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On January 28, 1742, a ramshackle vessel of patched-together wood and cloth washed up on the coast of Brazil. Inside were thirty emaciated men, barely alive, and they had an extraordinary tale to tell. They were survivors of His Majesty's Ship the Wager, a British vessel that had left England in 1740 on a secret mission during an imperial war with Spain. While the Wager had been chasing a Spanish treasure-filled galleon known as "the prize of all the oceans," it had wrecked on a desolate island off the coast of Patagonia. The men, after being marooned for months and facing starvation, built the flimsy craft and sailed for more than a hundred days, traversing 2500 miles of storm-wracked seas. They were greeted as heroes. But then, six months later, another, even more decrepit craft landed on the coast of Chile. This boat contained just three castaways, and they told a very different story. The thirty sailors who landed in Brazil were not heroes, they were mutineers. The first group responded with countercharges of their own, of a tyrannical and murderous senior officer and his henchmen. It became clear that while stranded on the island the crew had fallen into anarchy, with warring factions fighting for dominion over the barren wilderness. As accusations of treachery and murder flew, the Admiralty convened a court martial to determine who was telling the truth. The stakes were life-and-death, for whomever the court found guilty could hang.… (plus d'informations)
Ce livre m’a un peu fait l’effet d’un pétard mouillé, et avec une longue mèche en plus… J’avais entendu une interview de l’auteur un matin sur France Culture, qui avait titillé ma curiosité de lectrice d’aventures maritimes qui n’en a pu lu depuis bien longtemps. Alors quand il est apparu sur les étagère numériques de ma bibliothèque locale, je n’ai hésité ni à l’emprunter ni à commencer la lecture derechef ! Mais c’est là que je suis un peu trop vite revenue à la réalité. Le sous-titre anglais est pourtant alléchant : un récit de naufrage, de mutinerie et de meurtre… Mais c’est sans compter avec le fait qu’il faut attendre le premier tiers du bouquin pour que le bateau quitte enfin l’Angleterre, et presqu’un autre tiers pour qu’il fasse enfin naufrage. Je veux bien qu’il faille mettre toute cette histoire dans son contexte, mais ici, le contexte prend plus de place dans le livre que l’histoire elle-même. Et puis, nous rappeler ce qu’est un gabier, ou bien à quel point le recul des canons peut être dangereux, c’est peut-être intéressant quand c’est le premier livre maritime qu’on lit, mais ce n’était pas mon cas et cela m’a ennuyée. De même que les incessantes digressions vers Robinson Crusoé, vers la Bounty ou d’autres événements historiques, des digressions un peu tirées par les cheveux et qui nous éloigne du sujet. La partie sur le naufrage a heureusement réveillé mon intérêt, ainsi que la façon dont la mutinerie est gérée, d’une façon très procédurière, c’est bien éloigné de la vision romantisée des mutineries dans les films de pirate et quelque chose auquel je n’avais jamais pensé, ce besoin de justifier ses actes vis-à-vis d’une justice future, ce qui montre à la fois une incroyable détermination à survivre et une compréhension des enjeux judiciaires de la Navale. Le naufrage, la mutinerie et le meurtre dont il est question sont donc traités de façon assez rapide, avec des éléments intéressants qui font réfléchir, mais peut-être aurait-on pu réduire ce livre d’un tiers ou de moitié pour le recentrer sur son sujet et pour en rendre la lecture plus alerte. Pour ma part, je suis contente de l’avoir lu car j’ai découvert un épisode de l’histoire maritime que j’ignorais complètement (et qui semble important en Angleterre, si l’on en croit le nombre de pages wikipédia en anglais qui lui sont consacrées), mais cela est resté une lecture inutilement laborieuse et c’est bien dommage.
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On January 28, 1742, a ramshackle vessel of patched-together wood and cloth washed up on the coast of Brazil. Inside were thirty emaciated men, barely alive, and they had an extraordinary tale to tell. They were survivors of His Majesty's Ship the Wager, a British vessel that had left England in 1740 on a secret mission during an imperial war with Spain. While the Wager had been chasing a Spanish treasure-filled galleon known as "the prize of all the oceans," it had wrecked on a desolate island off the coast of Patagonia. The men, after being marooned for months and facing starvation, built the flimsy craft and sailed for more than a hundred days, traversing 2500 miles of storm-wracked seas. They were greeted as heroes. But then, six months later, another, even more decrepit craft landed on the coast of Chile. This boat contained just three castaways, and they told a very different story. The thirty sailors who landed in Brazil were not heroes, they were mutineers. The first group responded with countercharges of their own, of a tyrannical and murderous senior officer and his henchmen. It became clear that while stranded on the island the crew had fallen into anarchy, with warring factions fighting for dominion over the barren wilderness. As accusations of treachery and murder flew, the Admiralty convened a court martial to determine who was telling the truth. The stakes were life-and-death, for whomever the court found guilty could hang.
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Mais c’est sans compter avec le fait qu’il faut attendre le premier tiers du bouquin pour que le bateau quitte enfin l’Angleterre, et presqu’un autre tiers pour qu’il fasse enfin naufrage. Je veux bien qu’il faille mettre toute cette histoire dans son contexte, mais ici, le contexte prend plus de place dans le livre que l’histoire elle-même. Et puis, nous rappeler ce qu’est un gabier, ou bien à quel point le recul des canons peut être dangereux, c’est peut-être intéressant quand c’est le premier livre maritime qu’on lit, mais ce n’était pas mon cas et cela m’a ennuyée. De même que les incessantes digressions vers Robinson Crusoé, vers la Bounty ou d’autres événements historiques, des digressions un peu tirées par les cheveux et qui nous éloigne du sujet.
La partie sur le naufrage a heureusement réveillé mon intérêt, ainsi que la façon dont la mutinerie est gérée
Le naufrage, la mutinerie et le meurtre dont il est question sont donc traités de façon assez rapide, avec des éléments intéressants qui font réfléchir, mais peut-être aurait-on pu réduire ce livre d’un tiers ou de moitié pour le recentrer sur son sujet et pour en rendre la lecture plus alerte. Pour ma part, je suis contente de l’avoir lu car j’ai découvert un épisode de l’histoire maritime que j’ignorais complètement (et qui semble important en Angleterre, si l’on en croit le nombre de pages wikipédia en anglais qui lui sont consacrées), mais cela est resté une lecture inutilement laborieuse et c’est bien dommage.