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Miranda, editor of "Runway" magazine, is a terror to everyone around her. Her first assistant strives to please her, but can't quite pull it off. Enter Andy, a young woman who knows nothing of the fashion industry and has never read the magazine. Nonetheless, Miranda, hires her as second assistant. When Miranda demands that she obtain the next unpublished Harry Potter manuscript, it forces Andy to dig it up in order to please her boss. With the help of one of the magazine's fashion editors, she gets a complete makeover and new security, and as she is whisked away to Paris with Miranda, Andy faces all of the glamor that could be hers and is forced to make the decision of where she wants to be in her life.… (plus d'informations)
S’agit-il d’un film girly ? Oui. Et plutôt deux fois q’une… Est-ce un bon film ? Oui. De ces deux questions, on peut tirer la substantifique moelle.
Le Diable s’habille en Prada est tiré du roman du même nom qui a été un succès de librairie. Est-ce que le film est d’un succès égal ? Non, il est légèrement supérieur. Pourquoi ?
Le jeu des acteurs est juste, soigné. Meryl Streep est particulièrement bonne dans le rôle de chef de rédaction tyrannique alors qu’Anne Hathaway peine un peu à donner la réplique… Les personnages sans être d’une grande profondeur sont tout de même consistants. L’esthétique tien une place évidente mais demeure d’une sobriété efficace. Ce sont particulièrement les dialogues et le rythme qui sont à saluer. En effet, les dialogues sont ciselés, précis et percutants. Ils appuient le rythme, donnent du sens aux personnages, impriment clairement les caractères. On saluera particulièrement la scène de la veste bleu céruléen que l’on peut placer dans la liste des meilleurs monologues.
Le rythme, en lui-même, soutenu, est implacable. Les scènes se succèdent sans longueur.
Toutefois, il ne s’agit en aucun cas d’un chef-d’œuvre. Traitant de la mode, ce film vieillira mal à l’évidence, tout en conservant quelques vertus. ( )
Miranda, editor of "Runway" magazine, is a terror to everyone around her. Her first assistant strives to please her, but can't quite pull it off. Enter Andy, a young woman who knows nothing of the fashion industry and has never read the magazine. Nonetheless, Miranda, hires her as second assistant. When Miranda demands that she obtain the next unpublished Harry Potter manuscript, it forces Andy to dig it up in order to please her boss. With the help of one of the magazine's fashion editors, she gets a complete makeover and new security, and as she is whisked away to Paris with Miranda, Andy faces all of the glamor that could be hers and is forced to make the decision of where she wants to be in her life.
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S’agit-il d’un film girly ? Oui. Et plutôt deux fois q’une… Est-ce un bon film ? Oui. De ces deux questions, on peut tirer la substantifique moelle.
Le Diable s’habille en Prada est tiré du roman du même nom qui a été un succès de librairie. Est-ce que le film est d’un succès égal ? Non, il est légèrement supérieur. Pourquoi ?
Le jeu des acteurs est juste, soigné. Meryl Streep est particulièrement bonne dans le rôle de chef de rédaction tyrannique alors qu’Anne Hathaway peine un peu à donner la réplique… Les personnages sans être d’une grande profondeur sont tout de même consistants. L’esthétique tien une place évidente mais demeure d’une sobriété efficace.
Ce sont particulièrement les dialogues et le rythme qui sont à saluer. En effet, les dialogues sont ciselés, précis et percutants. Ils appuient le rythme, donnent du sens aux personnages, impriment clairement les caractères. On saluera particulièrement la scène de la veste bleu céruléen que l’on peut placer dans la liste des meilleurs monologues.
Le rythme, en lui-même, soutenu, est implacable. Les scènes se succèdent sans longueur.
Toutefois, il ne s’agit en aucun cas d’un chef-d’œuvre. Traitant de la mode, ce film vieillira mal à l’évidence, tout en conservant quelques vertus. ( )