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Dostoiewski

par Stefan Zweig

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1911,141,637 (3.4)Aucun
Dans cette ?vocation biographique et personnelle de la figure et de l' uvre de Dosto?evski, Stefan Zweig dresse le portrait de celui qui fut pour lui l'un des trois ma?tres du XIXe si?cle, avec Balzac et Dickens, que plus que nul autre il a aim? et m?dit?. A travers ses propres impressions, il ?claire ce que la lecture de Dosto?evski provoque au plus profond de chacun. ± Dosto?evski semble s'ouvrir les veines pour peindre avec son propre sang le portrait de l'homme futur. Personne n'a eu de l'homme une connaissance plus approfondie que lui; il a p?n?tr? le myst?re de l'?me plus profond?ment que nul autre avant lui. Traduction int?grale d'Henri Bloch, 1928. EXTRAIT Son visage fait penser ? celui d'un paysan. Les joues creuses, terreuses, presque sales sont pliss?es, rid?es par de longues souffrances. Sa peau est dess?ch?e, fendill?e, d?color?e, priv?e de son sang par vingt ans de maladie. De part et d'autre, deux blocs de pierre, saillants?: les pommettes slaves encadrent une bouche dure?; le menton ? l'ar?te vive est recouvert d'une barbe en broussaille. La terre, le roc, la for?t, un paysage primitif et tragique, tel nous appara?t le visage de Dosto?evski. Tout est sombre, pr?s du sol, sans beaut?, dans cette face de paysan, presque de mendiant?: plat, terne, sans couleur, une parcelle de la steppe russe projet?e sur de la pierre. M?me les yeux enfonc?s dans leurs orbites sont impuissants ? ?clairer cette glaise friable, car leur flamme ne jaillit pas vers l'ext?rieur, pour nous ?clairer et nous aveugler?; ils s'enfoncent pour ainsi dire vers l'int?rieur, ils br?lent le sang de leur regard ac?r?. D?s qu'ils se ferment, la mort s'abat sur ce visage?: ? la tension nerveuse qui maintenait ses traits flous succ?de une l?thargie.… (plus d'informations)
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Zweig geeft zijn interpretatie van het werk van Dostojevski en zijn persoon.

Het eerste hoofdstuk waarin Zweig beschrijft wat Dostojevski gedacht en gevoeld zou hebben komt nogal betweterig over.

De besprekingen van de boeken en personages van Dostojevski zijn zeker het lezen en overdenken waard. ( )
  Rodemail | Sep 6, 2023 |
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Dans cette ?vocation biographique et personnelle de la figure et de l' uvre de Dosto?evski, Stefan Zweig dresse le portrait de celui qui fut pour lui l'un des trois ma?tres du XIXe si?cle, avec Balzac et Dickens, que plus que nul autre il a aim? et m?dit?. A travers ses propres impressions, il ?claire ce que la lecture de Dosto?evski provoque au plus profond de chacun. ± Dosto?evski semble s'ouvrir les veines pour peindre avec son propre sang le portrait de l'homme futur. Personne n'a eu de l'homme une connaissance plus approfondie que lui; il a p?n?tr? le myst?re de l'?me plus profond?ment que nul autre avant lui. Traduction int?grale d'Henri Bloch, 1928. EXTRAIT Son visage fait penser ? celui d'un paysan. Les joues creuses, terreuses, presque sales sont pliss?es, rid?es par de longues souffrances. Sa peau est dess?ch?e, fendill?e, d?color?e, priv?e de son sang par vingt ans de maladie. De part et d'autre, deux blocs de pierre, saillants?: les pommettes slaves encadrent une bouche dure?; le menton ? l'ar?te vive est recouvert d'une barbe en broussaille. La terre, le roc, la for?t, un paysage primitif et tragique, tel nous appara?t le visage de Dosto?evski. Tout est sombre, pr?s du sol, sans beaut?, dans cette face de paysan, presque de mendiant?: plat, terne, sans couleur, une parcelle de la steppe russe projet?e sur de la pierre. M?me les yeux enfonc?s dans leurs orbites sont impuissants ? ?clairer cette glaise friable, car leur flamme ne jaillit pas vers l'ext?rieur, pour nous ?clairer et nous aveugler?; ils s'enfoncent pour ainsi dire vers l'int?rieur, ils br?lent le sang de leur regard ac?r?. D?s qu'ils se ferment, la mort s'abat sur ce visage?: ? la tension nerveuse qui maintenait ses traits flous succ?de une l?thargie.

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