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In his fifties, Michael Gates Gill had it all: a big house, a loving family, and a six-figure salary. By sixty, he had lost everything: downsized at work, divorced at home, and diagnosed with a slow-growing brain tumor, Gill had no money, no insurance, and no prospects. He took a job at Starbucks, and for the first time in his life, he was a minority--the only older white guy working with a team of young African-Americans. He was forced to acknowledge his prejudices and admit that his new job was hard. And his younger coworkers, despite half the education and twice the personal difficulties, were running circles around him. Crossing over the Starbucks bar was the beginning of a transformation that cracked his world wide open. When all of his defenses and the armor of entitlement had been stripped away, a humbler, happier and gentler man remained.--From publisher description.… (plus d'informations)
Michael Gill était un homme comblé ; un job lucratif dans une prestigieuse agence de publicité new yorkaise, une femme aimante, quatre enfants et une belle maison. Jusqu’au jour où il est licencié de sa boite par la jeune cadre qu’il avait lui-même embauchée et formée, où sa femme le quitte pour cause d’infidélité. Comme si tout cela ne suffisait pas, on lui diagnostique une tumeur au cerveau. Le voilà qui se retrouve seul, fauché, et un cinquième enfant à charge !! Une triste matinée de mars, il entre dans un Starbucks de la 78è rue pour se réconforter d’un "caffe latte" (comme je le comprends !) et se trouve face à une jeune, dynamique et charmante afro-américaine qui lui propose, vous l’avez déjà deviné, un job !! Il devient alors "partenaire", c’est comme ça qu’on appelle les personnes qui travaillent chez Starbucks.
Michael, 60 ans, commence donc une nouvelle vie, contraint de reconsidérer toutes les valeurs sur lesquelles il avait fondé sa vie. Il relate dans ce livre son expérience et son apprentissage avec des personnes issues d’un milieu social et ethnique totalement différent de ce qu’il connaît.
Le témoignage de Michael Gill est intéressant, bien que parfois agaçant ; vouant une reconnaissance sans borne à la société qui lui donne une seconde chance, il insiste parfois très lourdement sur certaines caractéristiques de son merveilleux employeur tels que la politique de gestion des carrières chez Starbucks, l’incroyable couverture sociale offerte à ses employés (indéniablement un plus quand on connaît la piètre couverture sociale de nombreux américains). Il s’émerveille d’accomplir des tâches dont il n’aurait certainement pas imaginé, lui, autrefois important décisionnaire et cadre de haut vol, s’acquitter un jour (par exemple, il prend un incroyable plaisir à nettoyer les toilettes !) Des retours en arrière et souvenirs de son ancienne vie sont prétextes à la narration de diverses anecdotes, comment il a rencontré Hemingway ou Jackie Onassis par exemple. Le père de Michael Gill était chroniqueur du prestigieux New Yorker, et de ce fait, connaissait beaucoup de monde !
Sans doute pas un grand livre, mais agréable à lire ! En revanche, cette histoire fait le bonheur des producteurs d'Hollywood, Tom Hanks a acquis les droits cinématographiques, (Tom Hanks pour l'interprétation, Gus Van Sant pour la réalisation). ( )
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To my children, with gratitude for their understanding hearts
Premiers mots
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This is the true, surprising story of an old white man who was kicked out of the top of the American Establishment, by chance met a young African-American woman from a completely different background, and came to learn what is important in life.
Citations
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Starbucks was not something people decided for or against in a casual way. It was obviously a key part of their lives, an important destination for them every single day. Maybe several times a day!
The best Fortune 500 companies I had encountered, despite months and lots of money writing and publishing high-sounding mission statements, never practiced the corporate gobbledegook they preached.
Derniers mots
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Then I went out into the winter night, warmed by their love.
In his fifties, Michael Gates Gill had it all: a big house, a loving family, and a six-figure salary. By sixty, he had lost everything: downsized at work, divorced at home, and diagnosed with a slow-growing brain tumor, Gill had no money, no insurance, and no prospects. He took a job at Starbucks, and for the first time in his life, he was a minority--the only older white guy working with a team of young African-Americans. He was forced to acknowledge his prejudices and admit that his new job was hard. And his younger coworkers, despite half the education and twice the personal difficulties, were running circles around him. Crossing over the Starbucks bar was the beginning of a transformation that cracked his world wide open. When all of his defenses and the armor of entitlement had been stripped away, a humbler, happier and gentler man remained.--From publisher description.
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Michael, 60 ans, commence donc une nouvelle vie, contraint de reconsidérer toutes les valeurs sur lesquelles il avait fondé sa vie. Il relate dans ce livre son expérience et son apprentissage avec des personnes issues d’un milieu social et ethnique totalement différent de ce qu’il connaît.
Le témoignage de Michael Gill est intéressant, bien que parfois agaçant ; vouant une reconnaissance sans borne à la société qui lui donne une seconde chance, il insiste parfois très lourdement sur certaines caractéristiques de son merveilleux employeur tels que la politique de gestion des carrières chez Starbucks, l’incroyable couverture sociale offerte à ses employés (indéniablement un plus quand on connaît la piètre couverture sociale de nombreux américains). Il s’émerveille d’accomplir des tâches dont il n’aurait certainement pas imaginé, lui, autrefois important décisionnaire et cadre de haut vol, s’acquitter un jour (par exemple, il prend un incroyable plaisir à nettoyer les toilettes !)
Des retours en arrière et souvenirs de son ancienne vie sont prétextes à la narration de diverses anecdotes, comment il a rencontré Hemingway ou Jackie Onassis par exemple. Le père de Michael Gill était chroniqueur du prestigieux New Yorker, et de ce fait, connaissait beaucoup de monde !
Sans doute pas un grand livre, mais agréable à lire ! En revanche, cette histoire fait le bonheur des producteurs d'Hollywood, Tom Hanks a acquis les droits cinématographiques, (Tom Hanks pour l'interprétation, Gus Van Sant pour la réalisation). (