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Ce recueil peut etre considere comme une suite logique des Six promenades dans le bois du roman ou d'ailleurs ou de Lector in Fabula. Ces textes s'adressent a un vaste public averti: ils traitent de la fonction de la litterature, de l'influence dans l'histoire d'un ecrit sur des evenements historiques, des problemes specifiques a la narration comme la representation verbale de l'espace, l'ironie intertextuelle, la nature des mondes possibles de la fiction, et quelques concepts cles de l'ecriture creative, comme les symboles, le style, les bequilles ... D'autres interventions portent sur les auteurs qu'Umberto Eco a beaucoup lu. Bien des pages sont d'une richesse, d'une force et d'une beaute exceptionnelle, celles ou eclot le veritable amour d'Eco pour Manzoni, Borges, Joyce, Nerval... mais aussi aussi Dante et Aristote. La litterature francaise occupe une place de premier plan: Proust, Stendhal, Rabelais ainsi que les classiques italiens et anglo-saxons. Dans le dernier chapitre: Comment j'ecris, Umberto Eco evoque son activite d'ecrivain. Il prend pour exemple sa propre experience et nous eclaire sur son savoir-faire. Eco nous fait ainsi entrer dans son jardin. Bien sur nous le connaissons. Nous savons quelles fleurs et quels fruits il y cultive. Un jardin a l'anglaise dit-il. Il faut etre un esprit tres libre et tres riche pour donner ainsi tout de soi, un auteur qui ne craint pas qu'on voit ses trucs et ses manigances... Umberto Eco montre, demonte et demontre.… (plus d'informations)
>De la littérature, de Umberto ECO (Grasset, Paris, 2003, 425 p.) Se reporter à la critique de Yves LABERGE In: (2003). Compte rendu de [Essai]. Nuit blanche, (93), pp. 47-48… ; (en ligne), URL : https://id.erudit.org/iderudit/19242ac
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Det finnes et farlig kjetteri, typisk for vår tid, som sier at man kan gjøre hva man vil med et litterært verk og lese inn i det hva som helst våre ukontrollerbare impulser måtte foreslå oss.
Viktigere er oppdagelsen av at tingene er gått på en bestemt måte, og for alltid, hinsides lesernes ønsker. Leseren bør akseptere denne frustrasjonen, og gjennom den oppleve Skjebnens gys.
Jeg tror at denne oppdragelsen til Skjebne og Død er en av litteraturens hovedfunksjoner. Det finnes kanskje andre, men akkurat nå kommer jeg ikke på noen.
Å forandre og forbedre seg hele tiden er en anbefalelsesverdig praksis, som jeg ofte forsøker å leve opp til - enkelte ganger på grensen til det schizofrene. Men det finnes tilfeller der man ikke bør gi inntrykk av at man har skiftet mening bare for å bevise at man er oppdatert. Heller ikke når det gjelder meninger er monogami nødvendigvis et tegn på manglende libido.
Som tolkningsstrategi er den ikke så ille, dersom å tolke betyr å akkumulere titler for å søke akademiske stillinger.
Faktum er at hvis man går inn på Internett og ber en hvilken som helst søkemaskin om å finne nettsteder som tar for seg teorie Hollow Earth, eller den hule jordkloden, vil man oppdage at teorien fremdeles har en hel masse tilhengere. Og det har ingen hensikt å bedyre at disse nettstedene (og bøkene de anbefaler) er satt opp av en gjeng utspekulerte bløffmakere som utnytter et publikum bestående av tomskaller og/eller New Age-tilhengere. Det sosiale og kulturelle problemet er ikke bløffmakerne, men tomskallene, som åpenbart fortsatt danner en hel hærskare.
Når alt kommer til alt, er det kultiverte menneskes viktigste oppgave hver dag å stå parat til å justere encyklopedien.
Derfor utviklet jeg etter hvert en overtroisk innstilling til romanene mine (jeg, som er den minst overtroiske personen i verden, jeg går glatt under stiger, jeg hilser vennlig på enhver svart katt som krysser min vei, og for å straffe mine overtroiske studenter legger jeg bestandig mine eksamensdager på universitetet til en tirsdag eller en fredag, forutsatt at de faller på den trettende eller den syttende).
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Ce recueil peut etre considere comme une suite logique des Six promenades dans le bois du roman ou d'ailleurs ou de Lector in Fabula. Ces textes s'adressent a un vaste public averti: ils traitent de la fonction de la litterature, de l'influence dans l'histoire d'un ecrit sur des evenements historiques, des problemes specifiques a la narration comme la representation verbale de l'espace, l'ironie intertextuelle, la nature des mondes possibles de la fiction, et quelques concepts cles de l'ecriture creative, comme les symboles, le style, les bequilles ... D'autres interventions portent sur les auteurs qu'Umberto Eco a beaucoup lu. Bien des pages sont d'une richesse, d'une force et d'une beaute exceptionnelle, celles ou eclot le veritable amour d'Eco pour Manzoni, Borges, Joyce, Nerval... mais aussi aussi Dante et Aristote. La litterature francaise occupe une place de premier plan: Proust, Stendhal, Rabelais ainsi que les classiques italiens et anglo-saxons. Dans le dernier chapitre: Comment j'ecris, Umberto Eco evoque son activite d'ecrivain. Il prend pour exemple sa propre experience et nous eclaire sur son savoir-faire. Eco nous fait ainsi entrer dans son jardin. Bien sur nous le connaissons. Nous savons quelles fleurs et quels fruits il y cultive. Un jardin a l'anglaise dit-il. Il faut etre un esprit tres libre et tres riche pour donner ainsi tout de soi, un auteur qui ne craint pas qu'on voit ses trucs et ses manigances... Umberto Eco montre, demonte et demontre.
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Nerval, Joyce, Borges, Wilde, Leopardi, Flaubert, Proust, Manzoni et les autres… Quand Eco fait sa littérature, quand il nous livre ses émois d’adolescent, ses curiosités de sémioticien, ses angoisses d’écrivain face à l’influence des maîtres, ses admirations d’aficionado – bref, son panorama littéraire –, on jubile devant tant d’intelligence du texte et d’amour des mots. Et quand, au dernier chapitre, il nous raconte ses premières armes de poète et romancier en herbe, révèle ses superstitions d’auteur, ses attentes ou ses craintes, on a le sentiment de pénétrer dans le jardin secret qu’il avait souvent évoqué sans jamais vraiment nous le dévoiler. Un régal ! Myriem Bouzaher.
Se reporter à la critique de Yves LABERGE
In: (2003). Compte rendu de [Essai]. Nuit blanche, (93), pp. 47-48… ; (en ligne),
URL : https://id.erudit.org/iderudit/19242ac