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Chargement... Dear Mr Mpar Herman Koch
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Want meer dan een thriller en een verhaal over de grenzen van de moraal, is Geachte heer M. een boek over de mythe van het schrijverschap, het spel met de waarheid in een plot, de verantwoordelijkheid van de schrijver voor leven en dood van personages, de willekeurige beslissingen, romaneske amoraliteit. En over de zwaar drukkende last van ouders voor hun kinderen. De roman raakt zodanig uit balans dat als eerste de suspense wegebt. Dat roept de vraag op wat meesterplotter Herman Koch na dat strakke begin bezielde. Hij breekt met de thrillerachtige inzet. Koch wisselt meningmaal van vertelperspectief. Schrijver M, die in eerste instantie is beschreven als een middelmatige auteur met WO2 als perpetuum mobile in zijn oeuvre, komt later zelf aan bod. Hij kaart boeiende kwesties aan over het manipuleren van de waarheid in romans. Na verloop van tijd lijkt het wel een andere roman te zijn geworden, als een verkeerd geleverd onderdeel van een modulaire bank; een die best lekker zit, maar toch. Omdat ze spannend zijn, worden de romans van Herman Koch vaak weggezet in categorieën als lectuur, misdaad, thrillers. Op zichzelf zou het weinig uit moeten maken hoe een boek wordt bestempeld, als er niet zo'n nadrukkelijk waardeoordeel uit sprak. Neerbuigende complimenten: vermakelijk vakwerk. Het is een goed boek, maar het is geen literatuur. Hij maakt de types die hij beschrijft belachelijk, en tegelijkertijd geeft hij hen de ruimte om zichzelf belachelijk te maken. 'Geachte heer M.' is niet alleen spannend, maar ook regelmatig goed voor een schaterlach. Het zal dus wel geen literatuur zijn. Prix et récompensesListes notables
The tour-de-force, hair-raising new novel from Herman Koch, New York Times bestselling author of The Dinner and Summer House with Swimming Pool.Once a celebrated writer, M's greatest success came with a suspense novel based on a real-life, unsolved disappearance. It told the story of a history teacher who went missing one winter after his brief affair with a stunning pupil. Upon publication, M.'s novel was a bestseller, one that marked his international breakthrough. That was years ago, and now M.'s career is almost over as he fades increasingly into obscurity. But not when it comes to his bizarre, seemingly timid neighbor who keeps a close eye on him. Why?From various perspectives, Herman Koch tells the dark tale of a writer in decline, a teenage couple in love, a missing teacher, and a single book that entwines all of their fates. Thanks to M's novel, supposedly a work of fiction, everyone seems to be linked forever, until something unexpected spins the "story" off its rails.With racing tension, sardonic wit, and a world-renowned sharp eye for human failings, Herman Koch once again spares nothing and no one in his gripping new novel, a barbed tour de force suspending readers in the mysterious literary gray space between fact and fiction. Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
Critiques des anciens de LibraryThing en avant-premièreLe livre Dear Mr. M de Herman Koch était disponible sur LibraryThing Early Reviewers. Discussion en coursAucunCouvertures populaires
Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)839.313Literature German literature and literatures of related languages Other Germanic literatures Netherlandish literatures Dutch Dutch fictionClassification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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Cela peut-être un jeu de miroir, un clin d'œil humoristique, un regard un peu ironique sur son propre travail ou bien une sorte de mise en abîme.
Cela peut se révéler très intéressant. Et c'est d'ailleurs ce qu'il se passe au début de ce roman d'autant plus que deux des trois personnages principaux du roman (le viel écrivain et l'auteur des lettres) portent le même prénom que l'auteur de ce roman : Herman.
Le début du roman sous forme de lettres adressées à l'écrivain par son voisin est captivant. Le choix de ce style permet de dévoiler par petits morceaux les personnages, l'intrigue, les évènements.
Mais malheureusement Herman Koch perd le fil de cette trame il quitte l'histoire racontée par l'auteur des lettres, quitte ce style pour entrer dans une narration traditionnelle suivant les différents personnages. Malgré une fin inattendue, j'ai trouvé que le roman perdait petit à petit de sa tension, se perdait dans des structures différentes (épistolaire, narration, interview,...) et de ce fait a perdu en même temps mon intérêt.
Le roman est néanmoins parcouru d'une réflexion très interessante sur la littérature, sur la relation entre le réel et l'imaginaire que l'auteur porte dans sa fiction, son roman, sur l'interprétation des évènements que chacun de nous faisons en fonction du moment, de notre histoire personnel et de notre culture et surtout du temps écoulé entre l'évènement et le moment de l'analyse. Par exemple lors de l'interview, imaginée par l'auteur des lettres, une réflexion sur le quart d'heure de "naïveté" que les témoins des attentats du 11 septembre ont eu pendant le moment entre les deux avions percutant les tours jumelles, pensant qu'il s'agissait d'un accident, sentiment d'horreur, "par la conviction qu'il n'y a pas de mauvaise intention en jeu" (p332) avant que le second avion fasse basculer l'évènement dans un attentat, sentiment de terreur. Ou la réflexion sur les photos de classe, figeant un moment, des visages, des expressions, qui pourront être réinterprétée au vu des évènements qui se seront déroulés depuis. Une réflexion également sur la compréhension du passé à la lumière des moments écoulés.
Tout au long du roman, Herman Koch lance une réflexion sur le pouvoir du romancier de déterminer l'avenir de ses personnages, jouer subtilement sur les évènements pour leur donner des interprétation différentes au fil des pages. Mais qu'advient-il lorsque le romancier cherche à raconter, à romancer une histoire véritable, dans quelle mesure le réel va influer le roman au risque de lui faire perdre de sa tension, de sa puissance littéraire, dans quelle mesure la fiction pourrait-elle également influer le réel. Qui est finalement le plus romanesque ? la vie ou la littérature. Le hasard présent dans la vie, n'existe pas en littérature....
"...les courriels et les textos. Ils facilitent les contacts comme un laxatif facilite le transit. Mais si l'on prend trop de laxatif, on a la diarrhée, comme chacun sait." (p63) ( )