> Réédition du texte qui a défini la désobéissance civile et qui a inspiré depuis de nombreux militants non-violents : des luttes pour les droits civiques aux Etats-Unis aux faucheurs d’OGM. Un classique.
--Revue Silence, janv. 2008

> Ce texte qui date de 1849 est toujours d’une criante actualité Il est — avec le discours de la servitude volontaire d'Etienne de la Boétie — un des classiques de la contestation sociale : si nous avons une société qui ne fonctionne pas, c'est avant tout parce que nous ne nous prenons pas en main et parce que nous acceptons que d'autres décident à notre place. A commander en gros et à offrir à tous ceux qui râlent et ne font rien.
--Revue Silence, oct. 1998

> La Désobéissance civile, de Henry David THOREAU (Typo, Montréal, 1994, 120 p.)
Se reporter au compte rendu de Judy QUINN
In: Peterson, M. (2004). Compte rendu de [Comentaires de lecture : essai]. Nuit blanche, le magazine du livre, (97), pp. 16-17… ; (en ligne),
URL : https://id.erudit.org/iderudit/19074ac

> La Désobéissance civile, de Henry David THOREAU (Typo, Montréal, 1994, 112p. Coll. « Essais »)
Se reporter au compte rendu de Christiane LAHAIE
In: (1996). Compte rendu de [Nouveautés]. Québec français, (100), p. 24… ; (en ligne),
URL : https://id.erudit.org/iderudit/58689ac

Etonnant. Mais complètement d'accord. La Belgique confirme aujourd'hui que c'est possible. Alors croyons-y. ( )

L'œuvre est intéressante et l'omniprésence de l'État est toujours une question dans nos société. Le texte n'est pas récent mais dans l'ensemble, la logique semble toujours tenir la route. Une lecture rapide qui peut éclairer un peu plus sur l'importance de mieux libérer l'être humain dans nos sociétés. ( )