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Seul dans le noir (2008)

par Paul Auster

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1,895988,730 (3.56)58
Contraint a l'immobilite par un accident de voiture, August Brill, critique litteraire a la retraite, s'est installe dans le Vermont chez sa fille Miriam, qui ne se remet pas de son divorce, et sa petite-fille, Katya, aneantie par la mort en Irak d'un jeune homme avec qui elle venait de rompre. Insomniaque, Brill se refugie dans des fictions diverses pour tuer le temps. Une nuit, il met en scene une Amerique parallele, sans 11 Septembre ni Irak, mais en proie a une impitoyable guerre civile. Tandis que les heures passent, imagination et realite en viennent peu a peu a s'interpenetrer, comme pour interroger la responsabilite de l'individu vis-a-vis de sa propre existence et de l'Histoire. Un suspense total, un ton juste: ce roman est passionnant Francois Busnel, L'Express.Une fois de plus Paul Auster demontre sa virtuosite d'architecte de la litterature ...] et invente entre l'imaginaire et le reel de vertigineuses passerelles. Muriel Steinmetz, L'Humanite.… (plus d'informations)
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> Nuit blanche, (115), 10-11 : https://id.erudit.org/iderudit/19277ac
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Auster-Seul-dans-le-noir/267192

> Paul Auster nous revient, paraît-il en grande forme, avec Seul dans le noir (Actes Sud). Réduit à l’immobilité par un accident d’auto et souffrant d’insomnie, un critique littéraire à la retraite s’imagine un monde où le 11-Septembre n'aurait pas eu lieu et dans lequel les Etats- Unis seraient aux prises avec une impitoyable guerre civile. Une réflexion allégorique sur la guerre, la crise de la conscience américaine, la solitude et l’invention romanesque.
Le devoir, 24 janv. 2009
  Joop-le-philosophe | Sep 6, 2020 |
Une fois refermé le livre il reste une étrange impression et une légère frustration. Dès les premières lignes de ce roman j'ai été captivé par ces histoires en forme de poupée russe. Paul Auster jongle avec bonheur avec le réel et l'imaginaire et introduit une réflexion sur notre monde plein de terreurs, de douleurs et de peines. Les deux premiers tiers du livre sont saisissants et s'articulent autour d'aller retours entre la chambre d'August Brill, plongé dans le noir absolu, et les mondes imaginaires qu'il se raconte pour ne pas ressasser les douleurs du passé et les angoisses du présent. Ces ( )
  folivier | Jan 21, 2012 |
Suite à un accident de voiture qui l’a immobilisé, August Brill, ancien critique littéraire de 72 ans, vit depuis peu chez sa fille, récemment divorcée, et sa petite-fille, brisée par le décès de son petit ami en Irak. Sa fille se réfugie dans l’écriture de la biographie de Rose Hawthorne. August passe ses journées et ses soirées à regarder des films avec sa petite-fille qu’ils commentent, parfois, après les avoir regardés (et quels films : le monde d’Apu, le voleur de bicyclette, la grande illusion , ça m’a donné envie de les revoir !)

Vient la nuit. August, insomniaque, invente des histoires pour ne pas se laisser envahir par les souvenirs de son épouse récemment disparue et les regrets. Voici donc Owen Brick, qui s’endort un soir aux côtés de sa femme et se réveille en pleine guerre civile. On lui assigne la mission de tuer l’écrivain accusé d’avoir créé, en écrivant, cette situation apocalyptique.

Cette histoire passionnante et pleine de rebondissements occupe la première partie du roman. Mais, comme souvent dans les romans de Paul Auster, la fiction (ici, plutôt la science-fiction, car August invente un monde parallèle où la guerre civile divise les Etats-Unis après l’élection de Georges W. Bush), bascule brusquement, mais adroitement dans la réalité. August/Owen, rejoint dans son insomnie par Katya, sa petite-fille au cœur brisé, entreprend de lui raconter l’histoire de sa vie.

Paul Auster excelle à raconter des histoires dans l’Histoire, des histoires de personnages peu communs, fictifs ou pas.

Les fans de Paul Auster ne seront pas déçus. ( )
  perduedansleslivres | Nov 22, 2011 |
Nach einer ordentlichen Lesepause von Austers Werken wieder mal zu ihm zu greifen tut gut. Schnell ist man allerdings wieder, zumindest anfangs, in dieser seiner Welt, in der die Fiktion IN der Fiktion eine Rolle spielt, oder aber auch, wo eben der Erzählte erneut zum Erzähler wird. Das klappt bei ihm ja wie am Schnürchen. Und der alte, schlaflose Mann im Haus als auch der in einer Parallelwelt aufwachende Protagonist seiner Story teilen das Tappen im Dunkeln, sind gleichzeitig „Mann im Dunkel“. Aber

Die Möglichkeit paralleler Welten ist Ausdruck unserer Wünsche und Phantasie. Interessant aber, wie Auster dadurch hier auch eine kaum verborgene Botschaft vermittelt, dass eventuell der Irakkrieg gegen interne Konflikte schützen wollte und andersweitig eine Einheit durch einen gemeinsamen äußeren Feind schaffte, die von inneren Problemen und Konflikten ablenkte!
Der Erzähler benützt hier seine Figur nach und nach, um einem verborgenen Wunsch nach endgültiger Ruhe Ausdruck zu geben! Der Auftrag, den Erzähler zu töten wird zum Wunsch nach Ende der Fragen und der Pein.

Dieser Wünsch ist nachvollziehbar, ließ mich aber auch fürchten, dass das Buch nicht in die rechte Richtung gehe (sehr subjektive Befürchtung!). In dem Zusammenhang finde ich die Auflösung gegen Ende,

die Unterbrechung des Rumorens im eigenen Saft durch den Besuch der Enkelin genial. Sie verweist den alternden Mann auf den eigenen wichtigen Platz im Leben der anderen und einen neuen möglichen Aufbruch, den man den anderen zuliebe wagt.

Ganz toll! ( )
  tomfleo | Feb 5, 2011 |
Le récit d'August Brill, critique littéraire à la retraite, au cours de longues nuits d'insomnie.
J'ai lu la première partie de ce livre avec un plaisir intense (à la différence de mon cher et tendre, j'avoue être une fan déclarée d'Auster). Et la seconde avec un sentiment de déception certain. Cette histoire commence tellement bien, d'une façon si typiquement austerienne (deux récits s'entrecroisant à la façon d'un film: le quotidien du narrateur et l'aventure d'Owen Brick), en même temps que spécifiquement américaine (dans ce que cette littérature a de meilleur actuellement, cf. La Route de Cormack Mc Carthy), que l'on ne souhaite qu'une chose, une fois parvenu aux deux-tiers du roman: qu'il continue à rouler sur les mêmes principes. Qu'Auster nous ouvre une nouvelle porte dérobée conduisant à d'autres souterrains de l'esprit, à de nouveaux labyrinthes mêlant temps et univers parallèles, avec le narrateur comme dieu tout-puissant et la technique cinématographique comme référence formelle. A la place, il choisit le passé comme seconde dimension, de toute évidence afin de réconcilier le narrateur avec sa propre histoire et d'établir un pont entre différentes solitudes, préoccupation narrative et humaine bien compréhensible; mais quel dommage! Le roman aurait pris plus de force s'il n'avait pas laissé choir le personnage Owen Brick comme une vieille chaussette. ( )
  ccf | Jul 23, 2009 |
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Auster reminds us that each of us looks at existence through story-colored lenses. The world we inhabit is literally shaped by Story. We all have our "life stories," and these govern how we see ourselves and others, how we interpret events and memories and expectations. When our saviors and teachers speak to us about the greatest truths, whether of religion or philosophy, they always speak to us in parables. When artists, or ordinary people, talk about what truly matters, they start and end by telling stories, wonderful, amazing stories—like those in the works of Paul Auster.
 
The “parallel worlds” visited and occupied by an aging intellectual’s troubled mind and heart assume intriguing metafictional form in [this] challenging novel. ... Auster’s lucid prose and masterly command of his tricky narrative’s twists, turns and mirrorings keep us riveted to the pages. ... Probably Auster’s best novel, and a plaintive summa of all [his] books that ... have gone into its making.
ajouté par Roycrofter | modifierKirkus Reviews (May 1, 2008)
 

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Nom de l'auteurRôleType d'auteurŒuvre ?Statut
Paul Austerauteur principaltoutes les éditionscalculé
Bocchiola, MassimoTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé

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For David Grossman

and his wife Michal

his son Jonathan

his daughter Ruthi

and in memory of Uri
Premiers mots
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I am alone in the dark, turning the world around in my head as I struggle through another bout of insomnia, another white night in the great American wilderness.
Citations
Derniers mots
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(Cliquez pour voir. Attention : peut vendre la mèche.)
Notice de désambigüisation
Directeur de publication
Courtes éloges de critiques
Langue d'origine
DDC/MDS canonique
LCC canonique

Références à cette œuvre sur des ressources externes.

Wikipédia en anglais (1)

Contraint a l'immobilite par un accident de voiture, August Brill, critique litteraire a la retraite, s'est installe dans le Vermont chez sa fille Miriam, qui ne se remet pas de son divorce, et sa petite-fille, Katya, aneantie par la mort en Irak d'un jeune homme avec qui elle venait de rompre. Insomniaque, Brill se refugie dans des fictions diverses pour tuer le temps. Une nuit, il met en scene une Amerique parallele, sans 11 Septembre ni Irak, mais en proie a une impitoyable guerre civile. Tandis que les heures passent, imagination et realite en viennent peu a peu a s'interpenetrer, comme pour interroger la responsabilite de l'individu vis-a-vis de sa propre existence et de l'Histoire. Un suspense total, un ton juste: ce roman est passionnant Francois Busnel, L'Express.Une fois de plus Paul Auster demontre sa virtuosite d'architecte de la litterature ...] et invente entre l'imaginaire et le reel de vertigineuses passerelles. Muriel Steinmetz, L'Humanite.

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Description du livre
Résumé sous forme de haïku

Critiques des anciens de LibraryThing en avant-première

Le livre Man in the Dark de Paul Auster était disponible sur LibraryThing Early Reviewers.

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