprises par des amies. Je n’avais jamais eu l’occasion de lire un ouvrage de ce célèbre auteur et on m’a assuré que l’originalité de ce récit allait me plaire. Aillant étudié l’histoire de l’art, je dois dire que le synopsis m’a tout de suite accroché car ce dernier semblait esquisser le début d’un questionnement sur les limites de l’art et sur l’essence qui constitue un être humain.

L’un des aspects captivants de ce roman est l’excentricité de l’univers dépeint. Face à des personnages plus grands que nature, le lecteur se retrouve catapulté dans un monde sombre à la morale douteuse dans lequel un être humain consentit à devenir un objet d’art façonné par un célèbre artiste contemporain. À travers cette histoire décalée, l’auteur réussis à imposer des réflexions sur la beauté, la marginalité sociale et les fondements de la nature humaine. Parfois, les récits qui nous parlent d’histoires impossibles sont ceux qui réussissent le mieux à établir un décalage nécessaire pour réfléchir à notre propre situation.

Il s’agit d’un ouvrage que j’ai beaucoup apprécié. Les images fortes qu’il crée ont un grand impact sur l’imaginaire. En effet, certains passages sont empreints d’une grande poésie. Toutefois, j’ai trouvé que parfois ce roman offrait une poésie légèrement kitsch ou « à l’eau de rose ». Dans cette veine, certains développements de l’histoire tournent autour d’une certaine métaphysique de l’âme, ce qui m’a moins intéressé. Malgré ces petits bémols, l’ensemble du livre sonne juste.

J'ai lu cet ouvrage en format livre de poche. De cette manière, j’ai pu lire ce livre à différentes locations au cours de ma lecture. La couverture lustrée et colorée constitue le seul emploi de l'illustration au sein de cet objet. Cette page de couverture contribue à la représentation du contenu du livre. En effet, on y voit cinq photographies colorées d'un même individu qui se retrouve réduit à la fonction de motif répété jusqu'à une certaine perte de son identité. Un peu comme dans le récit, un homme se voit, d'une certaine manière, transformé en œuvre d'art à nouveau. Les pages du livre sont faites d'un papier mince et les caractères sont plutôt gros, ce qui donne l'impression d'une facilité et d'une rapidité de lecture. Les différents chapitres de l'ouvrage ne portent aucun titre. Dans les premières pages du document, on retrouve une biographie de l'auteur où l'on apprend que ce dernier est docteur en philosophie, ce qui peut contribuer à une certaine perception de l'ouvrage en question et à avoir certaines attentes. On y retrouve également les titres de ses autres œuvres. Sur la quatrième de couverture, se trouve un résumé bref sous forme de critique qui encense l’œuvre et qui mentionne qu'il s'agit d'un livre « sans équivalent dans l'histoire de la littérature ». On peut être d’accord ou non, il s’agit en ce qui me concerne d’une lecture fort intéressante. ( )
  Melissa6344a16a | Oct 13, 2016 |
Amazon.fr : Éric-Emmanuel Schmitt est encore jeune et il a déjà beaucoup écrit. Des récits, des romans, des essais, du théâtre surtout ; certaines de ses pièces Le Libertin ou Variations énigmatiques ont connu la faveur des critiques et la clameur du public. Dans son nouveau roman Lorsque j'étais une œuvre d'art, on retrouve le style désormais familier de Schmitt qui distille un savant mélange de brio intellectuel et d'aisance stylistique. Il montre ici combien le problème de la liberté humaine – qu'est-ce qu'une conscience au fond ? – le préoccupe. Un homme désespéré souscrit un pacte très faustien avec un artiste démoniaque. Tu me donnes ta vie, en échange je lui donnerai un sens puisque aujourd'hui elle n'en a pas. Le candidat au suicide devient donc un objet dans les mains de l'artiste qui décide d'en faire l'œuvre d'art la plus étonnante et la plus parachevée au monde, à savoir Adam bis, une statue qui possèderait le mérite et la supériorité incontestables d'être vivante. Succès garanti. Adam bis devient plus célèbre que La Joconde. Mais qu'on le prive de sa liberté et du droit à la conscience, et tout de suite l'homme commence à résister. Un peu cette fois-ci à la façon de Frankenstein, la créature décide d'échapper à son créateur afin de reconquérir sa liberté perdue.

Parfois Schmitt singe Sartre. Chaque propos s'en retrouve symboliquement signifiant. Chaque avancée du récit opère une dialectique mûrement réfléchie. Au final, on ne sait plus très bien si on lit un roman ou une dissertation philosophique déguisée en roman. Mais ne soyons pas féroces. Après tout, le roman à thèse est un genre honorable et Éric-Emmanuel Schmitt est un des derniers à agir pour sa survivance. --Denis Gombert .
Présentation de l'éditeur : Parce qu’il se sent médiocre et inexistant, un jeune homme va se suicider quand un artiste mégalomane suspend son geste. Il lui propose d’acheter son âme et son corps pour en faire une sculpture vivante, sublime ou monstrueuse, et une marchandise planétaire. Le désespéré accepte le pacte et l’opération, se laisse déshumaniser, et exposer aux yeux des foules, sous le nom d’Adam-bis. Mais peut-il abdiquer entièrement son humanité ? Grâce à l’amour d’une jeune-femme, « l’œuvre d’art » tente alors de sortir de l’emprise de son créateur et de retrouver sa conscience perdue. Cette fable excentrique, inquiétante et comique nous entraîne dans un monde rongé par le narcissisme, le culte du simulacre et de l’apparence, le totalitarisme de l’image : le nôtre. ( )
  vdb | Apr 28, 2011 |
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