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A soixante-six ans, Fredrik Welin vit reclus depuis une décennie sur une île de la Baltique avec pour seule compagnie un chat et un chien et pour seules visites celles du facteur de l’archipel. Depuis qu’une tragique erreur a brisé sa carrière de chirurgien, il s’est isolé des hommes. Pour se prouver qu’il est encore en vie, il creuse un trou dans la glace et s’y immerge chaque matin. Au solstice d’hiver, cette routine est interrompue par l’intrusion d’Harriet, la femme qu’il a aimée et abandonnée quarante ans plus tôt. Fredrik ne le sait pas encore, mais sa vie vient juste de recommencer.Le temps de deux solstices d’hiver et d’un superbe solstice d’été, dans un espace compris entre une maison, une île, une forêt, une caravane, Mankell nous révèle une facette peu connue de son talent avec ce récit sobre, intime, vibrant, sur les hommes et les femmes, la solitude et la peur, l’amour et la rédemption.… (plus d'informations)
Un univers "hostile"...Un livre "chaleureux" dans une violence de sentiments...Ce livre dans lequel les 4 héros se "livrent" un jeu dangereux: "la roulette russe". Poignant ...J'y retrouve dans la "grande fête" du solstice d'hiver , inspirée par Harriet , le moment fort du "Dîner de Babette", quand Jansson chante -curieusement le même univers du Jutland (Danemark)-, au moment où tous les protagonistes le "poussent" enfin ce "cri "déchirant, tant attendu du lecteur...Et , malgré cela, çà n'est qu'un moment de libération. Sima -personnage un peu "figurant-, mais elle aussi "mourant" une souffrance trop intérieure pour justement la vivre, marque son passage, "saignant" ce cri in-supportable. J'oublie volontairement Louise....oubliée elle même pendant 37 ans...Friedrik "hache" ses sentiments là où il pourrait lâcher ce cri , l'horreur de l'erreur du chirurgien orthopédique , commise il y a 12ans, dont le souvenir le poursuit...est-ce évident de dire : "comme sa chatte et son chien"...Il s'en déduit cette fuite , sur cette île où il "cache" tout , lui qui aime tant "fouiller dans les "âmes" des autres... Des âmes à visiter...Un paysage , des sentiments qui me ramènent à la musique de "Tristan et Isolde" avec la lecture d'un poème de Lorca, pour clore cette "critique" qui glace... ( )
Excellent roman, intimiste et humaniste. Les personnages, assez étranges chacun dans leur genre, nous deviennent attachant et proches. C'est une belle histoire d'amour(s), de retrouvailles et de réconciliation. ( )
Plus les pages défilaient, et plus je m'accrochais à cette histoire... qui commençait pourtant assez lentement... du blanc, du plat, une vie morne. Finalement, c'est un véritable récit de seconde chance tout à fait bouleversant. Un évènement inattendu va venir perturber l'existence monacale que Fredrik Welin mène sur l'île gelée léguée par ses grands-parents. Va s'ensuivre un petit périple en guise de pèlerinage... et des nouvelles rencontres qui changeront l'univers du héros pour toujours. http://ouistilit.blogspot.fr/2012/05/plus-les-pages-defilaient-et-plus-je.html( )
När skon passar tänker man inte på foten. - Zhuang Zhou
Quand la chaussure va, on ne pense pas au pied. Tchouang-Tseu Le contraire d'une vérité banale, c'est une erreur stupide. Le contraire d'une vérité profonde, c'est une autre vérité profonde. Niels Bohr L'amour est une main douce qui écarte lentement le destin. Sigfrid Siwertz
Dédicace
Premiers mots
Jag känner mig alltid ensammare när det är kallt.
I always feel more lonely when it's cold.
Je me sens toujours plus seul quand il fait froid.
Citations
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When the shoe fits, you don't think about the foot. Chuang Chou
There are two sorts of truth: trivialities, where the opposite is obviously impossible, and deep truths, which are characterised by their opposite also being a deep truth, Niels Bohr
Love is a gentle hand which slowly pushes fate to one side. Sigrid Siwertz
Life is quite simply a matter of cruising along in your own little boat through a constantly changing but never-ending stream of promises.
Broken promises are like shadow dancing around in the twilight. The older I become, the more clearly I see them.
It was not so long ago since I was in the first act. Now the epilogue has already started.
I was afraid that all the clothes he was wearing might make him fall over, like a defeated knight wearing armour that was far to heavy for him.
Once upon a time, ages ago, I had imagined that when I grew old, I would have children to lighten the darkness of my old age. It was too late now - I’m a bit like my boat, out of the water and covered by a tarpaulin.
...a heart attack can strike for no obvious reason. It can swoop down on you from out of the blue, as if an unknown suicide bomber had burst into one of your cardiac chambers.
One evening the telephone rang. A rare thing. More often than not it would be some telephone company or other urging me to change my supplier, or to install broadband. When they discovered where I lived and that I was an old-age pensioner, they usually lost interest. Besides, I haven’t the slightest idea what broadband is.
Derniers mots
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A soixante-six ans, Fredrik Welin vit reclus depuis une décennie sur une île de la Baltique avec pour seule compagnie un chat et un chien et pour seules visites celles du facteur de l’archipel. Depuis qu’une tragique erreur a brisé sa carrière de chirurgien, il s’est isolé des hommes. Pour se prouver qu’il est encore en vie, il creuse un trou dans la glace et s’y immerge chaque matin. Au solstice d’hiver, cette routine est interrompue par l’intrusion d’Harriet, la femme qu’il a aimée et abandonnée quarante ans plus tôt. Fredrik ne le sait pas encore, mais sa vie vient juste de recommencer.Le temps de deux solstices d’hiver et d’un superbe solstice d’été, dans un espace compris entre une maison, une île, une forêt, une caravane, Mankell nous révèle une facette peu connue de son talent avec ce récit sobre, intime, vibrant, sur les hommes et les femmes, la solitude et la peur, l’amour et la rédemption.
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Sima -personnage un peu "figurant-, mais elle aussi "mourant" une souffrance trop intérieure pour justement la vivre, marque son passage, "saignant" ce cri in-supportable.
J'oublie volontairement Louise....oubliée elle même pendant 37 ans...Friedrik "hache" ses sentiments là où il pourrait lâcher ce cri , l'horreur de l'erreur du chirurgien orthopédique , commise il y a 12ans, dont le souvenir le poursuit...est-ce évident de dire : "comme sa chatte et son chien"...Il s'en déduit cette fuite , sur cette île où il "cache" tout , lui qui aime tant "fouiller dans les "âmes" des autres...
Des âmes à visiter...Un paysage , des sentiments qui me ramènent à la musique de "Tristan et Isolde" avec la lecture d'un poème de Lorca, pour clore cette "critique" qui glace... ( )