Ce site utilise des cookies pour fournir nos services, optimiser les performances, pour les analyses, et (si vous n'êtes pas connecté) pour les publicités. En utilisant Librarything, vous reconnaissez avoir lu et compris nos conditions générales d'utilisation et de services. Votre utilisation du site et de ses services vaut acceptation de ces conditions et termes.
Résultats trouvés sur Google Books
Cliquer sur une vignette pour aller sur Google Books.
Et les dieux créèrent l'homme, et chaque dieu choisit son peuple. Ah ! Que le monde était jeune, que les mystères étaient limpides ! Mais Torak, le dieu jaloux, vola l'Orbe d'Aldur, le joyau vivant façonné par l'aîné des dieux, et ce fut la guerre. Le félon fut châtié ; à Cthol Mishrak, la Cité de la Nuit, il dort toujours d'un long sommeil hanté par la souffrance. Le fleuve des siècles a passé sur les royaumes du Ponant. Les livres des présages ne parlent plus qu'aux initiés, mais ils sont formels : Torak va s'éveiller. Et justement l'Orbe disparaît pour la seconde fois. Que le maudit la trouve à son réveil et il établira son empire sur toutes choses. Belgarath le sorcier parviendra-t-il à conjurer le sort ? Dans cette partie d'échecs cosmique, il a réussi à préserver une pièce maîtresse : le dernier descendant des Gardiens de l'Orbe, désigné par les présages, mais qui n'est encore qu'un petit garçon jeté sur les routes par une venteuse nuit d'automne. Un simple pion, et si vulnérable... [Source : 4e de couv.]… (plus d'informations)
La Belgariade est l’archétype d’un cycle de fantasy et présente toutes les caractéristiques du genre. On retrouve un univers imaginaire d’inspiration médiévale où le manichéisme règne en maître incontesté. Y figurent aussi prophécies, magiciens quasi-immortels jouant le rôle d’éminence grise, groupe de personnages voyageant ensemble et tentant de se prémunir du « Mal », un élu sur qui repose l’espoir de la survie du monde, etc. L’ombre de Tolkien et de son magistral Seigneur des Anneaux n’est jamais loin, à tel point que le qualificatif de clone paraît ici assez approprié. La Belgariade est en quelque sorte une version simplifiée du Seigneur des Anneaux : les enjeux et la structure du récit y sont très similaires, à tel point qu’on a souvent l’impression de lire une deuxième fois le même livre. David Eddings a su rendre ses romans plus accessibles de par la simplicité de son écriture et de l’univers qu’il a créé. Le Seigneur des Anneaux pour les Nuls ? Pas seulement. Les personnages de la Belgariade sont épais, humains et crédibles, tout le contraire de ceux de Tolkien. En outre une bonne dose d’humour et des dialogues savoureux viennent relever l’intérêt d’un scénario déjà-vu. Au final, une lecture qui peut se révéler distrayante voire jouissive, mais que je ne recommanderais qu’aux adeptes. Extrait : « - Des courtisans. Pas un seul homme digne de ce nom dans le tas. - Un mal nécessaire, mon cher Barak, fit Silk par-dessus son épaule au grand bonhomme. Il faut de petites gens pour accomplir les tâches insignifiantes qui permettent à un royaume de tourner. » ( )
Les dieux créèrent l'homme, et chacun choisit son peuple. Mais Torak, le dieu jaloux, vola l'Orbe d'Aldur, le joyau vivant façonné par l'aîné des dieux, et ce fut la guerre. Le félon fut châtié ; à Cthol Mishrak, la Cité de la Nuit, il dort toujours, d'un long sommeil hanté par une soif inextinguible de vengeance... Épopée magique et dévorante, La Belgariade vous entraîne entre terreur et émotion pure. Grâce à cette série, David Eddings est entré dans la légende des grands noms de la fantasy. Il est aujourd'hui une référence. ( )
Informations provenant du Partage des connaissances anglais.Modifiez pour passer à votre langue.
Being a History of the War of the Gods and the Acts of Belgarath the Sorcerer - adapted from The Book of Alorn
Dédicace
Informations provenant du Partage des connaissances anglais.Modifiez pour passer à votre langue.
For Theone, who told me stories but could not stay for mine - and for Arthur, who showed me the way to become a man - and who shows me still
Premiers mots
Informations provenant du Partage des connaissances anglais.Modifiez pour passer à votre langue.
When the world was new, the seven Gods dwelt in harmony, and the races of man were as one people. (prologue)
The first thing the boy Garion remembered was the kitchen at Faldor's farm.
Citations
Informations provenant du Partage des connaissances anglais.Modifiez pour passer à votre langue.
"It's not good to leave things of value behind. They nag at the mind and distract one from the business at hand."
Derniers mots
Informations provenant du Partage des connaissances anglais.Modifiez pour passer à votre langue.
And then they turned and looked out over the prow of the ship at the snowy coast of Cherek sliding by on their right as the sailors rowed the ship south toward Camaar and whatever lay beyond.
Références à cette œuvre sur des ressources externes.
Wikipédia en anglais
Aucun
▾Descriptions de livres
Et les dieux créèrent l'homme, et chaque dieu choisit son peuple. Ah ! Que le monde était jeune, que les mystères étaient limpides ! Mais Torak, le dieu jaloux, vola l'Orbe d'Aldur, le joyau vivant façonné par l'aîné des dieux, et ce fut la guerre. Le félon fut châtié ; à Cthol Mishrak, la Cité de la Nuit, il dort toujours d'un long sommeil hanté par la souffrance. Le fleuve des siècles a passé sur les royaumes du Ponant. Les livres des présages ne parlent plus qu'aux initiés, mais ils sont formels : Torak va s'éveiller. Et justement l'Orbe disparaît pour la seconde fois. Que le maudit la trouve à son réveil et il établira son empire sur toutes choses. Belgarath le sorcier parviendra-t-il à conjurer le sort ? Dans cette partie d'échecs cosmique, il a réussi à préserver une pièce maîtresse : le dernier descendant des Gardiens de l'Orbe, désigné par les présages, mais qui n'est encore qu'un petit garçon jeté sur les routes par une venteuse nuit d'automne. Un simple pion, et si vulnérable... [Source : 4e de couv.]
▾Descriptions provenant de bibliothèques
Aucune description trouvée dans une bibliothèque
▾Description selon les utilisateurs de LibraryThing
La Belgariade est en quelque sorte une version simplifiée du Seigneur des Anneaux : les enjeux et la structure du récit y sont très similaires, à tel point qu’on a souvent l’impression de lire une deuxième fois le même livre. David Eddings a su rendre ses romans plus accessibles de par la simplicité de son écriture et de l’univers qu’il a créé. Le Seigneur des Anneaux pour les Nuls ? Pas seulement. Les personnages de la Belgariade sont épais, humains et crédibles, tout le contraire de ceux de Tolkien. En outre une bonne dose d’humour et des dialogues savoureux viennent relever l’intérêt d’un scénario déjà-vu. Au final, une lecture qui peut se révéler distrayante voire jouissive, mais que je ne recommanderais qu’aux adeptes.
Extrait : « - Des courtisans. Pas un seul homme digne de ce nom dans le tas.
- Un mal nécessaire, mon cher Barak, fit Silk par-dessus son épaule au grand bonhomme. Il faut de petites gens pour accomplir les tâches insignifiantes qui permettent à un royaume de tourner. » ( )