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PrincessPaulina: "The Idiot" is overlooked compared to Dostoevsky's other work, but in my opinion it's the most engaging. Deals with upper crust society in pre-revolutionary Russia
> LES FRÈRES KARAMAZOV, par Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski. — Fédor Karamazov est assassiné et ses trois fils, aussi différents que possible, ont tous des motifs pour avoir commis ce crime. Les personnages s'interrogent sur leurs rapports familiaux et sociaux, sur leurs accomplissements jusqu'à présent, sur la vie et son sens. Avec en toile de fond la Russie et l'âme russe. -- En fait, l'œuvre de Dostoïevski au complet peut nous aider à saisir la complexité de la nature humaine. Aucun auteur selon moi n'a réussi aussi bien à traduire les passions, les paradoxes, les peurs, la folie, le courage, le malaise face aux conventions, l'incompréhension face aux injustices de l'homme. Ce personnage capable du plus beau comme du plus laid. Extrait : « "Chacun saura qu'il est entièrement mortel, sans ressurection, et acceptera le sort orgueilleusement et avec calme, comme un dieu. Il comprendra par orgueil qu'il n'a pas à murmurer si la vie ne dure qu'un instant et il aimera alors son frère sans plus attendre aucune récompense. L'amour ne satisfera que l'instant de la vie, mais la conscience même de sa brièveté en intensifiera la flamme autant qu'autrefois elle se dispersait en l'espoir d'un amour après la mort et l'infini." Dialogue d'Ivan Karamazov avec le diable » —Caroline Ouellet, Québec (ICI.Radio-Canada.ca)
> LES FRÈRES KARAMAZOV, par Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski. — Catalysé dans le personnage extrêmement riche du staret Zozime, on distingue clairement les contours d'une critique de l'individualisme qui fleurit aujourd'hui. En outre, chaque frère incarne à lui seul une trajectoire que peut emprunter l'homme moderne. Comment composer avec son extravagance, son trop-plein de raison ou sa trop grande bonté? Qu'est-ce qui est le plus rentable? La folie, l'honnêteté ou la passion? Vivre, interagir, ce n'est pas simple. Dostoievski, le mentor de Freud, exprime avec une clairvoyance peu commune le sentiment de se sentir à l'étroit dans un monde de plus en plus régulé, où les espaces de liberté sont de plus en plus exclusivement intérieurs. —Olivier Boisvert, Saguenay, La Baie (ICI RadioCanada.ca)
> LES FRÈRES KARAMAZOV, par Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski. — De son dernier roman, Dostoïevski disait : « Ce n'est pas en enfant que je crois au Christ et que je le confesse, et c'est durement, par le creuset du doute, qu'a passé mon hosanna ! ». On a tout dit de ce chef d'oeuvre. Rappelons simplement que son sommet culmine avec la légende du grand inquisiteur et la réponse du staretz Zosime, admirable figure du maître spirituel, tel que l'Eglise orthodoxe russe l'a incarné, mais aussi tel que le peuple russe le souhaitait, attendant de lui la direction spirituelle et l'amour d'un père. —Revue Française de Yoga, (1), Janv. 1990
Translated by Constance Garnett, Introduction by Marc Slonim
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Description du livre
Résumé sous forme de haïku
Bibliothèque patrimoniale: Fyodor Dostoevsky
Fyodor Dostoevsky a une bibliothèque historique. Les bibliothèques historiques sont les bibliothèques personnelles de lecteurs connus, qu'ont entrées des utilisateurs de LibraryThing inscrits au groupe Bibliothèques historiques [en anglais].
> LES FRÈRES KARAMAZOV, par Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski. — Fédor Karamazov est assassiné et ses trois fils, aussi différents que possible, ont tous des motifs pour avoir commis ce crime. Les personnages s'interrogent sur leurs rapports familiaux et sociaux, sur leurs accomplissements jusqu'à présent, sur la vie et son sens. Avec en toile de fond la Russie et l'âme russe.
-- En fait, l'œuvre de Dostoïevski au complet peut nous aider à saisir la complexité de la nature humaine. Aucun auteur selon moi n'a réussi aussi bien à traduire les passions, les paradoxes, les peurs, la folie, le courage, le malaise face aux conventions, l'incompréhension face aux injustices de l'homme. Ce personnage capable du plus beau comme du plus laid.
Extrait : « "Chacun saura qu'il est entièrement mortel, sans ressurection, et acceptera le sort orgueilleusement et avec calme, comme un dieu. Il comprendra par orgueil qu'il n'a pas à murmurer si la vie ne dure qu'un instant et il aimera alors son frère sans plus attendre aucune récompense. L'amour ne satisfera que l'instant de la vie, mais la conscience même de sa brièveté en intensifiera la flamme autant qu'autrefois elle se dispersait en l'espoir d'un amour après la mort et l'infini." Dialogue d'Ivan Karamazov avec le diable »
—Caroline Ouellet, Québec (ICI.Radio-Canada.ca)
> LES FRÈRES KARAMAZOV, par Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski. — Catalysé dans le personnage extrêmement riche du staret Zozime, on distingue clairement les contours d'une critique de l'individualisme qui fleurit aujourd'hui. En outre, chaque frère incarne à lui seul une trajectoire que peut emprunter l'homme moderne. Comment composer avec son extravagance, son trop-plein de raison ou sa trop grande bonté? Qu'est-ce qui est le plus rentable? La folie, l'honnêteté ou la passion? Vivre, interagir, ce n'est pas simple. Dostoievski, le mentor de Freud, exprime avec une clairvoyance peu commune le sentiment de se sentir à l'étroit dans un monde de plus en plus régulé, où les espaces de liberté sont de plus en plus exclusivement intérieurs.
—Olivier Boisvert, Saguenay, La Baie (ICI RadioCanada.ca)
> LES FRÈRES KARAMAZOV, par Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski. — De son dernier roman, Dostoïevski disait : « Ce n'est pas en enfant que je crois au Christ et que je le confesse, et c'est durement, par le creuset du doute, qu'a passé mon hosanna ! ». On a tout dit de ce chef d'oeuvre. Rappelons simplement que son sommet culmine avec la légende du grand inquisiteur et la réponse du staretz Zosime, admirable figure du maître spirituel, tel que l'Eglise orthodoxe russe l'a incarné, mais aussi tel que le peuple russe le souhaitait, attendant de lui la direction spirituelle et l'amour d'un père.
—Revue Française de Yoga, (1), Janv. 1990