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En Compagnie des hommes

par Véronique Tadjo

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"Drawing on real accounts of the Ebola outbreak that devastated West Africa, this poignant, timely fable reflects on both the strength and the fragility of life and humanity's place in the world. Two boys venture from their village to hunt in a nearby forest, where they shoot down bats with glee, and cook their prey over an open fire. Within a month, they are dead, bodies ravaged by an insidious disease that neither the local healer's potions nor the medical team's treatments could cure. Compounding the family's grief, experts warn against touching the sick. But this caution comes too late: the virus spreads rapidly, and the boys' father is barely able to send his eldest daughter away for a chance at survival. In a series of moving snapshots, Véronique Tadjo illustrates the terrible extent of the Ebola epidemic, through the eyes of those affected in myriad ways: the doctor who tirelessly treats patients day after day in a sweltering tent, protected from the virus only by a plastic suit; the student who volunteers to work as a gravedigger while universities are closed, helping the teams overwhelmed by the sheer number of bodies; the grandmother who agrees to take in an orphaned boy cast out of his village for fear of infection. And watching over them all is the ancient and wise Baobab tree, mourning the dire state of the earth yet providing a sense of hope for the future. Acutely relevant to our times in light of the coronavirus pandemic, In the Company of Men explores critical questions about how we cope with a global crisis and how we can combat fear and prejudice"--… (plus d'informations)
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Je me souviens de l’épidémie d’Ebola qui a touché l’Afrique de l’Ouest en 2014. Je me souviens de l’impuissance que j’ai ressentie, et aussi de l’étonnement à la panique qu’on ressentait dans les médias occidentaux. Je me souviens d’une personne interrogée par la radio française qui disait sa peur de toucher la barre du métro. J’avais trouvé cela un peu ridicule et dénotant une bien mauvaise information sur le virus. Puis le Covid est passé par là, et la panique est revenue, pourtant ce virus est bien moins grave qu’Ebola. Que se serait-il passé si nous avions eu en France (et dans le monde) un virus aussi contagieux et létal qu’Ebola ?
Je ne sais pas, et ce livre ne répond pas à cette question. Ce livre est une sorte de tombeau (au sens d’hommage) aux différentes personnes qui ont été affectées par l’épidémie, ou qui s’y sont retrouvées mêlées, volontairement ou non. Chaque chapitre est une voix différente, un point de vue différent. Les survivants, les médecins, les autorités, les fossoyeurs, et même le baobab et la chauve-souris.
J’avais envisagé de lire ce livre à sa sortie, en 2017, puis cela ne s’était pas fait. J’en ai entendu à nouveau parler à la faveur de sa traduction en anglais, et cette fois j’ai franchi le pas. Ce n’est pas pareil de lire ce livre avant l’épidémie de Covid ou après, et je n’ai pu m’empêcher de comparer. Une comparaison qui met en évidence surtout des similitudes, et bien peu de différences. On se gausse beaucoup de l’incurie des pays africains, mais les questions ont été les mêmes, les hésitations aussi, les erreurs même. Et les mythes quand à des traitements possibles, ou des façons de se protéger.
Le style du livre est assez plat, je n’ai pas été emportée par la plume de l’auteur, mais les personnages sont poignants. Ils se livrent entièrement, sans fard, et les angoisses, les doutes, les hésitations, les peurs sont là. Et parce que l’on sait que c’est une épidémie réelle, on sait que de telles personnes ont existé. Je ne sais pas comment Véronique Tadjo a pu donner la voix à tant de points de vue différents, elle qui n’a pas pu être tout cela à la fois, mais chaque témoignage est criant de vérité. La dédicace m’avait touchée : « Aux victimes de la Guinée, du Liberia et de la Sierra Leone. A tous ceux qu’Ebola a touchés de près ou de loin, c’est-à-dire à nous, les hommes. », le reste du livre aussi.
  raton-liseur | Nov 7, 2021 |
> Par Séverine Kodjo-Grandvaux (Le Monde) : Des chauves-souris et des hommes, le roman d’Ebola de Véronique Tadjo
6 sept. 2017 ... L’écrivaine franco-ivoirienne s’empare de l’épisode épidémique qui a touché l’Afrique de l’Ouest en 2014 pour en tirer un conte philosophique sur la place de la nature.
____________________
En compagnie des hommes, de Véronique Tadjo, éd. Don Quichotte (176 pages).
  Joop-le-philosophe | Dec 19, 2018 |
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"Drawing on real accounts of the Ebola outbreak that devastated West Africa, this poignant, timely fable reflects on both the strength and the fragility of life and humanity's place in the world. Two boys venture from their village to hunt in a nearby forest, where they shoot down bats with glee, and cook their prey over an open fire. Within a month, they are dead, bodies ravaged by an insidious disease that neither the local healer's potions nor the medical team's treatments could cure. Compounding the family's grief, experts warn against touching the sick. But this caution comes too late: the virus spreads rapidly, and the boys' father is barely able to send his eldest daughter away for a chance at survival. In a series of moving snapshots, Véronique Tadjo illustrates the terrible extent of the Ebola epidemic, through the eyes of those affected in myriad ways: the doctor who tirelessly treats patients day after day in a sweltering tent, protected from the virus only by a plastic suit; the student who volunteers to work as a gravedigger while universities are closed, helping the teams overwhelmed by the sheer number of bodies; the grandmother who agrees to take in an orphaned boy cast out of his village for fear of infection. And watching over them all is the ancient and wise Baobab tree, mourning the dire state of the earth yet providing a sense of hope for the future. Acutely relevant to our times in light of the coronavirus pandemic, In the Company of Men explores critical questions about how we cope with a global crisis and how we can combat fear and prejudice"--

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