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Hurtled back through time more than two hundred years to 1743 Scotland, Claire Randall finds herself caught in the midst of an unfamiliar world torn apart by violence, pestilence, and revolution and haunted by her growing feelings for a young soldier, James Fraser.
Le roman Written in my own hearth’s blood de Diana Gabaldon est le dernier tome de la série Le Chardon et le Tartan de Diana Gabaldon. C’est une lecture de loisir. J’ai choisi de lire ce livre en format numérique, en anglais (alors que j’ai lu les autres tomes de la série en français), parce que j’aime beaucoup cette série et que j’étais (trop) impatiente de lire la suite. Sachant qu’il se passerait plusieurs mois entre la publication de sa traduction en français, j’ai sauté sur l’occasion quand j’ai vu que la version numérique en anglais était disponible sur OverDrive.
Un aspect qui m’a plu :
Les personnages de cette série me plaisent à cause de leur psychologie et aussi de leur sens de l’humour, qui se reflète dans les dialogues et les actions qu’ils posent. Les personnages principaux, qui sont maintenant un vieux couple, sont encore intéressants malgré le nombre important de tomes de cette série. De plus, les personnages secondaires, qui gravitent autour des personnages principaux, prennent plus de place et sont plus développés dans ce tome, tant au niveau de leur psychologie que des relations qu’ils entretiennent.
Un aspect qui m’a moins plu :
La langue m’a moins plu et je crois que c’est parce que j’ai lu tous les autres tomes en français. C’était la première fois que je changeais de langue en lisant une série et j’ai l’impression que c’était une mauvaise idée, en tout cas, en ce qui me concerne. J’ai eu l’impression que le ton n’était pas le même et ça m’a dérangé. Pour en être certaine, je relierai le livre dans sa traduction française quand elle sera disponible pour pouvoir comparer mes impressions sur le livre.
L’objet numérique :
Le format numérique (ePub) de Written in my own hearth’s blood : a novel, téléchargé sur mon ordinateur portable via l’application Adobe Digital Editions, ne présente pas énormément de fonctions liées à l’affichage, tandis que les fonctions d’annotation sont inexistantes. Plusieurs tailles de police et le mode Plein écran sont disponibles, on n’a pas moins de 5 options pour changer de page et 1 pour se déplacer vers une page précise du document. On ne peut ni surligner, ni annoter, ni modifier le texte. On peut ajouter ou supprimer, de 2 façons différentes, des signets à une ou plusieurs pages. Un Panneau de navigation est disponible, qui inclut une Table des matières et un « Tableau des signets ». Celui-ci indique, pour chacun d’eux, sa page, la date et l’heure à laquelle il a été créé et peut être annoté et modifié. Le texte est en noir, sauf les liens hypertextes, qui sont bleus. Quelques fonctions hypertextuelles sont disponibles, lorsque le document lui-même contient des liens externes et internes. Par exemple, les chapitres de la Table des matières du livre sont des liens hypertextes revoyant au chapitre du livre correspondant. Aussi, sous un arbre généalogique, on trouve 2 liens ; l’un est un lien interne et l’autre, externe, nous mène à une page Web présentant un lien pour obtenir la version PDF de l’arbre généalogique.
Informations provenant du Partage des connaissances anglais.Modifiez pour passer à votre langue.
This book is dedicated to ALL of the people (besides me) who worked like fiends to produce it for you. Especially to Jennifer Hershey (editor, U.S.) Bill Massey (editor, U.K.) Kathleen Lord (aka "Hercules" -- copy editor) Barbara Schnell (translator and trench-buddy, Germany) Catherine MacGregor, Catherine-Ann MacPhee, and Adhamh O Broin (Gaelic experts) Virginia Norey (aka "Book Goddess" -- designer) Kelly Chian, Maggie Hart Benjamin Dreyer, Lisa Feuer, and the rest of the Random House Production Team and Beatrice Lampe und Petra Zimmermann in Munchen
Premiers mots
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In the light of eternity, time casts no shadow.
Citations
Derniers mots
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Then I was flying down the hill, with Jamie just before me, arms flung wide, the two of us flying together on that same wind.
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The French translations of the Outlander series have been split in different ways by different publishers. Also, the same titles have been used for different splits. You can find information about the splits here: http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Chard... Please do not combine French translations with each other or with other language versions without checking that the content is the same. Thank you.
Directeur de publication
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Hurtled back through time more than two hundred years to 1743 Scotland, Claire Randall finds herself caught in the midst of an unfamiliar world torn apart by violence, pestilence, and revolution and haunted by her growing feelings for a young soldier, James Fraser.
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Description du livre
Résumé sous forme de haïku
Critiques des anciens de LibraryThing en avant-première
Le roman Written in my own hearth’s blood de Diana Gabaldon est le dernier tome de la série Le Chardon et le Tartan de Diana Gabaldon. C’est une lecture de loisir. J’ai choisi de lire ce livre en format numérique, en anglais (alors que j’ai lu les autres tomes de la série en français), parce que j’aime beaucoup cette série et que j’étais (trop) impatiente de lire la suite. Sachant qu’il se passerait plusieurs mois entre la publication de sa traduction en français, j’ai sauté sur l’occasion quand j’ai vu que la version numérique en anglais était disponible sur OverDrive.
Un aspect qui m’a plu :
Les personnages de cette série me plaisent à cause de leur psychologie et aussi de leur sens de l’humour, qui se reflète dans les dialogues et les actions qu’ils posent. Les personnages principaux, qui sont maintenant un vieux couple, sont encore intéressants malgré le nombre important de tomes de cette série. De plus, les personnages secondaires, qui gravitent autour des personnages principaux, prennent plus de place et sont plus développés dans ce tome, tant au niveau de leur psychologie que des relations qu’ils entretiennent.
Un aspect qui m’a moins plu :
La langue m’a moins plu et je crois que c’est parce que j’ai lu tous les autres tomes en français. C’était la première fois que je changeais de langue en lisant une série et j’ai l’impression que c’était une mauvaise idée, en tout cas, en ce qui me concerne. J’ai eu l’impression que le ton n’était pas le même et ça m’a dérangé. Pour en être certaine, je relierai le livre dans sa traduction française quand elle sera disponible pour pouvoir comparer mes impressions sur le livre.
L’objet numérique :
Le format numérique (ePub) de Written in my own hearth’s blood : a novel, téléchargé sur mon ordinateur portable via l’application Adobe Digital Editions, ne présente pas énormément de fonctions liées à l’affichage, tandis que les fonctions d’annotation sont inexistantes. Plusieurs tailles de police et le mode Plein écran sont disponibles, on n’a pas moins de 5 options pour changer de page et 1 pour se déplacer vers une page précise du document. On ne peut ni surligner, ni annoter, ni modifier le texte. On peut ajouter ou supprimer, de 2 façons différentes, des signets à une ou plusieurs pages. Un Panneau de navigation est disponible, qui inclut une Table des matières et un « Tableau des signets ». Celui-ci indique, pour chacun d’eux, sa page, la date et l’heure à laquelle il a été créé et peut être annoté et modifié. Le texte est en noir, sauf les liens hypertextes, qui sont bleus.
Quelques fonctions hypertextuelles sont disponibles, lorsque le document lui-même contient des liens externes et internes. Par exemple, les chapitres de la Table des matières du livre sont des liens hypertextes revoyant au chapitre du livre correspondant. Aussi, sous un arbre généalogique, on trouve 2 liens ; l’un est un lien interne et l’autre, externe, nous mène à une page Web présentant un lien pour obtenir la version PDF de l’arbre généalogique.