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Les Dupes (LE DILETTANTE)

par Jean Dutourd

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Jean Dutourd a trente-neuf ans et onze livres © son actif lorsqu'il publie Les Dupes, en septembre 1959. Connu du grand public pour Au bon beurre (1952) et Les Taxis de la Marne (1956), il est alors l'un des ©♭crivains les plus en vue de sa g©♭n©♭ration. Les Dupes occupe une place © part dans son oeuvre : il s'agit de son premier recueil de nouvelles, un genre qu'il abordera peu mais dans lequel il excellera toujours. Trois histoires d'inspiration comique composent Les Dupes. Dans la premi©·re, Dutourd nous conte les tr©♭pidantes aventures d'un jeune homme qui croit qu'on se d©♭finit par ses actes : h©♭las pour lui, tout ce qu'il entreprend tourne toujours © l'inverse de ce qu'il d©♭sire ! D©♭tail cocasse : son professeur de philosophie n'est pas sans rappeler Jean-Paul Sartre. La deuxi©·me nouvelle nous montre un r©♭volutionnaire allemand du XIXe si©·cle qui s'imagine dur comme fer que le monde ©♭voluera dans un certain sens : ses pr©♭dictions (et ses rencontres avec Lamartine, Hugo et Clemenceau) ne manquent pas de sel. Quant © la troisi©·me nouvelle, elle relate un ©♭trange t©®te-© -t©®te nocturne entre le diable et un ath©♭e. Les Dupes s'ach©·ve sur un curieux ©♭pilogue o©£ Dutourd nous donne © lire un article furibard que la deuxi©·me nouvelle (initialement publi©♭e dans la NRF en 1958) avait inspir©♭ © Andr©♭ Breton : le pape du surr©♭alisme y fulmine admirablement. En 1959, la critique accueille avec faveur Les Dupes : c'est dr©þle, alerte et percutant ; Dutourd manie avec brio des registres fort diff©♭rents ; on passe en sa compagnie un d©♭licieux moment? Dans une lettre © Jean Dutourd, Jean Giono clame son enthousiasme : ℗± C'est une jubilation ! Pourquoi faut-il que ce soit si court ! ℗ Jamais r©♭©♭dit©♭ depuis 1959, Les Dupes est l'un des meilleurs livres de Jean Dutourd ? et l'un de ceux par lesquels on sugg©♭rera volontiers d'aborder son oeuvre. Nous profitons de cette r©♭©♭dition pour publier en appendice un document r©♭cemment retrouv©♭ dans ses archives : une lettre de Breton © Dutourd.… (plus d'informations)
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Jean Dutourd a trente-neuf ans et onze livres © son actif lorsqu'il publie Les Dupes, en septembre 1959. Connu du grand public pour Au bon beurre (1952) et Les Taxis de la Marne (1956), il est alors l'un des ©♭crivains les plus en vue de sa g©♭n©♭ration. Les Dupes occupe une place © part dans son oeuvre : il s'agit de son premier recueil de nouvelles, un genre qu'il abordera peu mais dans lequel il excellera toujours. Trois histoires d'inspiration comique composent Les Dupes. Dans la premi©·re, Dutourd nous conte les tr©♭pidantes aventures d'un jeune homme qui croit qu'on se d©♭finit par ses actes : h©♭las pour lui, tout ce qu'il entreprend tourne toujours © l'inverse de ce qu'il d©♭sire ! D©♭tail cocasse : son professeur de philosophie n'est pas sans rappeler Jean-Paul Sartre. La deuxi©·me nouvelle nous montre un r©♭volutionnaire allemand du XIXe si©·cle qui s'imagine dur comme fer que le monde ©♭voluera dans un certain sens : ses pr©♭dictions (et ses rencontres avec Lamartine, Hugo et Clemenceau) ne manquent pas de sel. Quant © la troisi©·me nouvelle, elle relate un ©♭trange t©®te-© -t©®te nocturne entre le diable et un ath©♭e. Les Dupes s'ach©·ve sur un curieux ©♭pilogue o©£ Dutourd nous donne © lire un article furibard que la deuxi©·me nouvelle (initialement publi©♭e dans la NRF en 1958) avait inspir©♭ © Andr©♭ Breton : le pape du surr©♭alisme y fulmine admirablement. En 1959, la critique accueille avec faveur Les Dupes : c'est dr©þle, alerte et percutant ; Dutourd manie avec brio des registres fort diff©♭rents ; on passe en sa compagnie un d©♭licieux moment? Dans une lettre © Jean Dutourd, Jean Giono clame son enthousiasme : ℗± C'est une jubilation ! Pourquoi faut-il que ce soit si court ! ℗ Jamais r©♭©♭dit©♭ depuis 1959, Les Dupes est l'un des meilleurs livres de Jean Dutourd ? et l'un de ceux par lesquels on sugg©♭rera volontiers d'aborder son oeuvre. Nous profitons de cette r©♭©♭dition pour publier en appendice un document r©♭cemment retrouv©♭ dans ses archives : une lettre de Breton © Dutourd.

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