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Réunis un soir, des amis se racontent leur premier amour. "J'avais alors seize ans. Cela se passait au cours de l'été 1883. J'étais chez mes parents, à Moscou..." Dans la maison voisine, une princesse, jeune fille à la Tourgueniev, délicieuse, pure et volontaire, s'amuse de ses soupirants jusqu'au jour où elle-même succombe à l'amour. Ce récit au charme cruel est une histoire vraie. L'adolescence de Vladimir fut celle de Tourgueniev. Il n'aima vraiment toute sa vie qu'une seule femme, sans en être aimé. Echos de sa jeunesse au milieu des serfs et des paysans russes, de ses peines amoureuses, ces trois nouvelles sont des chefs-d'œuvre de vérité et de poésie. [Source : 4e de couv.]… (plus d'informations)
>Vil Par Nicolas (Le blog de Menon), le 3 décembre 2020 (Sur Amazon.fr) 2/5 … ; (en ligne), URL : https://www.amazon.fr/gp/customer-reviews/R353JEBU4HW1BW?ref=pf_vv_at_pdctrvw_sr... « Au début de l'été 1833, Vladimir Petrovitch, âgé alors de seize ans, prépare sans zèle excessif ses examens d'entrée à l'université dans la propriété de ses parents, non loin de Moscou7. Il tombe éperdument amoureux de Zénaïde, jeune femme de vingt-et-un ans d'une singulière beauté, qu'il observe de derrière la palissade séparant son jardin du parc. C'est en fait sa voisine fraîchement installée dans la maison attenante et qui vit là avec sa mère, la princesse Zassékine, personne désargentée réduite à une existence misérable. La jeune fille réunit fréquemment chez elle nombre d'adorateurs qu'elle s'amuse à rendre jaloux ou qu'elle pousse par jeu à commettre quantité de sottises. » (Résumé Wikipédia) Autant j’avais aimé Le journal d’un homme de trop, autant ce Premier amour m’a non seulement déplu mais même mis mal à l’aise. Le pathétique du roman en est cause tant les personnages sont peints comme fats et médiocres. Quant au secret de Zénaïde, non seulement il se devine si aisément qu’on peste contre la cécité du héros ; mais, de plus, il soulève le cœur. Ici, c’est une Russie vile et laide que dépeint Tourgueniev. Le récit serait en partie autobiographique : quelle tristesse ! La laideur de la vie ; la bassesse des âmes : voilà ce dont nous entretient Tourgueniev.
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Opgedragen aan P.V. Annenkov
Premiers mots
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De gasten waren allang vertrokken.
Citations
Derniers mots
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En ik herinner mij dat daar, aan het bed van die arme oude vrouw, de gedachte aan Zinaïda mij zo met angst vervulde dat ik behoefte had te bidden voor haar, voor mijn vader en voor mijzelf.
Références à cette œuvre sur des ressources externes.
Wikipédia en anglais
Aucun
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Réunis un soir, des amis se racontent leur premier amour. "J'avais alors seize ans. Cela se passait au cours de l'été 1883. J'étais chez mes parents, à Moscou..." Dans la maison voisine, une princesse, jeune fille à la Tourgueniev, délicieuse, pure et volontaire, s'amuse de ses soupirants jusqu'au jour où elle-même succombe à l'amour. Ce récit au charme cruel est une histoire vraie. L'adolescence de Vladimir fut celle de Tourgueniev. Il n'aima vraiment toute sa vie qu'une seule femme, sans en être aimé. Echos de sa jeunesse au milieu des serfs et des paysans russes, de ses peines amoureuses, ces trois nouvelles sont des chefs-d'œuvre de vérité et de poésie. [Source : 4e de couv.]
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Par Nicolas (Le blog de Menon), le 3 décembre 2020 (Sur Amazon.fr) 2/5 … ; (en ligne),
URL : https://www.amazon.fr/gp/customer-reviews/R353JEBU4HW1BW?ref=pf_vv_at_pdctrvw_sr...
« Au début de l'été 1833, Vladimir Petrovitch, âgé alors de seize ans, prépare sans zèle excessif ses examens d'entrée à l'université dans la propriété de ses parents, non loin de Moscou7. Il tombe éperdument amoureux de Zénaïde, jeune femme de vingt-et-un ans d'une singulière beauté, qu'il observe de derrière la palissade séparant son jardin du parc. C'est en fait sa voisine fraîchement installée dans la maison attenante et qui vit là avec sa mère, la princesse Zassékine, personne désargentée réduite à une existence misérable. La jeune fille réunit fréquemment chez elle nombre d'adorateurs qu'elle s'amuse à rendre jaloux ou qu'elle pousse par jeu à commettre quantité de sottises. » (Résumé Wikipédia)
Autant j’avais aimé Le journal d’un homme de trop, autant ce Premier amour m’a non seulement déplu mais même mis mal à l’aise. Le pathétique du roman en est cause tant les personnages sont peints comme fats et médiocres. Quant au secret de Zénaïde, non seulement il se devine si aisément qu’on peste contre la cécité du héros ; mais, de plus, il soulève le cœur.
Ici, c’est une Russie vile et laide que dépeint Tourgueniev. Le récit serait en partie autobiographique : quelle tristesse ! La laideur de la vie ; la bassesse des âmes : voilà ce dont nous entretient Tourgueniev.