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The Idea of Phenomenology (1950)

par Edmund Husserl

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2102128,819 (3.69)Aucun
"Les cinq lec ʹons dont se compose L'ide e de la phe nome nologie furent prononce es a l'Universite de Go ttingen, en avril-mai 1907. Husserl traversait alors une crise tant personnelle (le retard persistant℗ a l'acce s au statut de professeur ordinaire en philosophie) que the orique (aucune publication depuis les Recherches logiques de 1900-1901, mal comprises d'ailleurs par ses contemporains). D'ou une nouvelle de cision : ℗± En premier lieu, je nomme le proble me ge ne ral que je me dois de re soudre pour moi, si je veux pouvoir me donner le titre de philosophe. Je veux dire une critique de la raison ( ́Œ). J'ai plus qu'assez gou te aux tourments de l'obscurite , du doute qui va et vient. Je dois parvenir a une intime assurance. Je sais bien qu'il s'agit la d'une grande, d'une tre s grande chose, je sais bien que de grands ge nies y ont e choue et, si je voulais me comparer a eux, je devrais me de sespe rer par avance ℗ (Journal, en date du 25 septembre 1906, Hua., I, p. VII-VIII). De cette crise, Husserl sortira en atteignant la certitude du Je transcendantal de gage par la re duction phe nome nologique. Mieux, de cette crise sortira la re duction phe nome nologique elle-me me. Du coup la phe nome nologie deviendra, selon les mots me mes de Husserl, d'une ℗± psychologie descriptive ℗ , une ℗± phe nome nologie transcendantale ℗ ." Jean-Luc Marion… (plus d'informations)
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> « Lorsque je commence par dire : je ne comprends pas du tout la
connaissance, alors ce je ne comprends pas englobe sans doute, dans sa généralité
indéterminée, toute connaissance [...] Si nous regardons de plus près ce qui est
si énigmatique et ce qui nous met dans l’embarras lorsque nous commençons
à réfléchir sur la possibilité de la connaissance, alors c’est sa transcendance. »
—Edmund Husserl, L'idée de la phénoménologie, (1907), PUF, 2004.

> Edmund Husserl (1859-1938), philosophe, logicien et mathématicien allemand, est le fondateur de la phénoménologie transcendantale. Il est dit habituellement qu’il eut une influence majeure sur l’ensemble de la philosophie du XXe siècle. Notre avis est plus mitigé dans la mesure où nous considérons que son influence, ou plutôt sa méthodologie propre à la « science philosophique », reste encore largement méconnue autant qu’incomprise.
« La philosophie se situe dans une dimension totalement nouvelle. Elle a besoin de points de départ totalement nouveaux et d’une méthode totalement nouvelle, qui la distingue, par principe, de toute science “naturelle”. »
Sa méthode, qu’il nomme l'épochè - selon un terme emprunté à la philosophie grecque - est la « mise en parenthèses » de « la pensée empirique naïve naturelle ». Les opinions, que nous portons sur nous-même et sur le monde, procèdent naturellement et naïvement du mouvement empirique de la pensée. C’est la « mise en parenthèse » de ce mode de penser que Husserl nomme « la réduction phénoménologique transcendantale ». L’épochè est autant « la suspension du jugement » que l’arrêt du processus empirique de penser découlant de « l’attitude naturelle » qui est celle de notre mode ordinaire de conscience. Une vérité, en tant que fondement certain, est apodictique - elle est antérieure au mouvement de « l’attitude naturelle » qui consiste à penser pour croire ou pour se former des opinions. Une vérité est dans le voir et non dans le croire. C’est sur cette base que Husserl fonde sa « science de l'éidétique », science des essences (au sens platonicien) internes au penser, ou à la conscience, et non découlant de celui-ci, ou de celle-ci.
Edmund Husserl eut de nombreux étudiants renommés, qui tenteront chacun de développer une phénoménologie propre. Citons, parmi eux Maurice Merleau-Ponty, Paul Ricoeur, Emmanuel Levinas et Michel Henry.
Heidegger dira avoir réalisé la pratique du « regard phénoménologique », permettant d’exercer l'épochè, après avoir rencontré Husserl à son atelier.
Parmi les nombreux ouvrages traduit en français, citons, comme introduction, le très synthétique ouvrage intitulé L’idée de la phénoménologie (PUF, 2004).
La collection Epiméthée des éditions PUF permet de lire les grands textes de la philosophie allemande : Fichte, Schelling et Heidegger.
—Revue 3e millénaire, Été 2011
  Joop-le-philosophe | Jun 9, 2020 |
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