Cliquer sur une vignette pour aller sur Google Books.
Chargement... Autoportrait au roitelet : Suivi de la Correspondance avec les soeurs Norcross et avec Thomas W. Higginsonpar Emily Dickinson
Aucun Chargement...
Inscrivez-vous à LibraryThing pour découvrir si vous aimerez ce livre Actuellement, il n'y a pas de discussions au sujet de ce livre. Aucune critique aucune critique | ajouter une critique
Voici ma lettre au Monde Qui ne M'a jamais ecrit Les simples Nouvelles que la Nature disait Avec une tendre Majeste Emily Dickinson Emily Dickinson (1830-1886) passe sa vie a Amherst, dans la propriete familiale.Tombe amoureuse d'un reverend, qui s'enfuit. Elle ecrit des poemes, ne sait pas ce qu'ils valent (ou fait semblant), prend pour maitre un gandin celebre, Thomas Wentworth Higginson dont la betise - un siecle a passe - irradie comme un soleil. Les annees filant, elle sort de moins en moins, signe ses lettres Votre Eleve , ecrit encore quelques vers, s'interesse a tout ce qui meurt. Quand elle commence a ecrire aux soeurs Norcross, en 1859, Louise a seize ans, Frances treize. Vingt ans plus tard, elles n'ont pas grandi, sont pour Emily les memes petites filles imaginaires. Loo a toujours seize ans, Fanny treize. Je souhaite que nous soyons enfants, ecrit-elle a son frere. Je souhaite que nous soyons toujours enfants, comment grandir, je ne sais pas. La partie de la Correspondance ici traduite - Lettres a T.W. Higginson et aux soeurs Norcross - n'a pu l'etre que grace au remarquable appareil critique de l'edition americaine Harvard University Press. Les poemes que l'on trouvera en seconde partie de volume parlent d'eux-memes. Patrick Reumaux Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
Discussion en coursAucun
Google Books — Chargement... GenresÉvaluationMoyenne: Pas d'évaluation. |